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Les prix jugés trop élevés sont souvent rédhibitoires pour les acheteurs immobiliers. Mais d’autres critères peuvent également entrer en ligne de compte et les décourager. Par exemple, l’existence de travaux de rénovation à entreprendre, de litiges entre héritiers ou encore un mauvais emplacement peuvent les dissuader à finaliser l’achat.
De nombreux Français nourrissent l’espoir de devenir propriétaires de leur résidence. Mais l’aspiration à la propriété peut également être motivée par l’attrait de l’investissement. D’ailleurs, ceux qui habitent en zone tendue pour des raisons professionnelles investissent désormais dans des villes en pleine croissance. Tout en restant locataires, ils deviennent également propriétaires-bailleurs.
Un fait assez rare pour être souligné, une remontée des taux a été observée dernièrement auprès de quelques organismes de financement. Mais la surprise se limite à ce changement de politique, puisque la hausse opérée est infime. Et de l’avis de la majorité des observateurs, il s’agira d’un phénomène isolé, les banques ne pouvant pas se permettre de poursuivre dans cette voie.
En 2019, l’activité sur le marché immobilier a bénéficié d’une dynamique exceptionnelle dans toute la France. Le département de l’Yonne, en région Bourgogne–Franche-Comté, n’a pas fait exception avec une hausse de 8 % des transactions sur un an. L’évolution des prix, entre stagnation et recul localisé, contraste en revanche avec celle de l’ensemble du territoire
Comme presque partout en France, le marché immobilier de la ville de Limoges a connu une année faste en 2019. Le volume des ventes a explosé et, là encore, la hausse des prix n’a pas entamé l’enthousiasme des acheteurs. Les aspirants à la propriété ont principalement jeté leur dévolu sur les maisons situées en ville. Mais les appartements neufs n’ont pas été en reste.
Les ménages irlandais ayant souscrit un nouveau prêt hypothécaire en novembre 2019 ont obtenu un taux d’intérêt moyen pondéré de 2,9 %, selon les statistiques de la Banque centrale. Si les conditions d’emprunt sont plus attractives que celles proposées au début de l’année dernière, les taux appliqués dépassent le double de la moyenne de la zone euro.
L’année 2019 a été marquée par la baisse spectaculaire des taux de crédit, mais également par la hausse tout aussi impressionnante des prix de l’immobilier. Cependant, la réalité n’a pas été la même partout. Alors que les prix ont flambé du côté de Paris et de Brest, des villes comme Orléans et Marseille ont profité d’un mouvement baissier.
En 50 ans d’existence, le Plan d’épargne logement a connu une évolution notable due à la conjoncture économique. Avec la chute des taux d’intérêt, la rémunération des placements préférés des Français est au plus bas. Avec ses multiples atouts, dont son rendement élevé, le PEL est devenu malgré lui un produit d’épargne à part entière.
Pour se constituer un patrimoine et compléter leurs revenus, de plus en plus de Français se tournent vers l’investissement locatif. Ce type d’opérations a contribué aux résultats exceptionnels du marché tricolore de l’immobilier ancien en 2019. Une étude récemment publiée par le réseau Century 21 révèle néanmoins de fortes disparités géographiques sur ce secteur en pleine effervescence.
En ce mois de décembre, Meilleurtaux a décidé de faire avec vous un retour sur l’année 2019. Quelles ont été les lois qui ont impacté le marché de l’immobilier, quelles ont été les tendances immobilières de cette année, les prévisions pour l’année prochaine ...
Pour bénéficier d’un rendement brut locatif intéressant, de l’ordre de 4 % à 5 %, les investisseurs immobiliers devraient s’intéresser au marché francilien. Une économie dynamique et de nombreux projets d’infrastructures contribuent à l’attractivité de la région. S’y ajoutent les taux faibles et les loyers élevés, à condition de choisir des villes où les prix des biens restent raisonnables.
Les Franciliens qui empruntent pour réaliser un projet immobilier se voient appliquer des taux plus élevés depuis novembre. Les barèmes reçus par les courtiers montrent des hausses de l’ordre de 5 à 15 points de base en fonction des durées et des profils d’emprunteurs. Les conditions d’emprunt restent néanmoins plus avantageuses que celles applicables en fin 2018.
