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Acheter seul un bien immobilier : ce qu'il faut savoir

Écrit par Fabienne CORNILLON . Mis à jour le 28 mai 2025 .
Temps de lecture : 13 min

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Acheter un bien immobilier seul, sans co-emprunteur, est tout à fait réalisable, que ce soit votre premier achat ou non. Si cette démarche présente des défis spécifiques, elle offre aussi une grande liberté. Mais comment convaincre la banque ? Quel apport est nécessaire ? Quelles aides peut-on solliciter ? Découvrez dans ce guide complet tout ce qu’il faut savoir pour mener à bien votre projet immobilier en solo.

L’essentiel à retenir

  • Il est tout à fait possible d’accéder seul à la propriété, même sans apport, si le profil de l’emprunteur est solide.
  • Être l’unique propriétaire permet une totale autonomie dans les décisions et la gestion du bien.
  • Un apport d’au moins 10 % est recommandé, mais certaines aides permettent de pallier son absence.
  • La stabilité professionnelle, la gestion de vos comptes et le reste à vivre sont déterminants pour la banque.
  • Faire appel à un courtier peut grandement faciliter l’obtention du prêt et optimiser les conditions.
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Pourquoi acheter seul ? Avantages et inconvénients d'un achat seul

Devenir propriétaire seul est un choix souvent motivé par un besoin d’indépendance, une séparation ou une situation personnelle. Si cela peut offrir une certaine liberté, il faut aussi mesurer les contraintes financières ou administratives liées à ce type d'engagement.

Les avantages d'être l'unique propriétaire de son bien

L’un des atouts majeurs de l’achat en solo est l’autonomie totale : pas besoin de concertation, une gestion simplifiée du bien, et la pleine propriété. Cela signifie aussi que les éventuelles plus-values futures reviennent exclusivement à l’acheteur. Enfin, le financement est plus simple à répartir en cas de revente.

Les défis et inconvénients à considérer quand on achète seul

En revanche, acquérir seul implique de porter seul la charge financière. La capacité d’emprunt est mécaniquement plus faible qu’à deux, ce qui peut limiter le type de bien visé. De plus, en cas d’imprévus (perte d’emploi, maladie), aucune autre personne ne vient soutenir le remboursement.

Quels types de biens immobiliers acheter seul ?

Acheter un bien immobilier en solo n’impose pas de restrictions en matière de choix : studio, appartement, maison, dans l’ancien ou dans le neuf — toutes les options sont envisageables. Toutefois, la clé du succès réside dans l’adéquation entre votre projet et vos capacités financières.

En solo, il est souvent plus judicieux de cibler des biens dont le prix reste en phase avec votre capacité d’endettement et votre apport personnel. Les petites surfaces, comme les studios ou les deux-pièces, représentent une option attractive, notamment en centre-ville où la demande locative reste forte, ce qui peut aussi offrir une sécurité en cas de revente ou de mise en location ultérieure.

Les biens anciens nécessitant des travaux peuvent également être une opportunité. Leur prix de vente est généralement plus abordable, et les travaux permettent de personnaliser le logement tout en valorisant le bien sur le long terme.

Cela dit, il faut s'assurer de bien estimer le coût total des rénovations et de disposer d’un budget suffisant pour les financer.

Les programmes neufs, quant à eux, séduisent par leur confort, leur efficacité énergétique et les garanties offertes (décennale, biennale, etc.). Ils permettent aussi de bénéficier de dispositifs avantageux comme la TVA réduite à 5,5% dans certaines zones, ou encore le prêt à taux zéro (PTZ), sous conditions de ressources.

En définitive, le choix du type de bien dépendra non seulement de votre budget, mais aussi de vos priorités : confort de vie, potentiel de valorisation, charges d’entretien, fiscalité, ou encore perspective de revente.

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Quel salaire faut-il pour acheter seul ?

En général, votre mensualité de crédit ne doit pas dépasser 35% de vos revenus mensuels nets. Pour un achat seul, cela signifie que plus votre salaire est élevé, plus vous pourrez emprunter.

