Depuis l’apparition de la crise sanitaire et la démocratisation du télétravail, élire domicile dans la capitale n’est plus une priorité pour les Français. Ceux qui se retrouvent obligés de rester à la maison cherchent un peu plus à améliorer leur cadre de vie, notamment en se tournant vers les maisons individuelles et si possible un peu éloignées des grandes villes.
Selon un récent arrêt de la Cour de cassation, une banque peut forcer le recouvrement d’un crédit immobilier en cas de déchéance du terme dudit contrat. Même si l’assureur active sa garantie et accepte le remboursement des échéances après cette décision, celle-ci ne peut plus être invalidée. La saisie sur comptes ou tout autre procédé mis en place par la banque pour récupérer les fonds prêtés peut se poursuivre.
Le répit aura été de courte durée pour les candidats à l’accession à la propriété. En effet, quelques semaines après avoir légèrement assoupli ces règles concernant l’octroi d’emprunt immobilier, le HCSF impose une nouvelle règle. Il impose aux prêteurs de tenir compte du coût de l’assurance de crédit dans le calcul de l’endettement, entrainant potentiellement leur exclusion du marché.
La proposition de loi sur la réforme du courtage en crédit et en assurance a été adoptée par les députés. Ce texte prévoit l’autorégulation de la profession à travers la création d’associations agréées par l’ACPR (Autorité de contrôle prudentiel et de résolution), dont l’adhésion est obligatoire pour tous les intermédiaires.
Des problèmes avant et pendant la crise ont fait dégringoler le nombre de nouvelles constructions en France. Si les effets ne sont pas encore palpables à l’heure actuelle, cette baisse finira par avoir des conséquences plus désastreuses à l’avenir. La lenteur au niveau de la délivrance des permis de construire est pointée du doigt par les professionnels du secteur.
Tout souscripteur d’un crédit immobilier doit souscrire une assurance visant à en garantir le remboursement en cas d’incapacité de paiement. Cette couverture prévoit différents accidents de la vie ou maladies empêchant l’activité professionnelle et entrainant une prise en charge par l’assureur. En revanche, ce n’est pas toujours le cas des maladies non-objectivables.
L’assurance emprunteur est un facteur de coût significatif du crédit immobilier. Grâce aux lois Lagarde et Hamon, l’emprunteur est libre de ne pas adhérer à la formule que lui soumet sa banque au profit d’une assurance déléguée sous certaines conditions. L’existence de deux modes de calcul de l’assurance de prêt ne facilite cependant pas la comparaison entre les offres.
S’il y a bien une chose qui a marqué bon nombre de Français au plus fort de la crise, c’est le fait d’avoir vécu le confinement dans un appartement de moindre surface et, de plus, sans espace extérieur. À l’instar des propriétaires, nombreux sont les locataires à s’être rendu compte que le confort de leur logement est désormais loin de leur convenir.
La Région Île-de-France, BNP Paribas Cardif, AFI ESCA, Meilleurtaux.com et Assurea Distribution, signent une convention pour faciliter l’accès au logement des personnes présentant un risque aggravé de santé.
Amazon se heurte à des difficultés de recrutement. En effet, les travailleurs hésitent à venir chez le géant du commerce en ligne à cause des prix trop élevés des logements situés à proximité de ses locaux. Le patron de la plateforme, Jeff Bezos, a alors pris le problème à bras le corps et débloqué un fonds de 2 milliards de dollars pour faciliter l’accès à la propriété de ses salariés.
Les diverses restrictions imposées aux Français pour cause de pandémie ont modifié les envies immobilières des Français. Une étude réalisée par Liberkeys en décembre 2020 montre que 40 % d’entre eux sont décidés à déménager pour gagner en espace ou se rapprocher de la nature. Beaucoup envisagent par ailleurs la rénovation de leur logement.
La loi Lagarde, la loi Hamon et l’amendement Bourquin ont offert aux consommateurs la possibilité de choisir des assureurs tiers pour garantir leurs prêts immobiliers. Même si la part des compagnies indépendantes augmente peu à peu, force est de constater que les banques détiennent encore la majorité des contrats. En effet, seuls 25 % des emprunteurs optent pour une délégation d’assurance bien que les contrats individuels coûtent nettement moins cher que les contrats de groupe proposés par les bancassureurs.
Le prix du terrain constructible ne cesse de grimper au cours de ces dernières années. En 2019, le mètre carré a coûté en moyenne 88 euros, et les chiffres publiés par le ministère de la Transition écologique ont montré que la part du foncier représente plus d’un tiers du coût de construction d’un logement individuel.
Les travaux de transformation des locaux d’activité vacants vont être financés par Action Logement. Après le lancement d’un appel à manifestation d’intérêt en novembre 2019, quelques locaux situés en zones tendues ont été repérés et vont être modifiés en logements sociaux. L’objectif est alors de constituer une nouvelle offre de logements sociaux ou intermédiaires dans les régions reconnues comme étant des bassins d’emplois.
La crise sanitaire n’a pas entamé le rêve de propriété des Français, bien au contraire. Les incertitudes économiques ont fini par convaincre ceux qui hésitaient encore à placer leurs économies dans un investissement sécurisé. Mais que ce soit pour se constituer un patrimoine ou investir dans le locatif, une étude minutieuse du marché immobilier est plus que jamais primordiale.
Si les taux d’emprunt bruts n’ont cessé de diminuer ces dernières années, l’assurance emprunteur, elle, coûte toujours aussi cher, sachant que les organismes de financement se rabattent sur celle-ci pour compenser le manque à gagner. Mais avec la délégation d’assurance et l’assurance dégressive, les emprunteurs disposent de solutions intéressantes pour minimiser le coût de leur crédit.
Malgré une baisse des transactions due à la pandémie, les prix de l’immobilier en France restent élevés. Les taux des prêts, toujours très attractifs, ont contribué au maintien du dynamisme de l’activité sur le marché. Preuve de cette effervescence malgré le contexte, la tension immobilière continue de croitre dans plusieurs grandes villes.
Parce que l’humanité est encore pleinement engagée dans la lutte contre le coronavirus, celui-ci continue de faire parler de lui, dans tous les domaines de la vie, aussi bien personnels que professionnels. Dans le secteur du crédit immobilier, certains assureurs refusent de faire jouer les garanties de l’assurance de prêt pour les emprunteurs décédés du Covid-19. Au Maroc, la pratique devient de plus en plus courante.
La pandémie et son impact sur l’économie n’ont pas entamé l’appétence des Français pour la pierre. Au contraire, face à la volatilité des autres placements, les Français privilégient l’investissement locatif. Non seulement un tel achat leur permet d’enrichir leur patrimoine à crédit, mais divers avantages fiscaux leur sont accordés.
La crise qui sévit actuellement n’a pas réussi à plomber le marché des logements en France. Certes, le record enregistré l’année dernière n’a pas été égalé, mais l’écart n’est pas si énorme que cela. Les statistiques des notaires ont en effet fait ressortir près de 980 000 transactions pour cette année, contre 1 065 000 en 2019.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.