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Important dilemme pour ceux qui souhaitent se lancer dans un investissement immobilier en Indre-et-Loire. En effet, le prix des appartements ne cessent de progresser (+6 % en 2018), en revanche celui des maisons individuelles évolue à la baisse.
De mémoire, ou du moins depuis que les archives de la Banque de France existent, la dette des ménages français n’a jamais été aussi élevée qu’actuellement. Les Français ont de plus en plus recours au crédit, et plus particulièrement à l’emprunt immobilier, dont l’encours a atteint un niveau inédit de 1 003 milliards d’euros.
Dans un contexte de taux directeurs très bas, au même niveau qu’en 2016, les taux immobiliers proposés aux particuliers ne devraient pas augmenter en 2019.
La digitalisation pénètre aujourd’hui le secteur de l’immobilier. L’exploitation des data contribue à la mise en place d’offres plus personnalisées et plus flexibles, et le numérique représente un moyen de répondre aux exigences requises. La France présente un riche potentiel pour effectuer cette transition, surtout grâce à l’existence de pôles et de clusters dédiés à la ville du futur.
Face à la hausse du nombre de demandes de crédit refusées, les courtiers immobiliers appellent à un assouplissement des règles de calcul des taux d’usure, aussi appelé taux annuel effectif global (TAEG). En effet, en vue de protéger les intérêts des emprunteurs, le TAEG est plafonné. La Banque de France fixe tous les trois mois un seuil à ne pas dépasser.
Entrée vigueur en début d’année, le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu inquiète les ménages qui envisagent de contracter un prêt pour financer leurs projets personnels. Concrètement, le montant affiché sur les fiches de paie va être amputé de « quelques » euros, ce qui pourrait réduire les chances de décrocher un prêt bancaire. La Fédération bancaire française (FBF) a cependant tenu à rassurer les futurs emprunteurs à travers un communiqué qu’il n’en sera pas ainsi.
En 2018, nous avons pu constater que le portrait type de l’emprunteur n’était plus le même qu’en 2017. Âge, revenus, montant de la transaction, apport, durée du prêt… tant de chiffres qui ne cessent d’évoluer. Souvent en faveur de l’emprunteur.
Bonne nouvelle pour ceux qui comptent investir dans l’immobilier ancien. En effet, cette année encore, ils pourront continuer à bénéficier du dispositif Pinel. Ce programme d’incitation fiscale ouvre droit à une réduction d’impôts en rénovant des bâtiments anciens et en s’engageant à le louer pour une durée déterminée et en dessous d’un plafond de loyer défini par le gouvernement.
L’an passé, de nombreux acheteurs ont pu accéder à la propriété immobilière grâce au niveau bas des taux de crédit. En ce début d’année, les conditions d’emprunt sont toujours favorables, et sonnent auprès des ménages comme une invitation à concrétiser au plus vite leurs projets immobiliers en cours. En effet, dans les mois à venir, les taux vont probablement remonter.
Les charges impayées en copropriété sont devenues ces dernières années un problème de plus en plus courant. Pour cause : les charges de copropriété n’ont cessé d’augmenter. Au cours de la dernière décennie, elles ont bondi de +40 %. Une information que les primo-accédants ignorent, et dont l’impact est pourtant non négligeable dans le plan de financement d’un projet d’acquisition immobilière.
Il n’est peut-être pas nécessaire de s’alarmer outre mesure, mais le volume global des dettes des ménages français est en train d’atteindre un niveau inédit. La Banque de France parle aujourd’hui d’une dette colossale de 1 000 milliards d’euros au mois de novembre 2018. Il faut dire que les banques et les organismes de crédit ont su se montrer persuasifs.
Pour l’année 2018, alors que les observateurs craignaient un repli considérable du marché de l’immobilier, il n’en était rien. Le marché s’est relativement stabilisé, malgré une petite raréfaction de l’offre, tandis que la demande est repartie à la hausse. Le nombre de ventes conclues a également évolué de manière positive, en dépit de la flambée des prix.
Selon une de nos récentes enquêtes, l’envolée des prix des biens a entraîné une dégradation du pouvoir d’achat immobilier des Français ces dernières années alors que les taux d’intérêt sont toujours très faibles. Sur l’ensemble des grandes villes, la baisse est estimée à un mètre carré en moyenne, mais dans certains endroits, la perte est nettement plus élevée, comme à Marseille, où elle atteint 13 m² en seulement 4 ans.
