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En France, dans l’imaginaire collectif, les Parisiens sont systématiquement opposés aux habitants de la Province. Cette rivalité transparait dans la culture, le sport, et même dans les petits aspects de la vie quotidienne. Un organisme a récemment mis en place une étude visant à établir si les Français ont une approche différente de l’immobilier, selon qu’ils soient Parisiens ou Provinciaux.
Le rapport de la Banque de France paru dernièrement a montré que les Français ont emprunté en moyenne 179 026 euros pour financer leurs projets immobiliers. La durée de souscription du crédit immobilier s’est établie, en revanche, sur une durée de 20 ans et 3 mois, soit une progression de 4 mois par rapport à l’année précédente. Le revenu moyen des souscripteurs a également grimpé de +1,2 % comparé à celui de 2018.
Actuellement, les taux des crédits immobiliers reculent : à 1,1 % sur 15 ans (- 0,15 %), à 1,30 % sur 20 ans (- 0,1 %), à 1,65 % sur 25 ans (stables). L’Observatoire crédit logement/CSA souligne d’ailleurs qu’en juin dernier, le taux moyen mensuel s’établissait à 1,29 %, alors qu’en juillet, il est descendu à 1,25 %.
Au Royaume-Uni, l’immobilier en général et le marché de la location en particulier ont été inévitablement impactés par la pandémie et le confinement. Avec tout de même une particularité : sur 64 villes du Royaume, 6 ont vu leur loyer baisser pendant qu’ailleurs, la tendance était à la hausse. Londres fait partie des 6 villes qui font exception.
À la levée du confinement, les Britanniques se sont empressés de concrétiser leur projet d’achat immobilier. Ainsi, le nombre de compromis de vente signé a dépassé en juillet son record établi il y a plus de 10 ans. Les prix ont également explosé partout, sauf à Londres, boudée par les acquéreurs.
Malgré la reprise sur le marché immobilier depuis la levée du confinement, l’impact de la crise sanitaire n’a pas été totalement compensé. Les spécialistes du secteur redoutent ainsi des résultats en demi-teinte pour la rentrée, période pourtant traditionnellement faste. Et ce, malgré des taux d’intérêt compétitifs et des prix orientés à la baisse.
Les places de parking en Île-de-France coûtent de plus en plus cher pour les investisseurs depuis le début de l’année. C’est ce que révèle le Parisien, qui publie le baromètre annuel d’une enseigne spécialisée dans ce type d’actifs. Fait surprenant, le cœur de la capitale fait exception avec un léger recul des prix dans certains arrondissements.
Certes, la crise sanitaire a mis le marché immobilier à l’arrêt, mais pour trouver la raison de la méforme connue par le secteur, en particulier dans le neuf, il faut remonter bien avant la pandémie de coronavirus. Les recommandations du HCSF ont exclu de nombreux ménages du marché et ce dernier ne pourra redémarrer correctement que lorsqu’ils seront de nouveau solvables.
À travers le monde, le coronavirus et le confinement décrété dans les différents pays ont apporté leur lot de bouleversements. La Suisse ne fait pas exception, mais son marché immobilier semble moins impacté que ce que les observateurs craignaient. Grâce notamment aux actions de l’État, les acheteurs de résidences principales bénéficient toujours de conditions d’emprunt intéressantes.
À la sortie du confinement, l’attractivité de la ville de Limoges a fortement accru auprès des acheteurs immobiliers. En effet, selon les agences immobilières, la demande a explosé depuis mi-mai et aucun fléchissement n’a encore été observé jusqu’à maintenant. Cette effervescence du marché s’explique par les prix abordables des biens (en dessous de 2 000 euros/m²), mais également par la qualité de vie offerte par la capitale de la porcelaine.
Après l’épisode du confinement, les Français ont pris goût au télétravail et cherchent à déserter les centres-villes. Les Parisiens, plus que d’autres, sont les plus enclins à changer de cadre de vie, en s’éloignant un peu des tumultes de la capitale, sans pour autant viser à tout prix le dépaysement. D’où le regain d’intérêt constaté pour la Grande Couronne.
