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En 2020, les conditions d’octroi de crédit immobilier se sont durcies, suite à la mise en œuvre des recommandations du HCSF. En parallèle, les banques ont renforcé leurs exigences en matière d’apport personnel, avec une augmentation de 10,2 % sur un an. Désormais, il faut contribuer à hauteur de 15 % du montant de l’opération pour espérer obtenir un prêt.
Lorsqu’un couple fait l’acquisition d’un bien immobilier à deux, le paiement peut être effectué par un seul d’entre eux, affirme la Cour de cassation. En cas de séparation, ce dernier ne peut exiger à son ex-partenaire le remboursement de la part qui devait lui revenir sur le prêt à l’habitat.
Entre décembre 2020 et janvier 2021, la moyenne des taux de crédit à l’habitat est restée stable à 1,17 %, selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Pourtant, les barèmes des banques montrent une amélioration des conditions sur toutes les durées et tous les profils d’emprunteurs. Les candidats à l’accession à la propriété peuvent négocier des financements très avantageux en ce début d’année.
Devenir propriétaire de sa résidence fait partie des rêves de millions de Français. D’après les résultats d’une étude menée l’année dernière par une OpinionWay pour le compte d’un professionnel de l’immobilier, plus de 90 % des sondés se sont fixés comme objectif de vie à atteindre l’investissement dans un logement principal.
La crise du coronavirus a ouvert la voie à la digitalisation de la visite immobilière. Cette expérience a permis de découvrir les possibilités inédites de cette pratique. Autrefois inconcevable, une relation à distance entre les agents immobiliers et les clients est désormais courante. Les négociations se déroulent de plus en plus à travers le digital.
En ces périodes troubles, les incertitudes sont nombreuses et touchent presque tous les domaines et tous les secteurs d’activité. Le marché immobilier reste une exception. Même si elle n’a pas été épargnée par la crise, la pierre continue de montrer une certaine résilience et de démontrer sa fiabilité. En plus de constituer une valeur refuge, le secteur peut offrir de nouvelles opportunités professionnelles aux jeunes.
Depuis le début de l’année, les établissements bancaires se sont lancés dans une véritable opération de séduction pour conquérir de nouveaux clients. Les taux d’intérêt des crédits immobiliers ont de nouveau régressé. Les conditions d’accès au financement se sont assouplies. En dépit de la crise sanitaire, le contexte reste ainsi favorable aux candidats à l’acquisition immobilière.
Pour le moment, le marché immobilier en France semble montrer une certaine résilience face à la crise. Mais au fur et à mesure que le temps passera, si la crise perdure, cette résistance finira probablement par s’étioler. Le marché parisien et, par extension, celui d’Ile-de-France sont particulièrement surveillés. Pour le moment, l’avenir ne s’annonce pas rose pour la capitale.
À plus de 10 000 euros le mètre carré, les prix de l’immobilier parisien restent nettement supérieurs à la moyenne nationale. Cependant, le recul de 0,15 % sur un an après quelques mois de ralentissement de la hausse mérite d’être signalé, puisqu’il s’agit d’une première en 5 ans. En outre, les acheteurs privilégient de plus en plus la banlieue au détriment de la capitale.
Pour l’ensemble de l’année 2020, la demande de crédit immobilier a été affectée par les effets économiques et sociaux de la pandémie, et ce, malgré la faiblesse des taux d’emprunt, notamment au cours du dernier trimestre. La moyenne s’est en effet établie à 1,20 % contre 1,22 % au troisième trimestre. Son niveau a même baissé à 1,17 % en décembre.
Le volume de l’investissement dans l’immobilier tertiaire a reculé de -34 % en 2020. Le marché redémarre lentement, mais il serait difficile de retrouver le niveau d’activité d’avant-crise, en particulier pour certaines classes d’actifs.
Le passage de la location de son logement à la propriété se fait généralement entre 25 et 34 ans, estiment les experts. Car un tel projet ne peut être réalisé sans une situation professionnelle stable (idéalement un CDI) et un apport personnel correspondant à 10 % au moins du prix du bien. Deux conditions difficiles à réunir pour les actifs en début de carrière.
Les taux des prêts à l’habitat sont toujours très attractifs en ce début d’année 2021. En revanche, la durée d’emprunt a connu une évolution en dents de scie en 2020 à cause de la crise, avant de tomber à 19 ans et 1 mois en décembre dernier. L’opposition entre la hausse des prix immobiliers et les restrictions du HCSF expliquent ces irrégularités.
