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Face à la flambée des loyers dans la ville, la mairie de Berlin a pris une décision radicale : interdire toute hausse sur une période de 5 ans. Cette mesure d’urgence est entrée en vigueur le 18 juin dernier. Pendant ce temps, la mairie de Paris continue son bras de fer avec le groupement des propriétaires, au sujet de l’encadrement du loyer.
Les contraintes de mobilité empêchent souvent les Millennials, ou les jeunes de la Génération Y, de se lancer dans un projet immobilier. Le monde professionnel actuel requiert souvent des déménagements, rendant parfois impossible toute volonté de « se poser ». De ce fait, en réponse à une enquête menée par un professionnel du secteur, plus de la moitié d’entre eux répondent privilégier la location. L’achat sera pour plus tard.
L’immobilier en Belgique se porte bien. Les prix connaissent une hausse considérable, mais le marché reste dynamique. Le nombre de transactions continue d’évoluer positivement, atteignant même un niveau record durant le second trimestre 2019. Dans presque tout le pays, le constat est le même : nombreux sont les Belges qui aspirent à la propriété.
Comme chaque mois, Meilleurtaux.com met en avant le palmarès du pouvoir d’achat immobilier dans les grandes agglomérations françaises. En juin, c’est une belle occasion pour faire le point sur les 6 derniers mois écoulés… et la progression est notable pour les ¾ de nos villes !
L’étude mensuelle du marché immobilier, réalisée par un professionnel du secteur, a permis de connaître la nature des opérations immobilières effectuées par les Français le mois dernier. Cette analyse détaillée fait ressortir, entre autres, les chiffres concernant les ventes conclues en juin ou tout simplement les secteurs sur lesquels se sont concentrés les efforts des particuliers.
De nombreux habitants de Montréal reprochent aux étrangers qui investissent massivement dans la ville de contribuer à la flambée des prix de l’immobilier. Pour remédier à la situation, les riverains suggèrent que ces acheteurs soient soumis à une taxe spéciale, semblable à celle en vigueur à Vancouver et Toronto.
Les résultats tombent à la fin de ce premier semestre, concernant l’immobilier et ses tendances en région parisienne et dans toute la France. Et les chiffres sont encore impressionnants : l’immobilier ancien a notamment enregistré une période record en termes de prix et de volumes et toutes nos régions connaissent une dynamique à la hausse ! Le détail ici.
D’après le PDG de Sotheby’s International Realty France-Monaco, le marché immobilier très haut de gamme confirme sa bonne santé dans toute la France. La reprise avait débuté en 2017 à Paris et le mouvement s’est étendu à la province. Après un deuxième trimestre faste, le groupe s’attend à un été placé sous le signe du dynamisme.
Elle est la région la plus peuplée de l’Hexagone. Pourtant, la région Ile-de-France est parmi celles qui présentent la plus faible proportion de propriétaires. Une caractéristique qu’elle partage avec de nombreuses grandes villes de France ; la proportion de ménages propriétaires de leur logement y est très bas. Les petites villes, notamment celles de la Bretagne, contribuent à remonter la moyenne nationale.
Le rapport du Conseil régional des notaires montre le dynamisme de l’Ille-et-Vilaine en matière d’immobilier en Bretagne. Le département 35 détient en effet le record du nombre de transactions. Ce succès est dû principalement à l’attractivité de Rennes et de la côte, qui entraîne une forte augmentation des prix.
Les taux des crédits immobiliers sont descendus à des seuils historiques en mai, battant même les records de faiblesse observés en novembre 2016. Une situation qui n’empêche pas les banques d’accorder des décotes supplémentaires aux meilleurs profils qui se lancent en ce mois de juillet. L’objectif : séduire les derniers clients avant la traditionnelle baisse d’activité du mois d’août.
Le marché de l'immobilier est soutenu par un taux d'intérêt très bas, et on remarque au cours de ces dernières années que les acquéreurs sont de plus en plus nombreux à investir dans un bien en vue d'un placement. Près du tiers des achats sont en effet destinés à la location.
Les prix immobiliers ont flambé dans la plupart des métropoles françaises au cours des dix dernières années. Bordeaux détient le record de progression dans l’ancien, à + 44 %. Devenue l’une des trois villes les plus chères de l’Hexagone, elle est aujourd’hui hors de portée de la plupart des candidats à l’achat. Reste à voir l’impact du recul des prix observé durant la première moitié de 2019.
