Déjà au centre de vives tensions en 2018, puis fortement rogné en 2020 à cause de la pandémie, le pouvoir d’achat des Français suscite toujours autant l’inquiétude. Les nombreux crédits souscrits avant la crise, qui apparaissaient à l’époque comme grandement abordables, mettent aujourd’hui les ménages en grande difficulté. Heureusement, des solutions existent.
Le SMIC augmente d’un peu moins de 1 % cette année et se chiffre à 1 554,58 euros bruts. Afin de renforcer le pouvoir d’achat des travailleurs aux faibles revenus, le gouvernement a choisi de miser sur les prestations sociales.
Un marché immobilier trop dynamique, voilà à quoi est actuellement confrontée la Chine. Comme tous les secteurs, l’immobilier chinois a connu un coup d’arrêt au plus fort de la crise sanitaire, mais depuis, l’activité est reparti de plus belle, faisant même craindre aux autorités la formation d’une bulle financière. Un tel scénario pourrait s’avérer très dangereux pour les banques.
À peine arrivés dans leur mairie respective, les nouveaux élus du Val-de-Marne ont déjà trouvé de quoi s’occuper, en l’occurrence le sort des habitants fortement secoués par la crise sanitaire et économique. Ainsi, les différentes villes de la région ont tenu à apporter leur aide à ceux qui sont frappés par la précarité.
Avant la crise sanitaire, en dépit de la multiplication des dossiers de crédit, les défauts de remboursement se faisaient rares. Mais après deux confinements et le chômage (partiel ou total) qui en a résulté, la donne a changé. L’association UFC-Que Choisir tire aujourd’hui la sonnette d’alarme. Elle redoute une multiplication des défaillances pour les différents emprunteurs.
Les résultats d’une étude publiée par la Banque de France le 15 décembre dernier ont mis en évidence le poids des dettes locatives dans les dossiers de surendettement. En 2019, environ 50 % des ménages surendettés sont en situation d’impayés de loyers. Sur 135 000 dossiers acceptés, 64 484 comportent des dettes locatives, et plus des deux tiers de ces débiteurs (63 %) vivent dans une extrême précarité.
La crise économique provoquée par la pandémie de Covid-19 a mis les finances des Français à mal. En affectant les revenus de millions de personnes, la crise a entrainé une baisse de pouvoir d’achat. Les ménages ayant plusieurs crédits en cours ont été les plus durement touchés par la situation, avec la menace du surendettement.
La baisse du montant des mensualités suppose un allongement de la durée de remboursement et une majoration du coût total d'un ou de plusieurs crédits objets du regroupement.
Aucun versement, de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d'un particulier, avant l'obtention d'un ou plusieurs prêts d'argent.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.