Les taux d’intérêt bas des prêts bancaires ont largement contribué au dynamisme du marché immobilier français ces dernières années. En 2018, les volumes de ventes ont atteint un niveau record, alors que les prix se sont envolés dans plusieurs grandes villes, en particulier dans la capitale.
La mise en place du prélèvement à la source (PAS) suscite des craintes auprès des ménages à la recherche de financements pour leurs projets personnels. Ces inquiétudes gagnent tout particulièrement ceux qui souhaitent devenir propriétaires de leurs logements. Les banques et les courtiers s’attendent alors à la stagnation, voire au repli du marché immobilier en 2019.
La Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM) vient tout juste de publier son rapport annuel sur le marché immobilier en 2018. L’année dernière, 965 000 ventes ont été conclues, soit une progression de 0,7% par rapport à 2017. Et les taux bas proposés par les banques ont largement contribué au maintien du marché depuis 3 ans.
Le marché immobilier français est marqué par l’augmentation continue des prix des biens depuis 2013, phénomène qui ne semble pas freiner la demande. Dans une tribune publiée par Forbes, David Aubin, Directeur Général de Victoires Haussmann, avance deux raisons à cet engouement pour un investissement dans la pierre : le rendement attractif et les taux d’intérêt toujours très bas.
La hausse des prix constitue actuellement le principal frein à l’achat immobilier dans l’Hexagone, bien avant l’accès et le coût du crédit. C’est ce que rapporte une récente étude portant sur les Français et l'accession à la propriété immobilière. Le contexte socio-économique de ces derniers mois, peu propice aux investissements, explique également le recul des intentions d’achat.
Le marché du crédit immobilier se porte on ne peut mieux ces dernières années, depuis que les banques ont assoupli les conditions d’octroi des prêts. En effet, séduits par la baisse des taux, les ménages qui souhaitent devenir propriétaires de leurs logements n’hésitent pas à emprunter. La forte concurrence qui sévit dans le secteur contraint également les organismes prêteurs à ne pas ménager leurs efforts pour gagner du chaland.
Depuis le mois de décembre 2018, plusieurs grands établissements bancaires ont annoncé leur décision de mettre prochainement un terme à de nombreux partenariats avec les courtiers en immobilier. Les activités de ces derniers s’étaient fortement développées avec la croissance constante du secteur. Néanmoins, il semble que les périodes fastes pour ces professionnels touchent à leur fin.
Grâce à la faiblesse des taux appliqués sur les prêts immobiliers, de nombreux Français se lancent dans l’investissement locatif. Ce phénomène a boosté le marché des ventes dans l’ancien sur l’ensemble du territoire en 2018. D’après les chiffres publiés par un professionnel du secteur, la hausse des transactions enregistrée est de +3,9 % sur un an, avec un prix moyen au mètre carré s’élevant à près de 2 600 euros.
Au cours des trois dernières années, les prix immobiliers n’ont cessé d’augmenter. D’autres indicateurs s’envolent, comme les délais de vente qui se situent désormais à 91 jours en moyenne, ou encore la marge de négociation qui passe de 4,3 % en 2017 à 4,7 % l’an dernier. Une situation jugée alarmante pour les professionnels, lesquels redoutent un effondrement du marché en 2019.
Selon le rapport annuel du réseau d’agences immobilières Century 21, une hausse des ventes de biens immobiliers anciens a été observée en 2018, dans la continuité des trois années précédentes. Compensant des prix élevés, les taux d’intérêt toujours proches de seuils historiques ont soutenu l’activité, qui devrait toutefois ralentir en 2019.
Trouver des placements sûrs et offrant des rémunérations intéressantes est devenu un parcours de combattant pour les Français. En effet, l’année dernière, un grand nombre d’épargnants ont subi des pertes du fait du recul des marchés boursiers. Pour 2019, aussi bien pour les fonds monétaires que pour les fonds obligataires, l’avenir est encore incertain. Il en est de même pour l’assurance-vie. L’immobilier reste ainsi, pour les particuliers, le placement le plus rentable et le moins risqué.
Avec un volume élevé de transactions et une hausse significative de la demande, portée par le niveau bas des taux d’emprunt, 2018 a été une année exceptionnelle pour le marché immobilier français. Cependant, avec la suppression et la révision des principales aides au logement, les professionnels craignent un ralentissement du marché en 2019.
L’agence immobilière Century 21 table sur une légère hausse des prix de l’immobilier cette année. Le dynamisme du marché, porté par des taux qui demeurent encore bas, serait à l’origine de la progression. En revanche, contrairement à la tendance nationale, certaines régions connaissent une baisse palpable en raison d’un contexte économique particulièrement défavorable.