Après la signature d’un compromis de vente, le futur acquéreur dispose de 10 jours pour réfléchir à son projet. À l’issue de ce délai, il peut confirmer l’achat ou bien se rétracter. Mais en matière de transaction immobilière, certains vices de forme peuvent rebattre les cartes et rendre certains droits inapplicables.
Au cours des cinq dernières années, l’immobilier français se portait à merveille : des prix en hausse continue, de faibles taux d’emprunt, un repli du chômage… La situation était favorable pour les investisseurs. Depuis la crise du covid-19, un nuage d’incertitudes plane sur le secteur. Beaucoup s’interrogent sur les possibles évolutions des prix immobiliers, les conditions d’accès au crédit, etc.
Le traumatisme causé par le confinement y est sans doute pour beaucoup, mais les logements situés en bord de mer sont encore plus prisés qu’avant. À l’analyse des recherches effectuées par les acheteurs potentiels, il apparait que Parisiens, Bordelais et Toulousains choisissent la Nouvelle-Aquitaine comme destination de prédilection alors que les Lillois cherchent à s’établir au bord de la Manche.
La crise sanitaire ne semble pas, pour le moment, avoir un impact notable sur le marché du crédit immobilier, à l’inverse des recommandations émises par le HCSF à la fin de l’année dernière. En effet, le confinement n’a pas entrainé la hausse des taux, mais le financement est devenu inaccessible pour bon nombre de porteurs de projet, notamment les jeunes.
Dans l’Essonne, et comme un peu partout en France, la baisse de prix pressentie par de nombreux analystes suite à la crise sanitaire n’a pas eu lieu. Depuis la levée du confinement, les prix ont poursuivi leur envolée, une situation qui convient à ceux qui ont un bien à vendre, un peu moins à ceux qui projettent d’en acheter.
Malgré la stabilité des taux d’intérêt des crédits à des niveaux très bas, le poids d’un achat immobilier augmente pour les ménages. Selon les résultats d’une étude réalisée par un grand courtier et publiés par Le Figaro, aussi bien pour les primo-accédants que pour les autres acquéreurs, l’équivalent en années de revenus de la somme consacrée à un tel projet est en forte hausse sur un an.
Alors qu’il s’agit d’une pratique courante dans les pays développés, notamment en Europe, la souscription de crédit immobilier en ligne l’est un peu moins dans les pays en voie de développement. Pour cette raison, l’annonce faite par Bank Of Africa Maroc concernant sa nouvelle plateforme n’est pas passée inaperçue. La digitalisation des services est en marche.
Afin d’assurer leur retraite, un grand nombre de Français choisissent de placer leurs épargnes dans l’immobilier. L’investissement locatif compte en effet parmi les placements préférés des épargnants, en raison de sa rentabilité élevée par rapport aux autres produits financiers.
La résilience du marché immobilier en dépit du choc de la crise sanitaire et de ses impacts sur le marché de l’emploi a surpris bien d’analystes. Il semble en effet que les mesures de confinement ont aiguisé l’attrait des Français pour l’investissement immobilier. La pierre est plus que jamais vue comme une valeur refuge.
En matière de crédit immobilier, 2020 était bien parti pour continuer sur la même lancée que celle qui a prévalu en 2019, à la différence près que les renégociations et demandes de rachats de crédit représentaient la majorité des dossiers traités par les banques au cours des quatre premiers mois de l’année. Puis, la pandémie est passée par là, et le marché a été stoppé net dans son élan.
La crise sanitaire a eu un tel impact sur le marché immobilier que les observateurs anticipaient un violent changement de conjoncture à l’heure de la reprise. Ils s’attendaient à une remontée des taux d’emprunt, mais aussi à une baisse des prix. Quelques mois après le déconfinement, aucun signe n’indique qu’une contraction des prix pourrait survenir cette année.
Dès la fin du confinement, la reprise de l’activité sur le marché immobilier bordelais a été rapide. Selon une agence immobilière de référence dans la région, la demande explose malgré les vacances. Les prix moyens au mètre carré, qui se situaient à 5 000 euros avant la crise, poursuivent leur hausse, mais avec des disparités suivant les villes et secteurs.
