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Il est fort probable que les banques cherchent à compenser le manque à gagner engendré par les évènements de ces dernières années, mais il semble que la hausse des taux d’emprunt ne soit pas parmi les chemins empruntés pour renflouer les caisses. Bien au contraire, les candidats à l’emprunt ont l’agréable surprise d’assister à une baisse continue des taux d’intérêt.
Les voyants sont au vert pour les candidats à l’accession à la propriété. Alors que les taux de l’usure sont en légère hausse, les taux d’intérêt des crédits immobiliers sont à nouveau descendus. Par ailleurs, le HCSF a assoupli ses exigences en matière d’endettement en décembre 2020, permettant le retour de certains emprunteurs sur le marché.
Les banques françaises ont constaté une baisse inévitable du volume de crédits immobiliers accordés durant l’année 2020. En réalité, il s’agit de la confirmation de ce que beaucoup redoutaient puisque, au cours des neuf derniers mois de l’année, le pays a été aux prises avec une crise que personne n’imaginait perdurer aussi longtemps.
Sur fond de crise sanitaire et économique, le marché immobilier a ralenti en 2020. Cette décélération concerne aussi bien le segment du neuf que celui de l’ancien. Malgré tout, le secteur est resté dynamique, comme en témoignent les rapports publiés par les professionnels. Les chiffres font ainsi état de 900 000 transactions recensées l’année dernière.
Le marché immobilier à Rennes et sa périphérie se portent à merveille. Avec 5300 nouveaux arrivants par année en moyenne, la demande en logements ne faiblit pas. Mais alors qu’il faut construire au minimum 4000 unités par an, l’offre de biens neufs peine à suivre à cause de la rareté et de la cherté du foncier.
Après avoir bondi de 65 % en dix ans, les prix de l’immobilier à Bordeaux semblent se calmer. Bien que la métropole séduise toujours autant dans une région économiquement dynamique et à l’évolution démographique positive. Toutefois, une migration progressive du marché depuis le cœur de la ville vers la première couronne est observée.
Tous les acteurs économiques, particuliers et professionnels, ont été durement affectés par la crise sanitaire. Les ménages, notamment, sont nombreux à avoir subi des baisses de revenus. Ce contexte particulier fait craindre aux économistes une hausse des impayés et par conséquent, un durcissement des conditions d’octroi de prêt par les banques.
Le secteur de l’investissement locatif n’est pas un marché figé. La rentabilité d’une ville dépend de plusieurs paramètres, lesquels évoluent en fonction de différents évènements. Les prix de l’immobilier fluctuent et la demande de location n’est jamais la même, suivant le contexte économique. Dans la période actuelle, marquée par la crise sanitaire, Nancy apparait comme la ville où il faut investir.
En 2020, le marché de l’immobilier neuf a subi les effets de la crise sanitaire et économique. Aussi bien l’offre que le volume de ventes ont baissé par rapport à 2019 à travers la France, affectant les acheteurs de leur résidence principale tout autant que les investisseurs en locatif. En ce début 2021, les conditions semblent favorables à une reprise.
En 2020, malgré une baisse des ventes attribuée à la pandémie de Covid-19 et ses répercussions sur l’économie, les prix immobiliers ont continué à grimper, notamment dans les grandes métropoles. Sans surprise, Paris reste la ville où la pierre coute le plus cher, mais d’autres communes franciliennes et de province figurent en bonne place sur le classement.
Le nouveau décret datant du 30 décembre dernier a pour but d’inciter les propriétaires à améliorer la performance énergétique de leur bien. Pour cela, ledit décret prévoit qu’au moment d’un changement de locataire ou d’un renouvellement du bail, le propriétaire ne peut pas augmenter son loyer si le logement appartient à la classe énergétique F ou G du DPE.
Malgré la crise, le marché de l’immobilier ancien en France continue à bien se porter avec des prix toujours élevés et une demande soutenue. Dans quelques grandes métropoles, à quelques exceptions près, les vendeurs profitent de ce dynamisme pour limiter la marge de négociation.
De manière générale, l’immobilier n’a pas vraiment souffert de la crise sanitaire. Mais si cette affirmation est vraie pour le marché de l’ancien, elle l’est moins pour celui du neuf. En effet, le segment neuf continue d’être englué dans une situation compliquée, souffrant d’un mal antérieur à la crise. Pour 2021, les perspectives ne s’annoncent guère réjouissantes, la pénurie de biens disponibles étant une menace réelle.
La nouvelle année démarre sous les meilleurs auspices pour le marché de l’immobilier. En effet, les taux d’emprunt poursuivent leur tendance baissière tandis que les taux d’usure remontent. L’allègement des conditions d’octroi de crédit devrait permettre à de nombreux Français de concrétiser leurs projets de vie. Associé à l’augmentation du taux d’endettement maximal à 35 %, cela pourrait contribuer à la relance du secteur immobilier.
Malgré la crise sanitaire et le durcissement des conditions d’obtention de crédits immobiliers, les investisseurs en locatif n’ont pas déserté le marché. Au cours des trois dernières années, la part de ce type de projets sur l’ensemble des transactions immobilières a bondi de 12 points pour s’établir à 29,4 %. L’Île-de-France est l’une des destinations privilégiées pour une telle opération.
Malgré l’apparition d’une nouvelle variante du coronavirus en fin 2020 et un rebond des contaminations imposant un nouveau confinement, les prix de l’immobilier résidentiel au Royaume-Uni ont poursuivi leur hausse. Ils ont même atteint un record en décembre avec une moyenne à 253 374 livres, soit une progression de 6 % par rapport à 2019.