D’après les spécialistes, la capacité d’achat immobilier des ménages devrait connaitre une légère baisse cette année au Canada, et ce, indépendamment des fluctuations du marché. Même si les revenus sont amenés à croître sensiblement, leur progression risque fort de ne pas suivre l’augmentation du taux immobilier, tout comme celle des prix des biens de consommation.
D’après les résultats de plusieurs études qui ont été publiées en ce début d’année, l’investissement immobilier demeure l’un des placements à privilégier. En effet, les taux d’emprunt, toujours sous la barre des 2 %, offrent encore des opportunités à saisir rapidement. De plus, le niveau de l’inflation moins élevé que celui des taux d’intérêt permet d’investir.
Les disparités des prix immobiliers sont parfois énormes entre les différentes villes de l’Hexagone. Une étude récente sur le pouvoir d’achat des Français dans ce secteur a montré que, à mensualités équivalentes, la superficie à acquérir varie beaucoup d’une agglomération à une autre, y compris au sein d’une même région.
Les observateurs du marché immobilier et de l’évolution du crédit bancaire prévoient la fin des taux de crédit historiquement bas pour cette année. Ils devraient ainsi commencer à remonter dans les prochains mois. Néanmoins, il n’y aura pas vraiment lieu de s’inquiéter puisque la majoration sera plafonnée à 3 %, toutes durées confondues.
Aucune modification des conditions d’attribution du prêt à taux zéro n’est prévue pour 2019. L’information ravit les primo-accédants qui sont nombreux à compter sur cette aide pour réaliser leurs projets d’achat de résidence. Le décret relatif au maintien du dispositif a été publié à la fin du mois de décembre dernier.
Après une année 2018 positive pour le marché de l'immobilier et pour les emprunteurs en raison de taux immobiliers extrêmement bas, comment se profile l’année 2019 ? Analyse.
Dans leur bilan du secteur immobilier pour 2018, les professionnels spécialisés dans le domaine évoquent une année d’exception : les prix ont augmenté, mais le volume des ventes a atteint un niveau proche du record de l’année précédente. La demande a été particulièrement élevée sur le dernier trimestre et les Français avaient hâte de concrétiser leur projet immobilier.
De juin à août 2018 en France, le nombre de mises en chantier de nouveaux logements avait commencé à décliner doucement. Mais le phénomène s’est accentué lors des trois mois suivants. Pour cette année 2019, les observateurs ne sont pas très optimistes et vont même jusqu’à prédire le dépôt de bilan de nombreuses entreprises de construction.
Au Canada, l'augmentation des prix de l’immobilier de l’ordre de 1,2 % sur l’ensemble du territoire. Mais il semble qu’à Montréal, cette hausse pourrait bien dépasser les prévisions et atteindre plus de 3 %. Le marché profite en effet d’une conjoncture économique favorable et d’un volume d’acheteurs à la situation financière désormais plus confortable.
Avec le mètre carré proposé à 9 500 euros, les prix de l’immobilier à Paris et dans les communes de la Petite Couronne battent actuellement tous les records. En revanche, selon les chiffres publiés par les notaires de Paris Île-de-France, la flambée des tarifs semble ne pas toucher les zones périurbaines et rurales franciliennes. En effet, dans ces départements, le marché immobilier poursuit son repli depuis 2008.
L’Association nationale des agents immobiliers des États-Unis a récemment fait paraître les statistiques de novembre concernant l’évolution du marché immobilier américain, notamment dans le secteur de la vente de logements. Les chiffres publiés laissent voir un recul notable de l’activité avec une diminution de -7 % des transactions, en rythme annuel.
En vigueur depuis 2014, le dispositif de défiscalisation Pinel permet à de nombreux investisseurs immobiliers de prétendre à une réduction d’impôt. Suite au vote de la loi des finances 2019 par le Parlement en fin d’année, cette loi subira quelques changements. À partir de cette année, ceux qui acquièrent un logement ancien en centre-ville et qui effectuent des travaux de rénovation pourront également en bénéficier.
Pour les agents immobiliers, leur métier, et même la manière de l’exercer au quotidien, ont changé du tout au tout en quelques années du fait de la digitalisation du marché. Alors que les équipements bureautiques étaient auparavant des outils essentiels, les échanges et l’essentiel des procédures se font aujourd’hui à distance depuis un ordinateur, voire un simple smartphone.