À titre d’exemple, un salaire net mensuel de 2 500 € permet en moyenne d’emprunter environ 155 000 € sur 25 ans à un taux classique, hors assurance. Mais il faut, pour calculer sa capacité d’emprunt, également intégrer les charges existantes, comme un crédit à la consommation ou un loyer actuel.

Acheter seul en étant en couple ou marié

Il est tout à fait possible d’acquérir seul un bien immobilier, même si l’on est en couple ou marié. Toutefois, l'état matrimonial du couple joue un rôle essentiel. Dans le cadre d’un mariage sous le régime de la communauté, le bien peut être considéré comme commun, même si un seul partenaire figure à l’acte.

Pour garantir une propriété exclusive, il est conseillé d’envisager un contrat de mariage sous le régime de la séparation de biens, ou de faire mention explicite de la provenance des fonds dans l’acte.

En concubinage, il est essentiel d’anticiper les conséquences juridiques en cas de séparation, car le partenaire non-propriétaire n’aura aucun droit sur le bien. Une consultation avec un notaire est fortement recommandée pour sécuriser l'acquisition et prévenir les litiges.

Exemple de capacité d’emprunt en fonction du salaire net mensuel (en euros) pour un achat immobilier seul

Prenons un exemple pour un crédit immobilier, hors assurance, à un taux de 3,35% sur 25 ans (taux moyen à mai 2025), avec un taux d'endettement de 35% respectant les normes du HCSF en vigueur.

Salaire net mensuel Capacité d'emprunt estimée sur 25 ans Apport conseillé (environ 10%) Type de bien possible (à titre indicatif)
1 800 € ~120 500 € 12 000 € Studio ou petit T2 ancien
2 200 € ~147 000 € 14 700 € T2 ou petit T3 en périphérie
2 500 € ~167 500 € 16 000 € T3 ancien ou neuf en zone abordable
3 000 € ~201 000 € 20 000 € T3/T4, voire maison selon la zone
3 500 € ~234 500 € 23 000 € Maison ou grand appartement

Ces montants sont indicatifs et peuvent varier selon votre situation (primo-accédant, autres crédits, aides disponibles comme le PTZ pour un premier achat). N’hésitez pas à utiliser un simulateur de crédit immobilier.

N’oubliez pas que votre type de contrat de travail (CDI, CDD, indépendant) joue un rôle essentiel dans l’analyse de votre dossier par la banque.

Astuce 

Vous pouvez aussi consulter un courtier ou un partenaire bancaire pour affiner votre plan de financement.

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Comment acheter une maison ou un appartement seul ? Les étapes clés

Comme pour tout projet immobilier, devenir propriétaire solo demande une préparation rigoureuse. Du budget au financement, voici les étapes essentielles pour maximiser vos chances d’obtenir un crédit et vous installer chez vous.

Définir son projet et établir un budget réaliste

Tout commence par une évaluation rigoureuse de votre contexte financier. Il s'agit de connaître précisément vos revenus, vos charges récurrentes, et votre capacité d’épargne.

Cela permet de déterminer un budget global cohérent, intégrant non seulement le prix du bien, mais aussi les frais annexes tels que les frais de notaire, les garanties, les éventuels travaux à prévoir ou encore les frais de déménagement. En solo, mieux vaut anticiper une petite marge de sécurité pour faire face aux imprévus.

Présenter un dossier bancaire solide

Pour convaincre un établissement prêteur, votre dossier doit être irréprochable. Il doit refléter votre stabilité professionnelle et votre bonne gestion budgétaire. Les pièces classiques à fournir incluent une pièce d’identité, un justificatif de domicile, vos trois derniers bulletins de salaire et les deux derniers avis d’imposition.

À cela s’ajoutent les relevés de compte des trois derniers mois, qui permettront à la banque d’évaluer votre comportement financier, ainsi que les éventuels justificatifs d’épargne et les tableaux d’amortissement de crédits en cours. Plus votre dossier est complet et cohérent, plus vous renvoyez une image rassurante à la banque.