Au même titre que l’évolution de la pandémie de Covid-19, le comportement du prix de l’immobilier en France est toujours entouré du flou le plus complet. Jusqu’ici, il a induit en erreur bon nombre d’observateurs qui se sont aventurés à émettre des prédictions. Et maintenant encore, les analystes ont du mal à s’entendre quant à sa future trajectoire.
Bien que les jeunes soient adeptes de l’économie de l’usage, la propriété d’un logement fait partie de leurs projets de vie. Une enquête conjointe du cabinet Deloitte et de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) livre des détails sur les aspirations des jeunes de 20 à 30 ans. Bien que plus coûteux, l’immobilier neuf les intéresse plus que l’ancien.
Ces dernières années, les taux d’emprunt immobilier n’ont cessé de dégringoler. Toutefois, à cause des restrictions du HCSF (Haut Conseil de stabilité financière) et du taux d’usure, un nombre important de porteurs de projet se sont retrouvés exclus du marché. En ce début d’année, la donne est en train de changer. Les conditions d’emprunt semblent s’être améliorées.
La hausse des prix est un des indicateurs utilisés pour mesurer la santé du secteur immobilier dans une ville. De ce point de vue, selon une étude récente, les métropoles régionales ont été bien portantes, bien plus que les grandes villes françaises. Le bilan immobilier de l’année 2020 met l’accent sur le regain d’attractivité des villes telles que Nîmes, Rennes ou Montpellier.
L’année 2020 a été une véritable montagne russe pour le marché immobilier. Elle a débuté dans d’excellentes conditions, enchaînant avec les performances de 2019, avant la pause du premier confinement. À la fin de celui-ci, le marché a à peine renoué avec son dynamisme avant de se retrouver à nouveau à l’arrêt. Le secteur s’est néanmoins relativement bien porté.
Après une année 2019 exceptionnelle, l’immobilier français a, comme la quasi-totalité des secteurs d’activité, connu des difficultés liées à la crise pandémique. Retour sur les faits marquants de l’année 2020 sur le marché immobilier, notamment en ce qui concerne la réglementation et les tendances. Et zoom sur les perspectives 2021.
Chaque année, les professionnels du marché immobilier établissent un classement des villes où l’investissement en locatif serait le plus rentable. En 2021, sur fond de crise sanitaire, les petites villes ont la faveur des investisseurs parce qu’elles présentent le cadre de vie recherché par les locataires après les épisodes de confinement.
Malgré la crise sanitaire et ses conséquences sur les finances des ménages, les biens haut de gamme en Île-de-France connaissent toujours un franc succès auprès des acquéreurs français. En revanche, ces derniers se montrent très exigeants, d’autant que l’offre est plus fournie. En conséquence, les biens surestimés peinent à trouver preneurs.
A l’heure des bilans, une étude présente le profil des acheteurs immobiliers en 2020. Candidats à la propriété ou investisseurs locatif, le constat souligne la disparité existante sur le marché immobilier parisien et national. La crise étant passée par là, le budget consacré aux projets immobiliers est en baisse par rapport à l’année dernière.
Plusieurs facteurs auraient pu faire dégringoler l’activité immobilière et les prix. Mais la pandémie de Covid-19 qui a entrainé la mise en place du confinement, le ralentissement de l’économie et le resserrement des conditions de prêt n’ont pas eu raison du marché. Dans de nombreux endroits, les biens continuent à gagner de la valeur, comme à Boulogne-Billancourt, dans les Hauts-de-Seine.
Malgré le fait que la demande en matière de logement est souvent forte dans les grandes métropoles, ces dernières sont rarement garantes d’une bonne rentabilité locative. D’après une étude récente, les investisseurs gagneraient plus à se tourner vers les villes de second plan, à l’image de Saint-Étienne, Nancy ou Rouen. Les grandes métropoles comme Paris, Marseille ou Bordeaux présentent un rendement moindre.
Les restrictions imposées pendant le confinement pour les visites immobilières ont été assouplies depuis le 18 décembre. En effet, le Conseil Scientifique Covid-19 vient de valider un nouveau protocole. Celui-ci comporte des dispositions destinées à réduire les risques de contamination au cours des visites des biens. Le respect strict des conditions sanitaires est ainsi exigé dans ce protocole
En réponse à la demande des professionnels de l’immobilier concernant un assouplissement des règles d’endettement relatives au crédit immobilier, le HSCF lâche un peu de lest. Des allègements sont accordés sur certains points-clés, l’objectif étant de favoriser la relance du secteur. Les aménagements devraient profiter notamment aux plus jeunes.
L’année 2020 s’achève dans quelques jours. Le dynamisme du marché immobilier a été freiné par la crise et l’accès difficile au crédit, dû au durcissement des conditions d’octroi dès le début de cette année. Malgré cela, les prix ont bondi de +6,5 % par rapport à 2019, avec une hausse plus marquée dans les grandes villes de plus de 100 000 habitants, d’après le baromètre immobilier LPI-SeLoger.
Six grandes métropoles françaises font désormais l’objet d’un encadrement de loyer et ce sera le cas jusqu’à l’année 2023, au moins. De bon augure pour les locataires, ce dispositif a tendance à faire baisser l’enthousiasme des investisseurs. Pourtant, l’encadrement des loyers peut également présenter certains avantages pour le bailleur.
Les analystes du marché immobilier viennent de livrer leur projection sur l’évolution des prix immobiliers à Paris et sa banlieue en 2021. Ainsi, ces experts anticipent une stagnation des prix dans la capitale du fait du recul de la demande. En revanche, la courbe continuerait à grimper pour les communes de la petite couronne ainsi que celle de la grande couronne.
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