Les prix immobiliers s’envolent en Irlande. Au cours des sept dernières années, les loyers ont bondi de +65 % pour s’établir autour de 1 334 euros au troisième trimestre 2018. Cette flambée des prix s’explique notamment par l’insuffisance de l’offre en logements sociaux. D’après un expert du secteur immobilier, la construction de nouveaux logements ne parvient pas à répondre à la demande.
Le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu est appliqué depuis le début de l’année. Le décalage entre la perception des salaires et autres rémunérations imposables et le recouvrement des redevances fiscales s’y rapportant n’existera plus, ce qui peut être un avantage ou un inconvénient, selon les cas. D’ailleurs, d’après les résultats d’une récente étude, ce système inquiète les Français.
Une étude réalisée par un organisme spécialisé dans l’aménagement et l’urbanisme a mis en évidence la hausse constante des dépenses relatives au logement des habitants des HLM au cours des dernières années. Les augmentations successives des charges locatives sont notamment à l’origine de cette situation qui finit par mettre à mal les finances des ménages déjà fragiles.
Les ménages pauvres et modestes représentent 16,3 % des candidats à l’accession à la propriété en France. En comparaison, les foyers peu aisés qui logent dans le parc locatif social sont moins nombreux. Dans la dernière édition de L’observateur de l’immobilier du crédit foncier publié par CSA, deux experts de l’Institut livrent leur avis sur le sujet.
De septembre à décembre 2018, une régression du marché de l’automobile français a été enregistrée. Bien que l’année ait bien commencé pour le secteur, ces derniers mois ont vu une diminution notable du volume de ventes, toutes catégories de véhicules confondues. Même en décembre, qui est habituellement une période faste pour les nouvelles immatriculations, le marché a subi un recul significatif.
Les prix du neuf qui avaient suivi une courbe ascendante au cours de ces dernières années semblent s’être stabilisés depuis le second semestre 2018. Avec la faiblesse des taux d’intérêt, qui restent toujours attractifs, et les diverses aides publiques existantes, il est encore temps pour les Français de concrétiser un projet d’achat de logement ou de faire un placement dans l’immobilier en profitant de conditions d’investissement avantageuses.
Les professionnels du bâtiment craignent un ralentissement de l’activité en 2019, avec un repli notable du nombre de mises en chantier. Ce phénomène est attribué principalement à la diminution des aides publiques à l’accession, qui ont pourtant soutenu le marché ces dernières années. C’est notamment le cas du prêt à taux zéro, qui sera supprimé pour les zones détendues à partir du 1er janvier prochain.
Dans une récente décision de justice (Cass. Civ 1, 28.11.2018, M 17-24.481), la Cour de cassation a rappelé l’importance du devoir d’information et de mise en garde des banques vis-à-vis des emprunteurs. Au moment de la souscription, les établissements prêteurs doivent prévenir les candidats aux crédits des risques qu’ils courent. Faillir à cette obligation les expose au paiement d’indemnités à leurs clients.
Alors que les dispositifs de soutien à l’accession à la propriété avaient permis à des milliers de primo-accédants de s’offrir un logement, les pouvoirs publics ont refermé les vannes. Les conditions d’octroi des prêts à taux zéro, notamment, ont été durcies en 2018. Un changement qui s’est fait ressentir sur l’activité du secteur.
Les derniers chiffres publiés par l’Insee concernant le secteur du logement en France révèlent une nette augmentation du nombre de propriétaires immobiliers depuis les années 1970. La progression des flux de l’accession à la propriété a été notamment soutenue par les achats et les constructions réalisées par les couples avec enfants et les familles aisées.
La hausse des prix n’a eu que peu d’incidences sur le marché de l’immobilier de luxe dans la Capitale française. Le nombre de transactions est même en train d’atteindre des records. Les acheteurs, français et étrangers, se ruent sur les appartements haut de gamme parisiens, jugés très abordables comparés à ceux proposés dans les autres grandes métropoles du monde.
En moyenne, il faut un peu moins de 5 ans de revenus pour acheter un bien immobilier en France, selon le bilan de l’année 2018 du baromètre LPI/SeLoger. Une durée qui varie selon les villes et le type de bien, neuf ou ancien.
Le prêt à taux zéro fait actuellement l’objet d’un débat animé dans le cadre de l’adoption du projet de loi de finances 2019. De nombreux professionnels réclament une prolongation du dispositif au-delà de cette année. Le ministre de la Ville et du Logement affirme être en pleine réflexion sur le sujet et n’écarte aucune possibilité.