Dans le neuf, aucune baisse des prix immobiliers ne semble pour l’heure se profiler à l’horizon. La tendance reste même à la hausse, si l’on en croit les résultats d’une étude récente. La seule certitude à ce jour est que, par rapport à 2019 qui a été une année faste du point de vue immobilier, 2020 s’annonce plus compliquée. Les professionnels anticipent ainsi un volume de transactions nettement en deçà du niveau enregistré l’année dernière.
SeLoger révèle que la crise sanitaire et économique a entraîné le retard, le report, voire l’annulation de plus de 8 projets locatifs sur 10. Par ailleurs, de nombreux logements se sont retrouvés sans occupants. 38 % des propriétaires bailleurs redoutent en outre des impayés de loyer, des millions de ménages ayant subi une perte partielle ou totale de revenus.
Les Français désireux d’acheter un logement sont encouragés par la plupart des professionnels du secteur qui, ces deux dernières années, n’ont eu de cesse de répéter que le contexte est favorable aux clients. Pourtant, malgré l’attractivité des taux de crédits immobiliers, certains experts recommandent la prudence.
En attendant l’entrée en vigueur du Brexit avec ou sans « deal » le 1er janvier prochain, de nombreux Britanniques envisagent de venir s’installer en France. La conséquence est une forte hausse de la demande de logements dans certains départements. Pour les agents immobiliers, c’est une aubaine, même s’ils sont complètement débordés.
Comparé au record enregistré en 2019, le nombre des transactions immobilières a baissé significativement en 2020. Les professionnels constatent toutefois que ce volume se maintient sur son niveau normal par rapport aux années précédentes, sur la même période.
Dans certains territoires comme la région parisienne, le prix de l’immobilier a atteint des sommets, à tel point que le marché est désormais réservé aux plus fortunés. Alors, pour faire baisser le coût du logement dans ces zones dites tendues, un député a émis une proposition de loi visant à dissocier le foncier et le bâti, permettant ainsi aux ménages modestes de n’acheter que les murs de leur résidence et de louer le terrain pour quelques euros. Si le texte est loin de faire l’unanimité, il a toutefois de fortes chances d’être adopté.
Selon les professionnels de l’immobilier lyonnais, le Ier arrondissement est un secteur très prisé et particulièrement dynamique. Depuis la fin du confinement, les agences ont observé un volume important de biens à vendre, mais la demande soutenue a entraîné un épuisement rapide du stock. Ils se montrent très optimistes quant à l’avenir de ce marché aux multiples atouts.
Lorsqu’il s’agit d’aide à l’accession, l’APL, le PTZ ou encore le Pinel sont les premiers dispositifs qui viennent en tête. Mais ceux qui veulent devenir propriétaires ont à leur disposition d’autres alternatives. Peu connus du grand public, ces dispositifs se révèlent pourtant intéressants, en particulier pour ceux qui disposent de peu ou pas d’apport pour appuyer leur demande de crédit.
Moins d’un quart des Français âgés de 25 à 34 ans sont propriétaires de leur résidence principale. Et la situation a peu de chances d’évoluer positivement dans l’immédiat. En effet, faute de fonds suffisants, 75 % des locataires de cette tranche d’âge sont dans l’incapacité de concrétiser leur projet d’achat immobilier.
Alors que sous la pression des recommandations du HCSF, les banques traditionnelles durcissent leurs conditions d’accès au crédit immobilier, Fortuneo assouplit sa politique en la matière. Le capital minimal passe de 100 000 euros à 80 000 euros et les acquisitions en VEFA (vente en l’état futur d’achèvement) sont désormais acceptées.
Aux États-Unis, la pandémie du Covid-19 continue à faire des ravages avec plus de quatre millions de cas détectés et une forte augmentation des décès. Malgré cette situation sanitaire alarmante et ses conséquences économiques pour le pays, l’immobilier a connu en juin un rebond inattendu de 20,7 % sur un mois.
Depuis la levée du confinement, le volume de transactions immobilières est en forte hausse. Alors que les acquéreurs se sont empressés de concrétiser leur projet, PAP annonce dans une récente étude une explosion des recherches de logements à louer en mai et juin 2020. L’offre est également plus importante par rapport à 2019.
