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Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 26 février 2024 . Temps de lecture : 8 min
Réduire vos impôts, développer votre patrimoine, bénéficier de revenus complémentaires ou préparer votre retraite... Les raisons de réaliser un investissement locatif sont nombreuses. Mais pour réussir votre acquisition immobilière, il vaut mieux connaître quelques points clés. Quel type de bien choisir ? Dans quel cadre investir ? Pour quelle rentabilité ? Avec quelle fiscalité à la clé ? Suivez notre guide de l’investissement locatif pour retrouver les différentes fiches pratiques sur le thème, situées en bas de page.
L'investissement locatif est l'achat d'un bien immobilier par un particulier dans l'intention de le louer (et non d’y résider). L’investissement peut se faire dans différents types de biens, qu’ils soient à vocation d’habitation ou à usage professionnel : appartement ou maison individuelle (en vide ou meublé ; dans le neuf ou dans l’ancien), local professionnel (bureaux ou "murs commerciaux”), parking, logement aménagé pour un public spécifique (chambre en maison de retraite ou logement d’étudiant)... Il est aussi possible d’acquérir des parts de SCPI (sociétés civiles de placement immobilier).
Il existe plusieurs dispositifs ou formes d’investissement locatif parmi lesquelles : la location immobilière classique, la location saisonnière, le bail commercial, l’investissement en loi Pinel, la location meublée professionnelle (LMP), la location meublée non professionnelle (LMNP), la société civile de placement immobilier (SCPI)...
Investir en locatif peut avoir plusieurs objectifs : placer son argent, créer des revenus complémentaires, anticiper sa retraite, transmettre son patrimoine ou encore défiscaliser (c’est-à-dire payer moins d’impôts).
Faire un investissement locatif peut permettre de s’assurer un revenu complémentaire régulier, via le paiement des loyers du locataire. Et ce que le bien soit loué en continu ou de façon saisonnière (de particulier à particulier, via une plateforme d’annonces...). Ces rentrées d’argent peuvent servir à améliorer le quotidien ou même à bien anticiper sa retraite. Car pour maintenir son pouvoir d’achat et pallier des pensions de retraite pas toujours bien garnies, il est en effet essentiel d’anticiper le plus tôt possible pour compenser sa baisse de revenus.
Second avantage de l’investissement locatif : il vous permet de vous constituer un patrimoine pouvant être légué plus tard. Par ailleurs, vous pourrez éventuellement vivre dans ce logement dans quelques années ou même laisser vos enfants en disposer quand vous ne souhaiterez plus le louer.
Enfin, vous avez la possibilité de diminuer vos impôts grâce à différents mécanismes créés par le législateur (Pinel, Denormandie, etc). Investir dans l’un de ces cadres permet d’obtenir une réduction d’impôt, sous réserve de respecter les conditions prévues par le dispositif.
Il existe différents dispositifs et tous ne présentent pas les mêmes avantages. Citons ici les principaux.
Avant de vous accorder un crédit, la banque examine votre situation financière. Elle étudie l’ensemble de vos revenus et vos charges fixes afin de vous laisser un reste à vivre suffisant, puis détermine votre capacité d’endettement (c’est-à-dire le montant maximal que vous pouvez rembourser sans difficultés). Il correspond environ à 35% de vos revenus.
Pour consolider son dossier, on conseille donc généralement de se constituer un apport. On a coutume de dire qu'il faut prévoir un apport minimal de 10% correspondant aux frais annexes (frais de notaire, frais d’agence, garanties) liés à l'acquisition du bien.
Toutefois, l’apport personnel demandé dans le cadre d’un investissement locatif est souvent inférieur à celui réclamé par les banques pour l’acquisition d’une résidence principale. D'après des chiffres de l’ACPR (Autorité de contrôle prudentiel et de résolution) à fin 2020, l'apport n'était en moyenne que de 6% environ pour les investisseurs locatifs, contre 16% environ pour l'ensemble des emprunteurs. Si les établissements de crédit se montrent plus cléments, c’est souvent que les personnes empruntant pour du locatif disposent déjà d’un patrimoine financier et/ou immobilier conséquent.