Une enquête sur l’évolution du marché immobilier menée en novembre dernier par un organisme spécialisé dans le financement de l'immobilier a fourni de précieuses indications sur la situation du secteur locatif. Les informations obtenues ont été mises en corrélation avec des données démographiques et économiques pour avoir une vision globale du marché et des possibilités d’investissement existantes. L’étude a été menée sur l’ensemble des régions françaises.
Selon l’avis d’un spécialiste du secteur, 2019 devrait être un tournant pour le marché de la pierre, notamment pour les crédits immobiliers. En effet, après plusieurs années de baisse, encouragée par la concurrence féroce entre les banques, les taux devraient repartir doucement à la hausse au cours des prochains mois.
Faire une offre d’achat représente un moyen de retenir un bien en vue de l’acquérir. Toutefois, afin d’éviter des problèmes en cas de rétractation, il est préférable d’inclure des conditions suspensives dans le document, ou se contenter d’une proposition verbale qui n’a pas de valeur juridique. En effet, après la signature de l’offre d’achat, il n’est guère possible de renégocier le prix.
La nouvelle année est synonyme de mise en application du prélèvement à la source (PAS). Une récente enquête réalisée par OpinionWay pour un grand courtier immobilier révèle que le dispositif génère des inquiétudes pour plus de 70 % des Français. Le prélèvement d’un montant erroné est la principale préoccupation évoquée, devant la perte de pouvoir d’achat.
Dans la plupart des grandes villes françaises, les prix des logements ont connu une forte hausse au cours depuis le début de l’année. Toulouse ne fait pas acception, à en juger par le baromètre LPI-SeLoger. Les chiffres de l’édition de décembre 2018 devraient aider les potentiels acheteurs ou investisseurs locatifs à préparer leur projet immobilier.
Alors que le prélèvement à la source entrera en vigueur au 1er janvier 2019, il soulève de nombreuses inquiétudes chez plus de 7 Français sur 10. Plus du tiers des personnes interrogées par OpinionWay pour le compte d’un courtier redoutent une erreur sur la somme prélevée. Beaucoup craignent par ailleurs de perdre du pouvoir d’achat immobilier.
Les réformes relatives aux aides publiques pour l’accès au logement ont restreint ces avantages aux localités considérées comme tendues. Le ministre du Logement a cependant déclaré vouloir « en finir avec le zonage ». Il a également affirmé la nécessité de mettre en place des programmes mieux adaptés aux besoins de la population. Des mesures visent désormais à encourager la redynamisation des quartiers anciens ou délaissés dans les grandes villes.
Jusqu’à 4600 € de décote par mètre carré… les acquéreurs peuvent économiser autant en investissant dans le périphérique parisien, grâce aux écarts de prix entre les différents arrondissements de la capitale et les villes de la petite couronne. En pourcentage aussi bien qu’en euros, les différences sont significatives.
Souscrire un emprunt immobilier en optant pour un lissage des prêts semble à première vue intéressant pour ceux qui ont déjà d’autres crédits à amortir. Cette solution permet de réunir le crédit immobilier aux prêts en cours et de payer une seule mensualité (variable au fil des années) pour l’ensemble des dettes « lissées ». Elle présente toutefois des risques et des conditions qui sont souvent méconnus des emprunteurs.
Après plusieurs mois au plus bas, les taux de crédit immobilier affichent une légère augmentation à l’approche de la nouvelle année. Les acheteurs continuent malgré tout de bénéficier de bonnes conditions de financement. Ceux qui ont des projets immobiliers en cours ont ainsi intérêt à se lancer, avant que les taux ne repartent définitivement à la hausse.
Ces dernières années, les prix du foncier n’ont cessé d’augmenter, entraînant par voie de conséquence une hausse du coût du logement. L’accès à la propriété devient ainsi difficile pour de nombreux particuliers. Pour y remédier, un organisme foncier solidaire regroupant quelques bailleurs sociaux a mis au point une solution pour faciliter l’accès à la propriété aux foyers modestes : le portage du foncier.
Après avoir été soumise et entérinée par les membres de l’Assemblée et du Sénat, la loi Elan a été publiée au journal officiel le 24 novembre dernier. Ce nouveau corpus va instaurer des changements majeurs en ce qui concerne les critères de performance énergétique et de rénovation des bâtiments. Ainsi, à partir du 1er janvier 2021, les informations contenues dans le DPE seront opposables à tous les intéressés.
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