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Les députés ont validé les amendements relatifs aux dispositifs d’aide à l’accession à la propriété dans le cadre du projet de loi de finances pour 2021. Le prêt à taux zéro est ainsi maintenu jusqu’à fin 2022 et gagne ainsi une année. Toutefois, la décision ne satisfait pas pleinement les défenseurs d’un dispositif prorogé plus longtemps et renforcé.
L’établissement d’acte notarié ne requiert plus la présence physique de toutes les parties. L’État a décidé de pérenniser la procédure de comparution à distance instaurée de manière provisoire pendant le premier confinement.
Le gouvernement a introduit dans le projet de loi de finances pour 2021 des amendements relatifs aux dispositifs d’accession à la propriété. Les acteurs du BTP et les promoteurs se sont initialement réjouis de leur prolongation jusqu’en fin 2022 dans un contexte de crise pour l’immobilier. Mais aujourd’hui, ils jugent les nouvelles règles confuses.
Pour ce deuxième confinement, malgré les assouplissements prévus pour les acteurs du BTP et de a filière logement, le volume de transactions, à la vente comme la location, reste faible. Le département de la Manche, situé en Normandie, ne fait pas exception. Les restrictions imposées par l’Exécutif face à la deuxième vague de l’épidémie de Covid-19 pèsent sur le marché immobilier.
Un spécialiste du secteur a dressé un palmarès des grandes villes de France où l’activité immobilière affiche un fort dynamisme. Sans grande surprise, la capitale continue d’occuper les premiers rangs du classement. Elle se hisse ainsi en troisième position après Nice et Lyon. La Ville Lumière enregistre toutefois un ralentissement de ses ventes immobilières.
Pour ce deuxième confinement, les règles sont plus souples pour la filière bâtiments et travaux publics. En effet, les chantiers de construction et les travaux de rénovation, y compris chez les particuliers, restent possibles. Ces derniers peuvent également déménager. En revanche, les visites pour les agents immobiliers sont interdites.
Avec ce deuxième confinement, l’activité immobilière va reculer même si la signature des promesses et actes de vente chez le notaire demeure possible. Ce ralentissement a pour cause principale l’interdiction des visites physiques des biens à vendre.
Après un report occasionné par la crise sanitaire, la baisse des frais de notaire envisagée par le gouvernement entrera finalement en vigueur l’année prochaine. L’exécutif a retardé l’application de cette mesure afin de préserver ce corps de métier meurtri, comme toutes les autres professions, par la pandémie. En effet, la baisse ne concernera pas les frais administratifs. Elle s’appliquera seulement sur les émoluments des notaires.
À la sortie du confinement au printemps dernier, les Français exprimaient leurs envies d’espace et de verdure pour leur futur logement. Mais il semble que depuis le mois de juin, les potentiels acquéreurs aient revu leurs ambitions à la baisse, donnant désormais la priorité à un logement situé en ville ou plus spacieux dans le cas d’une location.
Pour le second confinement, le gouvernement a tenu à ne pas refaire les mêmes erreurs que lors du premier et a voulu à tout prix éviter une paralysie totale de l’économie. À l’instar des commerces considérés comme « essentiels », les bureaux des notaires ont été autorisés à rester ouverts et même à recevoir des clients, mais seulement lorsque l’échange dématérialisé est impossible à mettre en place.
La crise sanitaire et la crise économique qui en découle devraient inciter automatiquement les ménages à la prudence concernant les dépenses. Mais face à certains besoins, les Français n’ont d’autre choix que de souscrire un crédit. La crainte de ne pas être en mesure de rembourser est bel et bien présente, mais ne pas emprunter peut également entraîner des conséquences plus ou moins graves.
Malgré un prix supérieur à celui du logement ancien, le neuf gagne la faveur des candidats à la propriété, en particulier depuis l’épisode du confinement (le premier). La motivation des acheteurs est là, ainsi que leur optimisme. Le manque d’offres représente toutefois un obstacle à la concrétisation de leur projet ; un problème bien antérieur à la crise sanitaire.