Miser sur l’apport personnel

Même si certains prêts peuvent financer 100% du bien, les banques apprécient les profils capables de mobiliser un apport personnel. Un apport minimum de 10% est généralement requis pour couvrir les frais de notaire et les garanties.

Mais si vous pouvez aller au-delà — 15 à 20% par exemple —, cela joue en votre faveur. Cela prouve votre capacité à épargner, réduit le montant emprunté et peut ouvrir la voie à des conditions de crédit plus avantageuses. C’est un signal fort envoyé à l’établissement bancaire, surtout lorsque vous achetez seul.

Les aides et dispositifs accessibles en solo

Acquérir un bien immobilier seul ne signifie pas être privé de soutien financier. Plusieurs dispositifs publics ou para-publics permettent d’alléger la charge d’un bien immobilier, à condition de remplir certains critères. Voici les principales aides accessibles en solo :

Le Prêt à Taux Zéro (PTZ)

Le PTZ est une aide de l’État destinée aux primo-accédants, c’est-à-dire aux personnes achetant leur résidence principale pour la première fois. Il permet de financer une partie du bien sans payer d’intérêts.

Son attribution dépend de plafonds de revenus, de la localisation du logement et du type de bien (neuf ou ancien sous conditions de travaux). Le montant du PTZ peut atteindre jusqu’à 50% du coût total de l’opération dans certaines zones. En tant qu’acheteur solo, ce prêt peut faire une vraie différence dans votre montage financier.

Le Prêt d’Accession Sociale (PAS)

Le PAS est accordé sous conditions de ressources, généralement aux foyers modestes. Il permet de financer la totalité du coût (hors frais de notaire), y compris les travaux, sur une durée allant de 5 à 30 ans (35 ans dans certains cas).

Il ouvre aussi l'accès à l'Aide Personnalisée au Logement (APL). En achetant en solo, le plafond de ressources applicable est celui d’une seule personne, ce qui rend cette aide particulièrement accessible pour les profils modestes mais stables.

Le Prêt Action Logement

Anciennement appelé “1 % logement”, ce prêt s’adresse aux salariés d’entreprises du secteur privé non agricole comptant au moins 10 salariés. Il permet de financer jusqu’à 40 000 euros à un taux très avantageux (0,5 % hors assurance), remboursable sur une durée de 25 ans maximum.

Il est cumulable avec d’autres prêts et représente un vrai coup de pouce, notamment si vous n’avez pas d’apport conséquent. Un bon moyen d’alléger votre plan de financement si vous êtes salarié dans une entreprise éligible.

Les aides des collectivités locales

Certaines régions, départements ou communes proposent des aides à l'acquisition immobilière, souvent sous forme de subventions, de prêts bonifiés ou d’exonérations temporaires de taxe foncière.

Ces aides varient selon les territoires et sont parfois ciblées sur les jeunes actifs, les familles monoparentales ou les primo-accédants. En achetant seul, vous pouvez cumuler ces aides locales à d’autres dispositifs nationaux. Renseignez-vous auprès de votre mairie ou de votre conseil départemental.

La TVA réduite à 5,5 % pour certains logements neufs

Dans certaines zones d’aménagement (quartiers prioritaires de la ville ou zones ANRU), l'acquisition d'un logement neuf peut bénéficier d'une TVA réduite à 5,5% au lieu de 20%.

Cette mesure permet de réduire significativement le prix d’achat. Elle est soumise à des plafonds de revenus et à l'obligation de résidence principale pendant un certain nombre d'années. Si vous achetez seul, avec des revenus modestes, cette réduction de TVA peut rendre un bien neuf plus accessible.

Faire appel à des professionnels

Un courtier en crédit immobilier comme Meilleurtaux peut analyser votre dossier, comparer les offres bancaires et maximiser vos chances d’obtenir un prêt. Il vous accompagne également dans la constitution du dossier et la négociation des taux.