Le gouvernement a décidé d’entreprendre cette année plusieurs grandes manœuvres dans le secteur du logement. Le plus impacté devrait être le secteur de la location résidentielle, notamment les HLM. Propriétaires et locataires devront s’habituer à quelques changements majeurs, en l’occurrence la disparition de certaines aides.
En 2019, l’investissement locatif a dopé le marché immobilier de l’ancien, où le nombre de transactions a dépassé le million. Dans le neuf en revanche, l’Observatoire du Logement neuf de la FPI annonce un recul de 10 % des ventes, la faute au manque de logements abordables et à la réduction de la liste des villes éligibles au dispositif Pinel. Avec sa prolongation jusqu’en fin 2021, les professionnels espèrent un retour des investisseurs.
Démentant les prévisions, les taux des emprunts immobiliers sont tombés à des seuils historiques. Combinés à l’allongement des durées de crédit, ils ont contribué à l’atteinte de volumes record. La production de prêts a logiquement explosé, portée aussi bien par les nouvelles acquisitions que les renégociations.
Le dispositif Pinel est un programme de défiscalisation immobilière. Il a été mis en place par l’État pour encourager l’investissement dans le locatif. Le dispositif a trouvé son public et connu un succès considérable. Voir le gouvernement le reconduire pour cette année n’est donc pas une surprise. Mais la version 2020 de la loi Pinel comporte une nouveauté : l’extension des zones éligibles en Bretagne.
Portées par les taux d’intérêt historiquement bas, les ventes dans l’ancien ont explosé en 2019. En plus des primo-accédants, de nombreux Français choisissent de placer leurs épargnes dans l’immobilier. Assurant un meilleur rendement à long terme et présentant moins de risques, la pierre intéresse davantage les investisseurs. Néanmoins, les observateurs et le public se demandent si le marché va rester aussi dynamique pour 2020. Les avis des experts sur le sujet divergent quelque peu, mais la majorité s’accorde à dire qu’aucun grand changement ne va survenir cette année.
L’adoption du projet de loi de finances 2020 par l’Assemblée nationale le 19 décembre 2019 met fin au suspense pour les candidats à l’achat d’un logement et les professionnels du secteur. Le prêt à taux zéro est reconduit dans les zones B2 et C, contrairement à l’APL Accession, supprimé totalement.
2019 aura été un excellent cru pour le marché immobilier français. Évidemment, comme l’ont souligné une multitude d’articles dans les revues spécialisées, la baisse des taux à un niveau historiquement bas y est pour beaucoup. L’année qui vient de s’écouler aura également été celle des jeunes, nombreux à accéder à la propriété.
De prime abord, la chute vertigineuse des taux profite aux emprunteurs. Mais cette dégringolade peut également se révéler préjudiciable, notamment pour ceux qui présentent des dossiers jugés « à risque » par les organismes de financement. En raison du taux d’usure, ces derniers peuvent être amenés à rejeter certaines demandes de crédit.
La digitalisation des ventes immobilières avance lentement, mais sûrement. Avec l’avènement de nouveaux acteurs dans le secteur, des modèles économiques basés sur des outils numériques et permettant d’offrir une meilleure expérience aux utilisateurs ont vu le jour. En effet, ces start-ups ont développé des processus de vente rapide et transparente, et réussi à réduire les délais de vente et les commissions immobilières. Leurs offres correspondent ainsi aux besoins des propriétaires et des acheteurs.
Les chiffres publiés par la Banque de France à la fin de l’année ont démontré que le volume du crédit immobilier continue de croître en France. Entre le mois de juillet et le mois d’août, le montant des encours a bondi de +6,5 %. Une performance remarquable alors que l’été est habituellement une période relativement calme.
À l’issue de longues concertations, et après des études montrant les avantages et les inconvénients et deux votes (celle de l’Assemblée nationale et du Sénat), le prêt à taux zéro sera bel et bien maintenu, même dans les zones B2 et C. Prévu disparaître dès ce janvier, le PTZ 2020 sera bien inclus dans le projet de loi de finances 2020.
