Pour une raison ou une autre, il arrive qu’un propriétaire décide de brader son bien immobilier. C’est le cas par exemple de ce Normand qui a mis en vente sa grande propriété située à Grandouët-Cambremer avec une forte décote. En effet, ladite propriété est cédée à moitié prix, mais l’hésitation gagne les acheteurs, au vu de la condition posée. Un bien affiché à moitié prix, mais des concessions à faire Une propriété normande estimée à plus d’un million d’euros est proposée à la vente à un prix de 598 000 euros. Forcément, l’annonce suscite la méfiance. Pourtant, il n’y a point de piège et l’offre est tout à fait sérieuse. Il s’agit d’une propriété située à Grandouët-Cambremer, dans le Pays d’Auge en Normandie. Elle est aujourd’hui évaluée à 1,05 million d’euros et comporte trois maisons indépendantes. La plus grande d’entre elles a une valeur estimative de 500 000 euros. Les deux autres sont estimées respectivement à 350 000 et 200 000 euros. Ces demeures sont construites sur un terrain de 1,8 hectare. Fait plus étonnant encore : d’après l’agent immobilier mandaté pour conduire la vente, les trois maisons ont récemment fait l’objet d’une réfection. Ce qui signifie que les prochains propriétaires n’auront pas à entreprendre des travaux. Dans ces conditions, qu’est-ce qui pousse le propriétaire à brader son bien ? Toujours d’après les explications de l’agent, la propriété appartient à un vieil homme de 81 ans sans héritier. Ce dernier souhaiterait tirer le maximum d’argent de son patrimoine. Ainsi, la vente se fera en viager. Ce qui veut dire que l’actuel propriétaire continuera d’y résider et que l’acheteur ne pourra prendre possession du bien qu’au décès du vieil homme. De plus, ce dernier n’exige pas le versement d’une rente. Y a-t-il anguille sous roche ? Au vu de tout ce qui précède, l’opportunité parait alors très séduisante. Pourtant, le domaine n’a toujours pas trouvé preneur. Mis sur le marché depuis le début de l’année, la propriété a déjà fait l’objet de plusieurs visites, mais rien de concluant pour l’instant. Important Le problème est que l’homme exige au futur repreneur de payer comptant, sans souscrire un prêt immobilier. Une condition qui a de quoi décourager plus d’un.