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Spécificités et considérations selon l'âge ou la situation

L’achat immobilier en solo peut se présenter à différents moments de la vie. Selon l’âge, la situation professionnelle ou familiale, les enjeux et les leviers financiers varient. Voici un tour d’horizon des profils les plus courants et des spécificités à prendre en compte.

Acheter seul à 40 ans ou plus : stabilité et vigilance sur la durée de prêt

Passé 40 ans, acheter solo est une démarche fréquente. À cet âge, les acheteurs disposent souvent d’une position professionnelle établie, d’une capacité d’épargne plus solide, et parfois d’un apport personnel conséquent, fruit de plusieurs années de travail. Ces éléments rassurent les établissements prêteurs, qui valorisent la stabilité de l’emprunteur.

Cependant, les banques seront plus attentives à la durée de l’emprunt. En effet, plus on avance en âge, plus les conditions d’assurance emprunteur deviennent strictes, avec des primes qui peuvent être plus élevées ou des garanties plus limitées.

Les établissements préfèrent souvent limiter la durée du prêt à un horizon raisonnable – souvent 70 ou 75 ans en fin de prêt – ce qui peut impliquer des mensualités plus élevées à effort constant.

Conseil

Il peut être judicieux, dans ce cas, de négocier une assurance emprunteur individuelle auprès d’un assureur externe (délégation d’assurance) pour alléger le coût global du crédit.

Acheter seul en tant que jeune actif ou primo-accédant : miser sur le potentiel

Les jeunes actifs ou primo-accédants ont moins d’ancienneté professionnelle, parfois peu ou pas d’apport, et une situation financière encore en construction. Néanmoins, leur jeunesse constitue un atout : ils bénéficient d’une espérance de carrière et de revenus croissante, ce qui peut rassurer les banques sur leur capacité future de remboursement.

De plus, les banques voient dans les primo-accédants des clients avec lesquelles une relation de long terme peut se mettre en place.

De nombreux dispositifs sont d’ailleurs conçus pour les soutenir dans leur projet immobilier : Prêt à Taux Zéro (PTZ), conditions de prêt plus longues (jusqu’à 25 voire 30 ans), frais de garantie réduits ou encore aides locales spécifiques aux jeunes actifs ou étudiants en reconversion.

Conseil

Valorisez vos perspectives d’évolution de carrière et votre discipline financière (épargne mensuelle, gestion saine des comptes) lors du montage du dossier.

Acheter après une séparation ou un divorce : reconstruire un projet

Après une séparation, il est courant de chercher à se reloger rapidement, souvent en solo. Cela implique parfois de reprendre un crédit seul, ou d’acheter un bien avec un budget plus restreint. Dans ce cas, les banques étudient de près la stabilité financière post-séparation : niveau de charges, pension éventuelle à verser ou à percevoir, garde des enfants, etc.

Un projet bien préparé, avec une capacité d’épargne démontrée et une situation professionnelle solide, rassure. Les aides comme le PAS ou certaines subventions locales (aides aux familles monoparentales, par exemple) peuvent être activées dans ce contexte.

Acheter seul en tant que senior ou proche de la retraite

Passé 55 ou 60 ans, il reste tout à fait possible d’acheter un bien immobilier seul, notamment pour préparer sa retraite, déménager dans un logement mieux adapté, ou se rapprocher de proches. À cet âge, les banques examinent avant tout :

  • La durée du prêt souhaitée ;
  • Le niveau de retraite à venir ou les revenus complémentaires ;
  • L’état de santé, pour fixer l’assurance emprunteur.

Dans certains cas, des alternatives au crédit classique peuvent être envisagées :

  • Le prêt viager hypothécaire : permet d’emprunter sur la base de la valeur du bien, sans remboursement de mensualités de son vivant ;
  • L’achat en démembrement : pour transmettre tout en conservant l’usage du bien ;
  • La vente avec réserve d’usufruit ou en viager, en complément d’un projet d’achat.

