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Malgré le contexte économique difficile, le nombre de dossiers de surendettement déposé auprès des commissions départementales de la Banque de France est en net recul par rapport aux années précédentes. L’enquête menée par cette institution révèle aussi que les femmes et les personnes isolées sont les plus touchées par le surendettement.
Si 2023 apportera forcément son lot de nouveautés, il est une chose qui ne change pas en ce mois de janvier : obtenir un crédit peut s'avérer compliqué. Pourtant, surtout en début d'année, on a toujours envie d'améliorer son intérieur ou de lancer de nouveaux projets. Certaines choses peuvent attendre, mais d'autres ne peuvent être repoussées trop longtemps.
Le nombre de dépôts de dossiers de surendettement est en recul, mais il apparait clairement que le budget des ménages est aujourd’hui mis à rude épreuve et les risques de défaillance sont bien réels. C’est en tout cas l’inquiétude de la Banque de France, notamment à cause de l’inflation. L’explosion des demandes d’aide alimentaire semble conforter les craintes de l’institution.
Le gouvernement continue d’inciter les ménages à entreprendre des travaux de rénovation pour réduire leur consommation énergétique. Mais ces mêmes ménages, déjà sur la corde raide, ne peuvent plus se permettre de souscrire un crédit supplémentaire, leur solvabilité étant mise à mal. Des associations élèvent la voix pour pousser l’exécutif à l’action.
D’après les chiffres publiés par la Banque de France, les incidents de remboursement de crédit ont connu une hausse notable entre janvier et juillet 2022. Cette situation s’explique par la poussée inflationniste qui rogne le pouvoir d’achat des Français depuis le début de cette année.
« Vacances, j’oublie tout. » Le titre de ce tube de 1982 décrit bien l’état d’esprit qui vous gagne au moment de faire vos valises pour profiter de congés bien mérités. Malheureusement, cette douce sensation a son revers quand l’heure est venue de reprendre le travail. On pourrait la résumer en un titre de chanson qui, à notre connaissance, reste à écrire : « Rentrée, retour à la réalité. »
Obtenir un financement pour leur projet immobilier devient de plus en plus complexe pour les Français depuis le début de l’année. Un sondage réalisé par les 6 associations professionnelles d’intermédiaires en crédit (IOBSP) met ainsi en lumière une forte hausse des refus de prêts. 85 % des répondants déplorent en effet un taux de rejet supérieur à 20 % et ce taux grimpe même à 40 % pour 4 intermédiaires sur 10.
"L'avenir ne se prévoit pas, il se prépare", disait le philosophe Maurice Blondel. Et si le but n'est pas de gâcher vos vacances, il est de notre devoir de vous rappeler une chose : la rentrée, c'est (presque) déjà demain.
Depuis la fin du premier trimestre 2022, les professionnels du crédit ont observé une progression sensible du volume des emprunts de moins de 2 000 euros souscrits par les ménages. Face à l’inflation, les Français sont contraints de piocher dans leurs économies et de recourir aux prêts pour financer leurs dépenses au quotidien.
La forte hausse des prix à la consommation se répercute durement sur le pouvoir d’achat des Français. Pour un grand nombre de ménages, il est devenu difficile de « joindre les deux bouts » et afin de pouvoir payer leurs dépenses contraintes et les factures d’énergie, ils recourent de plus en plus aux crédits à la consommation.
La Banque de France annonce avoir réceptionné 39 113 dossiers de surendettement entre le 1er janvier et le 30 avril 2022. Par rapport aux 44 703 demandes déposées au cours de la même période un an plus tôt, ce nombre est en baisse de 13 %. Ce phénomène peut surprendre, alors que la forte inflation pèse sur le pouvoir d’achat des ménages.
Les crédits en tout genre font aujourd’hui partie intégrante de la vie des ménages français, des plus défavorisés aux plus aisés. Si le prêt immobilier reste le plus significatif d’entre eux, les petits crédits à la consommation et autres emprunts s’accumulent également bien assez vite, plongeant le ménage dans le désarroi lors des remboursements. Comme solution, le regroupement de crédit peut alors être salutaire.
Le nombre des incidents de remboursement des crédits aux particuliers progresse depuis le début cette année. Bien que la hausse reste modérée d’après les chiffres de la Banque de France (+10 % entre avril 2021 et avril 2022), la poussée inflationniste pourrait compliquer le remboursement des crédits souscrits par certains ménages.
Un nouveau gouvernement a été nommé vendredi dernier et il ne compte aucun ministre du pouvoir d’achat dans ses rangs. Pourtant, le premier défi de la nouvelle équipe en place sera bien de trouver des solutions pour amortir la flambée des prix.
Depuis le début de l’année, les taux d’intérêt des prêts immobiliers remontent. En parallèle, le pouvoir d’achat des Français est en baisse, alors que les normes du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) en matière d’endettement deviennent juridiquement contraignantes. Dans ce contexte, les candidats à l’achat d’un logement doivent trouver des parades pour financer leur projet.
C’est un fait : la rentrée approche. Et pas seulement celle suivant les vacances de printemps pour les chanceux qui sont encore concernés. Dans 4 mois, ce sera la rentrée scolaire de septembre. Si vous avez des enfants, c’est une échéance qui se prépare, plus encore s’ils commencent ou poursuivent des études supérieures.
En janvier 2021, le haut conseil de stabilité financière recommande aux banques de refuser tout crédit immobilier aux consommateurs dont le taux d’endettement dépasse 35 % après l’opération. Cette suggestion s’est mutée en règle cette année. Ce resserrement des conditions d’emprunt pénalise nombre d’investisseurs, qui doivent redoubler d’efforts pour bétonner leur dossier.
Ces derniers mois, la crise de l’énergie et l’inflation galopante qui touchent les matières premières menacent sérieusement les finances des familles les plus vulnérables. Curieusement, les ménages semblent résister à cette période difficile, à en croire les derniers chiffres de la Banque de France sur les dossiers de surendettement entre janvier et mars.
Depuis quelques années, les grandes enseignes de distribution sont tombées sous le charme des paiements fractionnés. Ce dispositif consiste à autoriser les règlements en trois ou quatre fois d’une marchandise pendant trois mois. Particulièrement avantageux pour le consommateur, cette pratique inquiète des économistes, qui la considèrent comme un facteur de surendettement.
L’année 2022 se présente sous les meilleurs auspices pour les emprunteurs. Jusqu’à présent, elle est marquée par une remontée des taux de crédit immobilier, un phénomène adopté par les banques sur le territoire français. Face à cette opportunité, des emprunteurs avisés ont entamé les démarches pour renégocier leur prêt à leur avantage.
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La baisse du montant des mensualités suppose un allongement de la durée de remboursement et une majoration du coût total d'un ou de plusieurs crédits objets du regroupement.
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