Les notaires de Paris tablent sur une baisse de -1,4 % du prix de l’immobilier dans la capitale d’ici la fin du premier trimestre. Se référant aux avant-contrats, ces professionnels déclarent que le mètre carré coûterait en moyenne 10 700 euros contre 10 850 euros en novembre dernier.
Un récent jugement rendu par la Cour de cassation attire l’attention des parties prenantes d’une transaction immobilière sur l’importance de la formulation des clauses suspensives. En effet, les juges ont donné tort au vendeur, lequel a refusé de finaliser la vente de sa maison sous prétexte que le montant du prêt obtenu par l’acquéreur n’était pas suffisant.
Une récente étude publiée par OpinionWay a fait état d’une hausse remarquable du recours au courtage en crédit en 2020. En effet, selon les résultats de ce sondage, 4 emprunteurs sur 10 ont fait appel à un intermédiaire afin de pouvoir obtenir le meilleur taux possible (54 %), bénéficier d’un accompagnement d’un expert dans leurs démarches (31 %), ou encore accélérer la procédure (25 %).
Le coût d’un prêt immobilier n’a jamais été aussi faible, et les barèmes des banques pour le mois de février 2021 montrent de nouvelles baisses. En 10 ans, la charge financière pour l’emprunteur s’est réduite au quart. Ainsi, pour un capital de 300 000 euros remboursable sur 20 ans, le souscripteur a réduit la charge financière de plus de 100 000 euros par rapport à 2011.
Les conditions d’emprunt très attractives actuelles encouragent les primo-accédants et les candidats à l’investissement à concrétiser leur projet immobilier. Pour optimiser leur fiscalité, il est important de connaître les nombreux changements entrés en vigueur dans le domaine de l’immobilier en 2021.
Le marché de l’immobilier ne montre aucun signe d’essoufflement malgré l’impact de la crise sanitaire sur la vie économique. Les professionnels du secteur observent en revanche un rééquilibrage progressif de l’offre et de la demande et une stabilisation des prix depuis le mois d’octobre 2020.
Ces dernières années, et sous l’impulsion de la Banque centrale européenne, les organismes de crédit n’ont cessé de brader leurs taux pour séduire le maximum de clients et damer le pion aux concurrents. Mais les conditions de financement n’ont pas toujours été aussi favorables aux emprunteurs. Vingt ans auparavant, le taux moyen pour les prêts immobiliers pouvait atteindre les 6 %. Pour autant, la chute continue des taux d’intérêt depuis dix ans n’a pas réussi à compenser la flambée des prix.
Pour de nombreux Français, le confinement a certes entraîné une baisse de leurs revenus, mais celui-ci leur a également permis de se constituer une épargne de précaution. Les sommes mises de côté sont destinées à être réinvesties une fois la période trouble passée, afin de retrouver une santé financière saine. Dans cette optique et au vu du contexte, l’investissement dans la pierre reste le placement plébiscité par les ménages.
Malgré la crise sanitaire et les deux confinements, le marché immobilier parisien reste dynamique. Selon les agences, le stock de biens est en légère hausse, ce qui permet aux biens proposés à un bon prix de trouver rapidement preneur. En revanche, en cas de surévaluation, les clients prennent le temps de comparer, entrainant un léger allongement des délais de vente.
L’assouplissement des conditions d’octroi des crédits immobiliers décidé par le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) au mois de décembre 2020 permet aux emprunteurs de s’endetter à hauteur de 35 % au lieu de 33 %, et de bénéficier d’une durée de remboursement supplémentaire. En effet, dans le neuf, il est dorénavant possible de contracter un prêt sur 27 ans (contre 25 ans auparavant).
Partout où il a été instauré, le PTZ a démontré son efficacité. Pourtant, la question de la prolongation de ce dispositif se pose à chaque fois, étant donné qu’il pèse lourd dans les caisses de l’État. En Nouvelle-Calédonie, cette aide a permis à de nombreux ménages d’accéder à la propriété, mais a également constitué une bouffée d’oxygène pour le secteur du bâtiment.
La crise sanitaire n’a pas eu raison du marché de l’immobilier ancien. La baisse du volume de transactions a été modérée, notamment grâce à la faiblesse des taux d’intérêt des crédits. Toutefois, l’écart se réduit entre Paris, boudé par les acheteurs, et les métropoles régionales, où la demande soutenue tire les prix vers le haut.
L’accès à la propriété, pour la plupart des ménages, est conditionné par l’obtention d’un prêt bancaire. Avec l’avènement de la crise sanitaire et le durcissement des critères d’octroi de crédit immobilier suite aux recommandations du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) en décembre 2019, les primo-accédants ont eu de la peine à décrocher un financement pour leurs projets.