D'après de nombreuse études menées par des spécialistes du domaine, l’immobilier reste le placement préféré des Français. Mais l’investissement locatif peine à séduire. Pour inciter les Français à investir, les gouvernements qui se sont succédé ont multiplié les dispositifs (Duflot, Pinel…). Le dernier en date, le Denormadie, présente de nombreux avantages, mais soulève encore beaucoup d’interrogations.
L’indice de confiance des ménages dans la pierre a considérablement augmenté en 2018, selon un sondage récent de l’IFOP pour la Fédération Nationale de l’Immobilier. L’immobilier continue ainsi à être un des placements préférés des Français grâce à un rebond récent du marché et à un contexte tout à fait favorable.
Le contexte économique actuel, et la situation nouvelle des taux très bas des crédits permettent aux banques d’être ouvertes aux demandes des entreprises et des sociétés. Ces dernières voient en leurs établissements financiers des véritables partenaires dont les relations jadis houleuses ont pu s’améliorer ces derniers temps…
Les taux immobiliers continuent de descendre. Mais d’autres circonstances favorables sont intervenues dernièrement pour faciliter encore plus l’accès à la propriété immobilière, à commencer par l’assouplissement des conditions d’octroi de crédit par les banques. Toutefois, de plus en plus de demandes se heurtent au refus des établissements prêteurs.
Pour la première fois de son histoire, le taux des obligations assimilables du Trésor (OAT) est descendu en dessous de 0 %. Cela signifie que les banques bénéficient de conditions de refinancement exceptionnelles. Pour autant, les particuliers, qui souscrivent déjà des crédits très bon marché, peuvent-ils espérer des taux négatifs ?
La règlementation européenne impose aux intermédiaires en crédits immobiliers des contraintes supplémentaires. Mais au lieu de leur porter préjudice, le fait de se soumettre à cette règlementation a donné aux courtiers plus de visibilité et a permis d’augmenter leur part de marché sur le Vieux Continent.
La relation entre les Français et l’épargne semble de plus en plus intime ces dernières années. Depuis quelques temps, les Français épargnent de plus en plus et le premier semestre 2019 confirme ce comportement prudent dans un contexte de taux bas et de revendications massives.
La banque de France a révisé ses taux d'usure le 1er juillet 2019 et l’on remarque une légère hausse pour certaines catégories de crédit. L'évolution est minime, mais elle traduit un timide soubresaut des taux de crédit applicables auprès des banques et des établissements de crédit. Les seuils d’usure sont en effet indexés sur le taux effectif moyen (TAEG) pratiqué au cours du dernier trimestre.
Afin de contribuer à la lutte contre la vacance locative, le Ministre de la Ville et du Logement s’est allié avec l’Agence Nationale de l’Habitat pour mettre en place un site internet entièrement dédié aux propriétaires. Son but ? Permettre de faciliter les démarches pour louer son bien, et pour le rénover si nécessaire, mais aussi lutter contre la complexité des dispositifs pour les bailleurs.
Alors que dans l'ensemble de l'Ile-de-France et dans les plus grandes villes françaises, le prix de l'immobilier augmente, Paris semble prendre la tendance à contre-pied. Pour la première fois depuis 2015, le marché recule, selon les chiffres fournis par un spécialiste du secteur. Un léger repli de -0,9 % a été observé et pourrait marquer la fin de la hausse vertigineuse.
Fini le temps où la priorité absolue était de s’établir à Paris. Les quartiers prisés se trouvent désormais en périphérie et le prix de l’immobilier dans ces communes ne cesse de flamber. Trois d’entre elles sont en train de battre tous les records en matière d’envolée des prix ; des communes qui jadis laissaient tout le monde indifférent.
Lundi 24 juin, la Banque de France a rendu son rapport semestriel sur les risques encourus par le système financier français. L’institution française met pour la première fois en exergue l’endettement comme risque numéro 1 pour les finances du pays. Un risque assorti d’une « perspective en hausse » qui confirme l’envolée des emprunts grâce aux taux bas, mais qui n’est pas sans conséquences à moyen terme.
À la vitesse à laquelle flambent les prix des habitations situées à proximité des plages, ce type de biens risque d’être bientôt réservé à une élite. En France, les régions où les propriétés en bord de mer augmentent de valeur de manière exponentielle sont celles qui donnent sur l’Océan Atlantique. La région PACA continue d’afficher les prix les plus élevés.