Faire un investissement locatif avec 0 euro d’apport est-il cependant possible ? Pourquoi pas, à condition d’avoir un dossier très “costaud”. Pour rassurer la banque et maximiser ses chances d’obtenir un prêt immobilier, il va falloir lui présenter un projet cohérent et disposer d’un très bon profil. Il est ainsi indispensable de :
Avant de jeter définitivement votre dévolu sur un bien, il est primordial de s’intéresser à son implantation géographique, au réseau de transports, aux évolutions programmées du quartier... Il convient également d’étudier les tarifs de location pratiquées dans le périmètre où vous souhaitez investir.
Choisissez une zone attractive et dynamique susceptible d'attirer le plus grand nombre, pour ne pas voir votre investissement devenir une charge financière si vous rencontrez des difficultés à le louer. Pensez aussi au potentiel de revente et listez les atouts de son emplacement pour les locataires potentiels (proximité des commerces, écoles, transports en commun, etc.).
Se pose aussi la question de savoir s’il est plus rentable d'investir dans l'ancien ou le neuf. Généralement, les logements anciens sont moins chers à l’achat que les biens neufs. Les frais de notaire associés à la transaction sont moins élevés aussi.
Cependant, les dispositifs d’avantages fiscaux sont principalement concentrés sur l'immobilier neuf. Mais il faut être prêt à supporter plusieurs contraintes : démarches chronophages, obligation de louer le bien sur une durée minimale, le conserver plusieurs années avant de le revendre pour que l’opération soit rentable, etc.
Concernant l'ancien, pour bénéficier d’une réduction d’impôt, il faut généralement se sentir capable d’entreprendre de gros travaux de rénovation.
ConseilGardez constamment à l’esprit qu’investir dans le locatif représente aussi un coût au fil des ans : frais d’entretien, frais de copropriété, taxe foncière, frais de gestion locative, voire garantie loyers impayés... Des éléments à prendre en compte dès le début pour éviter les biens dégradés, mal isolés, fortement taxés, aux lourdes charges de copropriété, etc.
Avant de se lancer dans un investissement locatif, mieux vaut évidemment avoir en tête la rentabilité potentielle de l’opération. Et le prix d’achat du bien immobilier et le montant fixé pour le loyer ne peuvent évidemment pas être les seuls critères à prendre en compte. Car de nombreuses charges viennent alourdir la facture et impacter la rentabilité d’un investissement locatif.
Pour estimer cette rentabilité, on peut procéder au calcul suivant (qui reste un peu “grossier” ou théorique puisque les recettes et dépenses liées au logement peuvent évoluer au fil des ans) :
Taux de rentabilité nette = (Loyer mensuel appliqué x 12 mois) - charges annuelles (taxe foncière, charges de copropriété non récupérables, frais de gestion locative, frais de réparations ou travaux...) / prix d’achat du bien x 100
Quand vous optez pour le régime réel lors de votre déclaration de revenus, vous pouvez déduire certaines charges de votre revenu locatif. Les charges déductibles comprennent : les frais de gestion locative, les intérêts d’emprunt, les charges de copropriété, les impôts et taxes non récupérables auprès du locataire, les travaux d’amélioration du bien comme les assurances.
On parle de déficit foncier lorsque la somme des charges déductibles dépasse le montant des loyers perçus. Déclarable dans certaines conditions, le déficit foncier permet de réduire l’imposition sur le revenu.
Oui ! En 2024, pour être proposé à la location, un logement doit consommer moins de 450 kWh/m²/an. Les logements devront, pour être loués, appartenir au maximum à la classe(*) F en 2025, E en 2028, D en 2034.
(*) Du Diagnostic Performance énergétique (DPE)
Écrit par La rédaction Meilleurtaux
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