Tous les acteurs du secteur immobilier peuvent poursuivre leurs activités pendant ce deuxième confinement, mais les acheteurs potentiels ne pourront pas visiter les biens qui les intéressent. Selon les agences immobilières, l’interdiction des visites immobilières va freiner les ventes étant donné qu’aucun acquéreur ne se risquera à signer un acte de vente sans avoir visité physiquement le logement en question.
Les Français qui ont des projets d’acquisition immobilière n’ont pas à s’inquiéter de l’arrêt des activités du marché du crédit. En effet, tous les acteurs ont déjà pu s’organiser pour assurer la continuité des services pendant cette deuxième période de confinement.
Mauvaise nouvelle pour les vendeurs et les courtiers immobiliers : les visites de logement à vendre ou à louer restent interdites pour cause de pandémie. Mais contrairement au premier épisode du confinement, les acteurs du marché immobilier ont aujourd’hui accès à des outils digitaux leur permettant d’accélérer les transactions malgré la crise. Parmi ceux-ci figure la visite virtuelle.
Depuis fin 2019, suite aux recommandations du Haut conseil de stabilité financière (HCSF), il a été demandé aux organismes de crédit de plafonner la durée des prêts immobiliers à 25 ans. Malgré cette mesure, une étude récente montre que les ménages s’endettent toujours plus longtemps, ramenant la durée moyenne à 19,6 ans, ce qui est un niveau inédit.
Alors que la France est entrée une nouvelle fois en confinement afin d’endiguer la deuxième vague de contamination au Covid-19, le gouvernement revoit ses prévisions pour 2020 à la baisse. En effet, de 10 %, le déficit du PIB attendu par l’Exécutif est désormais passé à 11,3 %, ce qui représente 248 milliards d’euros.
Entrée en confinement depuis le 30 octobre dernier, la France ne devrait en sortir qu’au 1er décembre au plus tôt. Si de nombreux secteurs subissent pour la deuxième fois de l’année un ralentissement, voire un arrêt de l’activité, le BTP est épargné. Le chef de l’État et le Premier ministre ont annoncé la poursuite des chantiers.
La dernière note de conjoncture confirme l’augmentation des prix de l’immobilier ancien en octobre. Mais ces professionnels notent un phénomène inédit : les maisons s’apprécient beaucoup plus rapidement que les appartements. Le changement des envies des Français en matière de logement pendant le confinement.
La crise sanitaire n’a pas entamé l’enthousiasme des aspirants à la propriété, mais elle a tout de même contribué à durcir l’accès au financement. Au grand dam des porteurs de projet, les taux immobiliers se sont figés à un niveau très bas, mais les retombées économiques de la crise sanitaire ont contraint les banques à devenir très sélectives.
La France est de nouveau confinée jusqu’au 1er décembre. Pour le secteur immobilier, le reconfinement pourrait faire fléchir la demande sur le marché, étant donné que les acquéreurs ou les locataires potentiels ne pourront pas visiter les biens qui les intéressent pendant cette période.
La taxation de la plus-value immobilière n’est pas la même pour toutes les agglomérations. Elle est plus attractive dans les grandes villes. Pour certaines métropoles, un abattement fiscal s'applique sur les plus-values réalisées sur la cession de biens immobilier ou foncier suite à une démolition ou une reconstruction. À partir de 2021, d’autres territoires vont pouvoir bénéficier de cet avantage.
Même si les conditions d’octroi de crédit demeurent strictes après que le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) a réitéré ses recommandations, les banques essaient de dynamiser le marché du financement immobilier en proposant des taux attractifs. Selon les courtiers, ce niveau bas devrait se maintenir jusqu’à la fin de l’année, étant donné que la crise sanitaire et économique qui sévit actuellement compromet l’atteinte des objectifs commerciaux pour les établissements bancaires.