Selon les professionnels de la construction de maisons individuelles, le marché a dégringolé en 2018, le volume de ventes étant passé de 135 000 en 2017 à seulement 120 000, soit un repli de plus de 11 %. Cette tendance menace les emplois, ce qui pousse les acteurs du secteur à interpeller l’État et demander le maintien du prêt à taux zéro après le 31 décembre 2019.
Avec la baisse soutenue des taux appliqués aux prêts immobiliers, le nombre de demandes de souscription augmente de manière exponentielle. Compte tenu du volume de dossiers à traiter, les emprunteurs doivent parfois attendre jusqu’à 8 semaines avant d’obtenir une réponse. Ce délai fait toutefois perdre patience aux vendeurs et fait rater de bonnes affaires aux acquéreurs.
La nouvelle transmise par Century 21 est sans appel : la part des biens acquis pour être loués par la suite a bien explosé cette année. L’investissement locatif se démocratise de plus en plus, grâce aux taux historiquement bas, et témoigne de la sécurité qu’incarne l’investissement immobilier dans un monde financier en perpétuel mouvement.
Les candidats à la propriété pourront encore profiter de la baisse continue des taux appliqués aux prêts immobiliers au cours des prochains mois. Selon les observateurs, bien qu’étant actuellement à un niveau bas jamais atteint auparavant, ces derniers ne sont pas encore près de remonter. D’ailleurs, une autre baisse spectaculaire est attendue pour cet été.
Comme tous les trimestres, un des leaders dans le domaine de la négociation d’immobiliers en France et un spécialiste en ligne d’estimation de bien immobilier dévoilent les tendances du secteur de l’immobilier sur la base de leurs statistiques de ventes. Les données acquises grâce à divers indicateurs constituent une véritable mine d’informations pour les professionnels de l’immobilier et les futurs acquéreurs. Elles présentent un prix net vendeur moyen stable et un allongement modéré des délais de vente pour le dernier trimestre.
Les ménages modestes désireux de contracter un prêt immobilier à long terme n’intéressent pas vraiment les établissements bancaires traditionnels. L’acquisition d’une maison individuelle par les familles et les personnes à faibles revenus tend ainsi à devenir de plus en plus complexe en France. D’autant plus que les organismes prêteurs alternatifs comme le Crédit Immobilier de France ou le Crédit Foncier de France n’existent plus.
L’immobilier hors de prix dans la capitale incite les aspirants à la propriété à se rabattre sur les zones situées en banlieue parisienne à l’instar d’Asnières, Bagnolet et Malakoff. Ces communes n’échappent toutefois pas non plus à la flambée des prix. Malgré des tarifs moins élevés que dans le centre de la Cité des Lumières, elles ont aussi enregistré des hausses spectaculaires des prix au cours de ces dernières années.
Le 25 mai dernier est une date à retenir pour les acteurs de l’immobilier. En effet, il s’agit d’une date historique, puisqu’un tout nouveau mode d’acquisition a été expérimenté pour la première fois. Pour la vente d’un hôtel particulier à l’ouest de Paris, le paiement a été effectué en jetons et via la technologie blockchain.
Les conditions d’octroi des financements immobiliers se sont assouplies ces derniers mois. Toutefois, celles-ci ne s’appliquent pas aux emprunteurs qui ne détiennent pas un contrat de travail à durée indéterminée. En effet, les banques rechignent à accorder des prêts aux CDD et aux TNS. Selon un professionnel du secteur, seul 1,3 % des demandes déposées par des emprunteurs en CDD ont été acceptées en 2019. Pour les TNS, environ 5 % des dossiers ont eu une suite favorable (contre 86 % pour les souscripteurs en CDI).
Pour attirer les clients et continuer à financer leurs projets immobiliers, les banques ont revu leurs conditions d’attribution des crédits immobiliers, nous indique un rapport récent de la Banque de France. Cet assouplissement fait écho aux critères d’octroi exceptionnels déjà vus en 2007, soit des mesures jamais vues depuis plus de 10 ans !
L’an passé, les finances locales se sont améliorées, rapporte la Cour des comptes. L’allègement des contraintes réglementaires a contribué à augmenter l’épargne brute des collectivités. Les recettes fiscales ont crû de manière significative, tandis que les dépenses de fonctionnement ont été réduites. Ce qui a permis à de nombreuses collectivités d’accroître leurs dépenses d’investissement.