Dès la sortie du confinement, des milliers de ménages se sont empressés de finaliser leur projet d’achat immobilier, entraînant une hausse marquée des transactions. Mais rapidement, les professionnels du marché ont tempéré leur optimisme quant à une reprise durable. Sans un assouplissement des conditions d’emprunt, l’activité risque de ralentir considérablement.
Le marché de l’immobilier est l’un des secteurs qui ont connu une reprise spectaculaire depuis le déconfinement. Toutefois, les promoteurs immobiliers déplorent un marché du neuf qui peine à décoller pour diverses raisons. Par la voix de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), ils soumettent aujourd’hui des suggestions pour remettre le marché du neuf au cœur de la relance économique.
Après une légère remontée pendant le confinement, les taux d’intérêt des crédits immobiliers sont repartis à la baisse en juillet. Pour accélérer leur relance et espérer atteindre leurs objectifs de production, les banques se montrent à nouveau agressives sur ce produit d’appel, accordant des financements à moins de 1 % pour les dossiers les plus solides.
Du temps où les analystes, cloitrés dans leur domicile respectif, tentaient d’imaginer les conséquences de la crise sanitaire sur l’immobilier, beaucoup ont misé sur un fort ralentissement de la hausse, voire la baisse des prix. Mais plus de deux mois après, c’est la tendance inverse qui se dessine. Ce qui n’empêche pas les transactions de se conclure.
Un communiqué conjoncturel de la Banque de France en date du 6 juillet, les flux de crédit à l’habitat ont à nouveau augmenté en mai après des mois de baisse due au confinement. Toutefois, certains professionnels préfèrent prendre la nouvelle avec prudence, redoutant un simple effet de rattrapage, sans compter la proportion toujours importante de renégociations.
Tous les secteurs d’activité ont été lourdement impactés par la pandémie et le marché immobilier ne déroge pas à la règle. Toutefois, contrairement aux prévisions des experts, il s’est redressé plus vite, en particulier celui de l’ancien. Le neuf, pour sa part, se heurte toujours à quelques problèmes administratifs qui empêchent la relance des constructions. Mais pour l’immobilier ancien, le premier semestre n’a pas été aussi catastrophique que certains veulent bien le dire.
Moins de bitume, plus d’espaces verts. Le Président de la République veut mettre fin à l’artificialisation des sols ou, du moins, la ralentir. Mais cette décision implique la revue en totalité des plans d’urbanisme existants et pourrait conduire à une envolée des prix des logements neufs.
Alors qu’en France, les prêts immobiliers sur 30 ans sont désormais interdits suite aux recommandations du HCSF, aux États-Unis, leur taux tombe à moins de 3 %. Selon l’agence Freddie Mac, l’un des géants américains de la garantie hypothécaire, il s’agit d’une première depuis 1971. Mais malgré les conditions d’emprunt favorables, les volumes de transactions restent faibles.
Le ralentissement du marché immobilier toulousain n’a duré que deux mois (mars et avril). En effet, dès la levée du confinement, les activités ont redémarré en trombe. Selon un professionnel du crédit immobilier, les demandes de financement affluent. Pour l’heure, il est encore tôt pour anticiper l’évolution du marché, d’autant plus que les banques sont devenues plus rigoureuses dans le traitement des dossiers. Il faut tout de même préciser que les taux pratiqués par les organismes de crédit demeurent jusqu’ici attractifs, même si une légère hausse a été constatée.
Le volume des emprunts immobiliers distribués par les banques a chuté sensiblement au cours du second trimestre, d’après les chiffres publiés récemment par l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Selon l’expert en économie Michel Mouillart, cette forte baisse des activités du marché s’explique par l’application des recommandations du HCSF par les banques ainsi que par les effets de la crise du coronavirus.
Investir dans l’ancien et bénéficier d’un double avantage fiscal est possible grâce à un montage qui associe le dispositif Pinel et le déficit foncier. Dans le cadre d’un investissement dans l’ancien, le logement devra faire l’objet des travaux de réhabilitation, pour répondre par la suite aux critères de décence et de performances techniques exigées par les réglementations en vigueur.
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