À la sortie du premier confinement, le secteur immobilier avait rapidement retrouvé des couleurs, déjouant ainsi les sombres prévisions des analystes, lesquels tablaient sur une crise majeure accompagnée d’un effondrement des prix. Toutefois, le reconfinement vient ébranler les certitudes actuelles. Dès lors, les professionnels craignent que ces scénarios catastrophes tant redoutés ne puissent finir par réellement se concrétiser.
Et c’est reparti pour un tour. La France va de nouveau observer une période de confinement. Lors du premier, les banques avaient totalement gelé le marché du crédit immobilier. Mais cette fois, elles comptent procéder autrement. En tirant parti des outils qu’elles ont justement pu développer au cours de la première vague, elles devraient rester opérationnelles et être en mesure de traiter de nouvelles demandes de prêts.
Avec la flambée des prix des logements et le durcissement des conditions d’octroi des prêts immobiliers, les primo-accédants peinent à concrétiser leur projet. Faute de moyens, ils n’ont pas d’autres choix que de se rabattre sur la location. Justement, le marché locatif connait un fort dynamisme depuis la sortie du confinement.
La crise sanitaire a impacté la majorité des secteurs économiques. L’immobilier n’a pas été épargné, à l’exception du segment du luxe. De la capitale aux lieux de villégiature en montagne ou en bord de mer, les biens très haut de gamme trouvent preneurs auprès des étrangers et des Français à un prix au mètre carré dépassant parfois les 15 000 euros.
La crise sanitaire n’a pas impacté les ménages de la même façon. Alors que certains s’en sortent « quasi indemnes », d’autres ont vu leur pouvoir d’achat diminuer de manière spectaculaire. D’après une enquête récente qui s’est intéressée au marché du logement neuf, les investisseurs dans cinq des dix plus grandes villes sont contraints de revoir leurs ambitions à la baisse.
À Paris et Lille, l’encadrement des loyers fait son retour, respectivement depuis juillet 2019 et mars 2020. La mise en place du dispositif est à l’étude dans d’autres métropoles, dont Grenoble et Bordeaux. Pour les bailleurs privés et les investisseurs en locatif, l’adoption d’une telle mesure est lourde de conséquences.
Le confinement a fait naitre des envies d’ailleurs chez les ménages français. Le besoin de déménager se fait de plus en plus fort, si bien qu’à la sortie du confinement, les agences immobilières ont été prises d’assaut. Cependant, la pandémie a également favorisé le recours aux technologies numériques pour toute opération concernant l’immobilier, aussi bien du côté des acheteurs que des agences, mais également de celui des vendeurs.
Difficile de ne pas y voir une conséquence du confinement. Le marché immobilier a, certes, regagné en dynamisme, mais elle se tend de plus en plus à cause de la pénurie de biens à vendre et l’envolée incessante des prix. De plus, conscients qu’ils sont en position de force, les vendeurs gagnent en intransigeance et n’accordent que peu de marge de négociation.
L’immobilier s’est vite relevé de la crise sanitaire. Pour preuve, l’envolée des prix a continué, signe que la demande reste forte. Cette hausse profite avant tout aux propriétaires, lesquels se montrent confiants quant à l’aboutissement de leurs projets immobiliers. Cet optimisme est également partagé par ceux qui souhaitent vendre leur bien actuel pour acquérir le suivant.
Une légère baisse du risque sur le marché immobilier suisse a été observée entre début juillet et fin septembre 2020. Profitant du redémarrage de l’économie, l’indicateur est ainsi revenu à son niveau de fin 2019. Toutefois, les conséquences d’une deuxième vague de Covid-19 menacent les perspectives pour les mois à venir.
Selon la chambre des notaires, le Tarn est le deuxième département de l’ex-région Midi-Pyrénées à proposer les prix les plus intéressants pour l’immobilier. Il est seulement devancé au classement par la Haute-Garonne. De plus, le marché se porte bien, en dépit d’un enchérissement sensible des biens.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.