La dernière étude de l’INSEE sur l’habitat recense 36,6 millions de logements en France. 82 % sont des résidences principales, dont la proportion affiche un léger repli en 35 ans. Les logements individuels représentent plus de la moitié du parc et dominent dans les petites communes. L’organisme note également une augmentation du pourcentage de biens inoccupés.
Faiblesse des taux, forte concurrence… Autant de facteurs qui plombent la rentabilité des établissements bancaires. Et pour ne rien arranger, ceux-ci croulent sous les demandes de renégociation de crédit. Ces opérations ne présentent aucun intérêt pour les banques sur le plan commercial. Toutefois, elles sont contraintes de les accepter, sous peine de perdre des clients.
Stimulé par la baisse incessante des taux, le prix de l’immobilier en France a atteint des sommets inédits en 2019. La hausse la plus spectaculaire est à mettre à l’actif de Paris où le prix moyen du mètre carré a franchi la barre des 10 000 euros. En vue des élections municipales, les futurs candidats proposent leurs idées pour revenir à des prix plus abordables.
Une étude récente a démontré que la proportion de propriétaires ayant fini de payer leur logement est en nette croissance au cours des 30 dernières années, malgré l’endettement qui a continué de progresser sous l’impulsion des taux bas. En 2019, environ deux tiers de ceux qui avaient contracté un crédit immobilier ont bouclé leur remboursement.
En mal de rentabilité alors qu’elles ont rempli, voire largement dépassé, leur objectif en termes de volume de crédits octroyés, certaines banques françaises ont pris la liberté d’augmenter leur taux d’emprunt. Il n’est toutefois pas question de hausse spectaculaire, les conditions de prêt étant encore très favorables à l’emprunteur.
La réforme des retraites est passée, malgré les contestations et les grèves. Avérée ou pas, la crainte des retraités, et de ceux qui en sont proches, concernant la baisse de leur pension est bel et bien là. Pour eux, il devient urgent de se constituer une autre source de revenus et l’investissement locatif semble recueillir la faveur de la majorité.
Pour prévenir le surendettement, les banques sont encouragées à refuser tout crédit qui nécessiterait plus de 33 % de taux d’effort à l’emprunteur. Mais comme il s’agit d’une simple recommandation et non d’une loi en bonne et due forme, certains établissements passent outre, notamment à cause de la conjoncture qui les oblige à prêter en masse.
Tous les mois, un état des lieux du marché est dressé pour la location et pour la vente. D’après les résultats de l'étude pour le mois dernier, la location a été privilégiée lors des recherches de logement. Côté prix, la tendance est toujours à la hausse, et ce, malgré une offre qui suit également une courbe ascendante.
Après avoir occupé la dixième place ces derniers temps, la capitale française se retrouve en ce moment à la tête du classement des villes européennes qui séduit le plus les investisseurs immobiliers. Suivie par Berlin, Frankfurt et Londres, Paris doit son attractivité aux projets de construction grandioses qui s’inscrivent dans les perspectives du Grand Paris Express et celles des Jeux olympiques 2024. Bien que située très loin de la capitale dans le classement général (26e), Lyon arrive à la deuxième place en France. Ce constat résulte d’une étude menée par Pwc et Urban Land Institute auprès de plus de 900 promoteurs, investisseurs, créanciers et consultants immobiliers européens.
Après la vague de renégociations de crédits à l’habitat observée en France en 2017, le nombre de ces montages financiers est à nouveau en forte hausse. En octobre 2019, 25 % de la production correspondaient à des contrats renégociés, et non à de nouveaux financements. Les taux descendus à des seuils historiques expliquent ce phénomène.
Les chiffres du marché immobilier pour l’année 2019 ont été exceptionnels à tous points de vue dans toute la France, en particulier à Paris. Le nombre de transactions et les prix ont atteint des sommets, tandis que les taux sont descendus à des seuils historiques. Toutefois, en 2020, d’après une étude de Proprioo et PriceHubble, la tendance pourrait s’inverser dans la capitale.
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