Conseil

Une bonne anticipation et une projection réaliste de ses besoins futurs (accessibilité, charges, proximité des services) sont clés pour sécuriser son achat.

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Acheter seul sans apport : est-ce possible ?

Il est difficile mais pas impossible d’acheter sans apport en solo. Un excellent profil (revenus élevés, stabilité, épargne de précaution) peut convaincre une banque.

Certains dispositifs comme le PTZ permettent aussi de réduire l’apport. Toutefois, la négociation sera plus ardue et le taux généralement moins favorable.

Surmonter les difficultés courantes de l'achat solo

Acheter un bien immobilier seul(e) peut sembler intimidant. Entre les contraintes financières et la solitude face aux décisions importantes, le parcours peut parfois décourager. Mais rassurez-vous : ces obstacles sont fréquents et loin d’être insurmontables.

Voici les principales difficultés rencontrées par les acheteurs solo :

  • Une capacité d’emprunt limitée : sans co-emprunteur, le montant que vous pouvez obtenir est directement lié à vos seuls revenus. Cela peut réduire la surface ou l’emplacement du bien visé.
  • Une pression psychologique importante : vous devez tout assumer seul(e) — des visites aux négociations, jusqu’au choix du notaire. Cela peut générer du stress ou de la fatigue mentale.
  • Un dossier de financement plus délicat à défendre : les banques sont parfois plus exigeantes avec un emprunteur seul, surtout en l'absence d'apport conséquent ou de contrat stable.

Ajouter un co-propriétaire après l’achat

Il est possible, après un achat immobilier réalisé seul, d’ajouter son partenaire comme nouveau co-propriétaire, par exemple en cas de mise en couple ou de mariage après l’acquisition. Cela nécessite un acte notarié de donation ou de vente d’une part du bien, avec des conséquences juridiques et fiscales à anticiper.

Il est donc vivement recommandé de consulter un notaire pour étudier les différentes options (donation, indivision, création d’une SCI...) avant d'engager ce type de démarche.

Emprunter seul : comment optimiser sa capacité d’emprunt ?

Lorsque l’on achète seul, chaque levier compte pour convaincre la banque. Avant de déposer une demande, il est utile de réduire ses charges fixes, en limitant par exemple les abonnements superflus ou en soldant certaines dettes. Si plusieurs crédits sont en cours, les regrouper peut aussi permettre de dégager une mensualité plus légère et donc un meilleur taux d’endettement.

Il peut également être pertinent de différer légèrement son achat pour renforcer son apport personnel, ce qui améliore le profil emprunteur tout en réduisant le montant à financer. Domicilier ses revenus dans l’établissement prêteur peut aussi jouer en sa faveur, tout comme le recours à un courtier, capable de négocier les meilleures conditions auprès de plusieurs banques.

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Questions fréquentes sur l'achat immobilier seul

Comment est évalué le pouvoir d'achat d'une personne seule par les banques ?

Les banques analysent plusieurs éléments : le revenu net mensuel, le taux d’endettement (maximum 35 %), et le reste à vivre. Ce dernier est particulièrement scruté quand on est seul, car il détermine la capacité à vivre correctement après paiement des charges fixes et du crédit. Une gestion saine des comptes et une situation professionnelle stable sont de solides atouts.

Quels sont les frais à prévoir quand on achète seul ?

Outre le prix du bien, il faut prévoir :

  • Les frais de notaire (7 à 8 % dans l’ancien, 2 à 3 % dans le neuf).
  • Les frais de garantie (hypothèque, caution).
  • Les frais de dossier bancaire.
  • Les frais liés au déménagement et à l’équipement du logement.

Tous ces frais peuvent être couverts en partie par l’apport personnel ou certaines aides.

Quel apport faut-il ?

Un apport de 10% est souvent considéré comme un minimum, car il permet de couvrir les frais annexes. Toutefois, un apport de 20% est idéal pour améliorer les conditions du prêt (taux plus bas, mensualités réduites). Si vous êtes primo-accédant, certaines aides peuvent réduire ce besoin.

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