Avec la forte baisse des taux de crédit immobilier enregistrée en ce moment, de plus en plus de Français envisagent d’investir dans le locatif. En principe, l’achat d’un logement à louer est un investissement coûteux et le recours au financement bancaire constitue souvent un passage obligé pour les futurs acquéreurs. Heureusement, il est maintenant plus facile de trouver des prêts aux taux avantageux sur le marché, en particulier pour les bons dossiers et les profils les plus favorisés par les banques.
Avec l’entrée en vigueur de la loi Pacte, les entreprises sont tenues d’indiquer dans leur statut leur « raison d’être ». La question de l’utilité publique se retrouve au cœur des préoccupations des élus. Un phénomène qui amène à s’interroger sur la capacité des entreprises à préserver la cohésion sociale.
Bercy a récemment mis à la disposition du public sa base de données des demandes de valeur foncière («DVF»). Parmi les informations désormais accessibles figurent les prix auxquels les biens ont été cédés. Une récente étude des notaires révèle que dans de nombreux cas, les frais d’agence sont compris dans le montant, ce qui relève l’assiette taxable et augmente les recettes de l’État.
Devenue en quelques années le nouvel eldorado des investisseurs immobiliers étrangers, la Grèce continue d’attirer les acquéreurs issus de l’Empire du Milieu. Et pour cause, les acheteurs en provenance de Chine y bénéficient d’un statut spécial. En effet, en faisant l’acquisition d’un bien dans le pays, ces derniers peuvent obtenir un titre de séjour permanent, lequel peut se muer en une demande de naturalisation au bout de sept années de résidence continue. Une aubaine pour ceux qui souhaitent partir à la conquête de l’Europe.
Les prix des biens immobiliers varient sensiblement entre les grandes villes françaises. D’après le baromètre LPI SeLoger, le minimum est observé à Saint-Étienne. À 1 350 euros, le mètre carré coûte huit fois moins que dans la capitale. De plus, l’offre de logements est importante, ce qui permet aux potentiels acquéreurs de faire de bonnes affaires, y compris sur les grands volumes.
Comme la plupart des grandes villes françaises, Paris a connu une envolée des prix immobiliers. Dans plusieurs arrondissements, le mètre carré coûte désormais plus de 10 000 euros. Pour les familles des classes moyennes, le logement est devenu trop cher, ce qui les pousse vers la banlieue, voire vers la province, le TGV facilitant la liaison avec la capitale.
Dans le sillage de la capitale, où le mètre carré coûte désormais plus de 10 000 euros, les communes de la petite couronne voient leurs prix moyens s’envoler. Selon les agents immobiliers, acheter les biens situés dans d’anciennes villes ouvrières comme Pantin et Montreuil revient plus cher que s’offrir un logement dans de grandes villes de province comme Lyon.
Les taux de prêts à l’habitat ont battu les records de faiblesse atteints en novembre 2016, y compris sur 25 ans. En juin, les courtiers annoncent des décotes supplémentaires. Toutefois, le mouvement baissier ralentit, tandis que les prix des biens poursuivent leur hausse, ce qui risque d’affecter le pouvoir d’achat immobilier des Français.
Dans une décision datant d’octobre 2017, la Cour de cassation a débouté EDF qui exigeait qu’un de ses anciens salariés solde immédiatement le crédit à l’habitat qu’elle lui a accordé en 1995. Pour la justice, une telle requête est abusive, que l’employé ait démissionné ou ait été licencié. L’entreprise ne peut en outre prétendre à aucune indemnisation.
En France, les acquéreurs d’un logement ancien doivent s’acquitter de droits de mutation à titre onéreux, qui représentent 7 à 8 % du prix de vente. Ces frais varient néanmoins en fonction du type de bien choisi, mais surtout de sa localisation, à cause de la taxe départementale. En fonction du département, les DMTO peuvent donc varier sensiblement.
Les chiffres publiés par la Banque de France à la fin du premier trimestre 2019 ont montré clairement un écart significatif entre les volumes de crédits immobiliers souscrits dans différentes régions de l’Hexagone. Afin de pouvoir comprendre cette disparité, il convient d’identifier tous les paramètres qui sont à leur origine.
À Nice, le marché immobilier se porte très bien, une situation favorisée entre autres par la faiblesse des taux d’intérêt des crédits. Ce dynamisme concerne aussi bien le marché des résidences principales que celui des résidences secondaires. D’ailleurs, les professionnels du secteur appellent les porteurs de projet à saisir leurs chances. Le moment est en effet opportun pour investir dans cette ville.
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