Un arrêt de la Cour de cassation a dernièrement donné raison à un banquier en litige avec son client qui avait menti sur ses capacités financières réelles pour obtenir un prêt immobilier. En effet, le prêteur est en droit d’exiger son remboursement immédiat si la bonne foi de l’emprunteur est remise en cause.
Même s’il s’agit d’une bonne nouvelle pour les acheteurs encore intéressés par un bien immobilier dans la capitale, la baisse des prix constatée récemment à Paris témoigne d’un marché en souffrance, fortement secoué par la crise sanitaire. A cause notamment de la fuite des acquéreurs, les prix immobiliers parisiens ont retrouvé leur niveau de 2019, une baisse assez inédite pour être soulignée.
Le pouvoir d’achat immobilier des ménages en France a grimpé de près de +50 % sur la période 2008-2019. Ceci ressort d’un rapport publié dernièrement par les notaires, lequel a également révélé que l’augmentation est survenue après un repli de plus de -40 % lors de la précédente décennie.
Au cours des 20 dernières années, le pouvoir d’achat immobilier des jeunes ayant choisi de résider dans une grande ville a diminué de 35 %. Cela signifie que la surface de leur logement s’est réduite de 20 m². La flambée des prix des biens dans les métropoles est la principale cause de ce phénomène.
En décembre 2020, le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) a révisé ses recommandations sur l’octroi du crédit immobilier et ramené le seuil d’endettement à 35 %, et la durée maximale du remboursement à 27 ans pour l’achat dans le neuf. En principe, ce desserrement des conditions de crédit devrait faciliter l’accès des emprunteurs au financement, en particulier les ménages aux revenus modestes.
Paris reste décidément un marché d’exception en matière d’immobilier. En effet, le loyer moyen s’affiche en baisse d’après le Baromètre des Loyers SeLoger publié en janvier 2021. À l’inverse, le prix au mètre carré augmente. Selon la porte-parole de la plateforme, la multitude de petits logements aux loyers en léger repli disponibles dans le parc locatif actuel dans la capitale explique ces évolutions contrastées.
Comme chaque année, les dispositifs applicables à l’immobilier font l’objet de modifications et d’ajustements. Cette année, quelques changements majeurs seront attendus, et il importe d’en prendre connaissance si vous avez des projets en tête (rénovation, investissement, etc.).
Le parc immobilier parisien n’est pas vraiment propice à accueillir des familles. Plusieurs professionnels du secteur ont fait ce constat et en ont conclu que cet état de fait contribuait à l’envolée des prix des grands appartements dans la capitale. Les studios et les deux-pièces règnent en maître dans la Ville Lumière, ne laissant que des miettes aux trois-pièces et plus.
2020 aura vraiment été une année pas comme les autres. Après 2019 qui a été particulièrement favorable aux aspirants à la propriété, ces derniers se sont heurtés à un obstacle presque infranchissable avec l’apparition de la pandémie. Le confinement qui en a découlé a grippé la machine du crédit immobilier, provoquant le report ou l’abandon des projets.
La loi Pinel, mise en place pour encourager les épargnants à investir dans l’immobilier locatif, devrait être supprimée en fin 2021. Toutefois, afin de soutenir la filière du BTP, malmenée par la crise, le dispositif est étendu jusqu’en 2024. Après un statu quo jusqu’en fin 2022, les réductions d’impôts devraient diminuer.
Depuis que les Français ont goûté aux joies du télétravail (imposé par le confinement), ils ne souhaitent plus vraiment s’établir à proximité de leurs locaux professionnels. Même s’il n’a pas été question d’un exode urbain comme ce que redoutaient les observateurs, les prospections dans les villes situées aux alentours des grandes métropoles se sont tout de même multipliées.
En matière de logement, les plus gros gabarits ne sont pas forcément les plus grands gourmands en énergie. Une enquête récente concernant la consommation énergétique du parc immobilier parisien vient appuyer cette affirmation. Selon une étude faite par un professionnel du secteur, à Paris, ce sont surtout les petites surfaces qui consomment le plus d’énergie.
Les contraintes associées au confinement ont motivé un grand nombre de ménages à quitter les grands centres urbains. Depuis la fin du premier confinement, de plus en plus d’acheteurs orientent leurs recherches de logement vers les villes moyennes entraînant ainsi une baisse de la demande dans les grandes agglomérations.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.