Cette année, les banques pourraient réviser à la hausse les prix de certains de leurs services, voire de facturer ceux jusqu’à présent gratuits. Un nouveau coup dur pour le porte-monnaie des ménages français qui, pour éviter de puiser dans leur bas de laine, n’ont nul autre choix que d’apprendre à bien gérer leurs finances.
L'Institut d'émission (Iedom) vient de rendre publique sa note trimestrielle sur les tendances conjoncturelles, et le tableau n’est pas rose. Le chômage repart à la hausse, après un net repli au cours du trimestre précédent. La détérioration du climat économique devrait peser lourd, notamment sur la trésorerie des particuliers, malgré la reprise de la consommation. Le surendettement guette ainsi de nombreux ménages.
Actuellement, les taux directeurs de la BCE sont au plus bas. Et ils ne sont pas prêts de repartir à la hausse dans les prochains mois. En effet, l’objectif de Mario Draghi est de stimuler l’inflation dans la zone euro, et de la maintenir à environ 2 %. Le moment est donc propice pour les détenteurs d’un prêt de se lancer dans un rachat de crédit. À ce sujet, il faut savoir qu’une telle opération n’est pas exclusivement réservée aux prêts immobiliers, puisque tout type de crédit peut être racheté.
La baisse du montant des mensualités suppose un allongement de la durée de remboursement et une majoration du coût total d'un ou de plusieurs crédits objets du regroupement.
Aucun versement, de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d'un particulier, avant l'obtention d'un ou plusieurs prêts d'argent.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.