Développé dans le but de redynamiser les centres-ville de 222 communes françaises, le programme Action Cœur de Ville cible les investisseurs privés qui ont besoin de solutions de financement pour leurs projets.
Avec la pandémie et les différents épisodes de confinement, le marché immobilier en France a évolué en dents de scie. Une période de gel a vite été suivie d’un effet de rattrapage, puis d’une nouvelle accalmie. En tout cas, les différents rebonds ont ramené le nombre des transactions immobilières de cette année à un niveau équivalent à celui de l’année dernière.
En repli en début d’année, les taux des crédits immobiliers ont amorcé une remontée en mars. Pour avril, les grilles communiquées par les banques semblent indiquer une stabilisation. Seules quelques enseignes ont relevé leurs taux d’environ 0,05 % à 0,1 %, tandis que d’autres proposent des décotes comprises entre 0,05 à 0,35 %. Pour tous les prêteurs, la prudence reste le mot d’ordre.
La construction d’un immeuble dans le 14e arrondissement, rue Méchain, a fait l’objet d’une vive opposition de la part des défenseurs de l’environnement. Ces derniers, menés par l’association Monts 14 et le Collectif de sauvegarde du 7, ont déjà lancé une pétition demandant l’arrêt du projet en 2019. Outre cela, ils ont également déposé un recours au tribunal administratif en vue de l’annulation du permis de conduire délivré au promoteur Covéa-Immobilier.
L’accession à la propriété est le rêve de milliers de Français, mais le financement constitue un obstacle majeur à sa concrétisation, surtout pour les jeunes et les ménages modestes. LCL et Nexity s’associent pour accorder un prêt à 0 % dont le montant peut atteindre 50 000 euros. Cette offre se destine à faciliter l’acquisition d’une résidence principale dans le neuf.
Les secousses de la crise du Covid-19 sont en train d’affaiblir la vitalité du marché immobilier de la capitale française, d’après les résultats d’une étude menée par LPI-SeLoger. Les intentions d’achat de logements ont reculé de -4 % en février 2021 par rapport à février 2020, et le nombre des acquéreurs franciliens qui recherchent des biens à vendre dans la région parisienne a chuté de -11 % sur un an.
La crise ne semble pas affecter le marché immobilier francilien. Les maisons, notamment en Grande couronne, connaissent un succès croissant depuis le début de la pandémie. Le confinement a en effet éveillé l’intérêt des acquéreurs pour les biens situés loin des centres des grandes villes, disposant d’une surface suffisamment importante et dotés d’un espace extérieur.
Depuis le début de la pandémie, les Français sont plus nombreux à vouloir vivre dans les petites villes. Selon une récente étude réalisée par la plateforme SeLoger, les agglomérations de moins de 20 000 habitants attirent 48 % des porteurs d’un projet immobilier. Au lendemain du premier confinement, ce pourcentage n’était que de 16 %.
Depuis le début de la pandémie en France, les porteurs de projets immobiliers sont nombreux à s’être tournés vers des secteurs éloignés du centre des grandes agglomérations. La Bretagne fait partie des régions les plus prisées par ces candidats au déménagement, notamment les Parisiens. Mais contrairement à une idée reçue, ces derniers ne sont pas responsables de la hausse des prix observée ces derniers mois.
Depuis le premier confinement, les Français ont été nombreux à exprimer leur envie de changer de lieu d’habitation. Mais le problème qui subsiste est le manque flagrant d’offres. Les nouvelles constructions se font rares et la lutte contre l’artificialisation du sol freine l’enthousiasme des promoteurs. La transformation des anciens bureaux en résidence semble cependant représenter une solution viable.
Aux États-Unis, la pandémie a entraîné un essor sans précédent du télétravail, auquel s’est ajoutée la fermeture des écoles. Ces deux phénomènes ont incité les Américains à privilégier les maisons et appartements éloignés des grandes agglomérations. Résultat, l’offre de biens disponibles est insuffisante et les prix augmentent, pénalisant les acheteurs modestes.
Avec la crise sanitaire, les conditions de logement continuent de se dégrader dans la capitale. Tout comme les prix immobiliers, les loyers poursuivent une tendance haussière, confirmant le statut de Paris comme étant l’une des capitales les plus chères d’Europe. Et effectivement, elle l’est notamment en ce qui concerne l’immobilier neuf ou encore le loyer.
La pandémie mondiale est au centre de toutes les attentions. Cependant, elle ne doit pas faire oublier les autres problèmes à résoudre et les tâches importantes à effectuer dans les communes. À Vignoux-sous-les-Aix, un conseil municipal s’est récemment tenu pour, justement, s’occuper de ces autres affaires courantes. Il a été notamment question de recherches de financement pour les projets.
Devenus trop chers à entretenir, de nombreux bâtiments religieux se retrouvent aujourd’hui sur le marché de la vente. Même les églises classées aux Monuments Historiques n’y échappent pas. Bien qu’atypiques, ces biens immobiliers attirent un certain type de clientèle, notamment depuis qu’ils peuvent être transformés sans se conformer à des obligations spécifiques.
Le dynamisme du marché immobilier francilien ne faiblit pas en dépit des envies des Parisiens de quitter la capitale. Les chiffres des notaires ont en effet montré une hausse des ventes dans l’ancien entre novembre 2020 et janvier 2021.
Après une absence remarquée sur le marché immobilier depuis le début de la pandémie, les millenials reviennent en nombre dans le secteur. Une récente étude rapporte que, depuis le début de l’année, plus d’un aspirant à la propriété sur deux est âgé de moins de 35 ans. Qu’est-ce qui motive cette catégorie de la population à se lancer dans l’achat immobilier ? Le sondage révèle des éléments de réponse.
À Meudon, un projet immobilier visant la construction d’immeubles d’habitations fait l’objet de vives contestations. Pour cause : son emplacement, à proximité d’une maison qui date de l’époque de Napoléon III, pose problème. Les habitants désapprouvent la construction de bâtiments à étages sur le terrain de cette villa. Une pétition est en cours pour stopper le projet.
Malgré la crise sanitaire, les prix des biens immobiliers ont poursuivi leur croissance à Lyon. La demande reste forte, composée à 90 % de ménages désireux de s’installer. Or, l’offre est limitée, ce qui accentue le mouvement haussier des prix. La situation pénalise les jeunes primo-accédants, malgré les conditions de crédit très favorables.
En 2020, la crise sanitaire a causé un net ralentissement de la construction de logements sociaux. Afin de rattraper le retard, les pouvoirs publics et les acteurs du secteur viennent de signer un protocole d’engagement. L’accord porte sur la production de 250 000 unités sur 2 ans.
Paris est connue pour être une des villes les plus chères du monde en termes d’immobilier. Mais comme partout ailleurs, les fortes disparités entre les tarifs pratiqués sont une réalité implacable. Sauf peut-être pour certains arrondissements où les prix semblent relativement proches et qui ont pour point commun d’être desservis par la ligne de métro N° 6. Cette ligne a-t-elle un impact sur le prix ?
Une remontée des taux hypothécaires a été observée ces dernières semaines aux États-Unis. En effet, leur niveau dépasse les 3 % en ce moment, et les analystes économiques tablent sur la poursuite de la tendance haussière jusqu’à la fin de l’année. Selon leur prévision, les taux hypothécaires pourraient aller jusqu’à 3,5 % en décembre 2021.
Est-ce la conséquence directe de la crise sanitaire ou bien d’une crise du logement qui persiste depuis beaucoup plus longtemps ? Toujours est-il que les Berlinois sont de plus en plus excédés par la hausse continuelle des prix de l’immobilier, au point de prendre pour cible les sociétés immobilières et d’espérer un référendum pour dessaisir ces dernières de leur bien.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.