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Alors que depuis le début du confinement, le marché immobilier était quasiment à l’arrêt, de nouveaux textes réglementaires ont été publiés pour permettre aux porteurs d’un projet immobilier de le finaliser. Toutefois, sur certains points comme le report des conditions suspensives de vente, le flou demeure.
Quelques soubresauts étaient observés en avril, bien trop légers pour être qualifiés d’envolée. Avec le confinement qui a entrainé la paralysie du marché de l’immobilier, les spécialistes redoutaient un durcissement des conditions d’octroi des crédits, mais surtout une remontée brutale des taux d’intérêt. Contrairement à leurs craintes, les taux n’ont que très faiblement augmenté. La conjoncture reste d’ailleurs toujours favorable à un investissement immobilier.
Le confinement touche bientôt à sa fin et les banques s’apprêtent à relancer leur activité de crédits. Mais la donne va changer pour les emprunteurs. Contrairement à l’année dernière, les banques vont certainement resserrer leurs conditions d’octroi, tel que préconisé par le Haut conseil de stabilité financière. Ceci pourrait se traduire, entre autres, par une hausse des taux.
Ces dernières années, les banques n’ont cessé d’assouplir leurs critères d’octroi de crédit. Leur objectif était de se démarquer des concurrents avec des offres compétitives et de conquérir ainsi de nouveaux clients. Dans le contexte actuel marqué par l’atonie du marché immobilier, les établissements bancaires risquent de changer de fusil d’épaule et de revoir leurs stratégies commerciales. Plus que jamais, les particuliers sont dans le brouillard et auront besoin des conseils d’un professionnel pour espérer continuer à profiter des conditions de financement attractives.
Alors que le marché de l’immobilier bordelais avait le vent en poupe depuis plusieurs années, il a subi un brutal coup d’arrêt avec la pandémie de covid-19. Les experts tentent aujourd’hui de dresser les scénarios possibles de l’évolution future du secteur. Pour certains, les impacts négatifs de la crise seraient seulement temporaires.
Le redémarrage du marché immobilier ne va pas s’amorcer dès le 11 mai, les professionnels ayant participé à la conférence du cercle des managers immobiliers qui s’est tenue le 31 mars dernier s’attendent au fléchissement de la demande pour 2020.
Le monde est en train d’affronter un phénomène sans précédent. Une catastrophe sanitaire qui donnera forcément naissance à une grande crise économique. L’État français n’est pas épargné, tout comme les ménages. Le déconfinement qui arrive bientôt soulève des interrogations quant à l’avenir du marché immobilier. Les ménages auront-ils les moyens de se lancer dans un projet ?
Pour les experts du marché immobilier américain, le contexte est favorable à l’acquisition d’un logement avec des taux de crédits hypothécaires en baisse. Toutefois, les prêteurs se montrent plus stricts, et accordent une importance accrue à la situation professionnelle de l’emprunteur. Pour les vendeurs, les voyants sont au vert, bien qu’un allongement des délais soit à prévoir.
Autant l’année 2019 a été un très bon millésime pour l’immobilier en France, autant 2020 a été un sacré coup d’arrêt. Non seulement le confinement a paralysé un marché en plein boom, mais il a également donné un gros casse-tête aux responsables politiques, lesquels craignent que la dynamique de l’an dernier mette longtemps à revenir.
En zone urbaine, les habitations individuelles sont rares. Confinés dans les appartements à cause du coronavirus, les Français ont réalisé les inconvénients de ces habitations collectives. Être entassés à plusieurs dans un espace restreint fait renaître le souhait d’acquérir une maison individuelle, quitte à s’éloigner du centre-ville et de toutes les commodités (lieu de travail, commerces, écoles…).
En début d’année, le marché du crédit repartait sur les mêmes bases qu’en 2019. La seule crainte que pouvaient avoir les emprunteurs était une hausse brusque des taux. Un autre évènement est pourtant venu enrayer la machine : le confinement entrainé par la propagation du coronavirus. Les chiffres du mois de mars ont alors dégringolé.
Même si les transactions conclues sont rares depuis le début du confinement, les Français ne renoncent pas à leurs projets immobiliers. Ils profitent de leur temps libre pour rechercher le bien idéal. Selon les dernières statistiques de Seloger montrent que dans certains départements, les consultations d’annonces ne faiblissent pas.
Le nombre de locataires cherchant à s’établir à Paris sera toujours important, la capitale regroupant les meilleures opportunités professionnelles. Pour les bailleurs, cette abondance de clients potentiels n’est pas une garantie de forte rentabilité. De nombreux critères tels que le prix, le secteur ou encore le type de bien à louer sont à étudier de près avant de se lancer.
Depuis le début du confinement, le marché immobilier est quasiment à l’arrêt. Dans ce contexte, beaucoup s’attendaient à la stabilité, voire à une baisse des taux de crédit logement afin de relancer l’activité. Pourtant, et en dépit du maintien de la politique monétaire incitative de la BCE, certaines banques ont relevé leurs barèmes pour le mois d’avril.
Pour encourager l’achat de biens immobiliers anciens nécessitant des travaux d’amélioration, l’État met à la disposition des Français le dispositif Denormandie. Comme le Pinel, il leur donne droit à une réduction d’impôt conséquente pour financer un logement à mettre en location pendant 6, 9 ou 12 ans.
L’état d’urgence sanitaire a entraîné la prise de plusieurs mesures relatives aux transactions immobilières afin de protéger les acquéreurs. Dans le cas des signatures d’avant-contrat, le délai de rétraction n’est plus limité à 10 jours, mais étendu jusqu’au 3 juillet 2020. La finalisation de la transaction chez le notaire est donc reportée au plus tôt à cette date.
En plein dynamisme au début de l’année 2020, le marché de l’immobilier a subi un brutal coup d’arrêt à cause de la crise du coronavirus. Le début du confinement a marqué le gel de toutes les activités : visites, finalisation des ventes, traitement de nouveaux dossiers de crédit, chantiers de construction, et assemblées générales des copropriétaires ont été stoppés ou reportés. Aujourd’hui, tout le monde attend avec impatience la relance du secteur tout en restant réaliste et lucide sur l’atteinte des objectifs pour cette année.
Avant le confinement, le marché immobilier connaissait une dynamique sans précédent. L’année dernière, les Français ont démontré leur intérêt pour la pierre en explosant le record du nombre de transactions. La sécurité du placement, la volonté de se constituer un patrimoine ainsi que les conditions de crédit très intéressantes sont autant d’arguments qui les ont incités à sauter le pas.
Depuis le décret du 4 avril 2020, la signature électronique a acquis une valeur identique à la signature manuscrite sur les actes de vente de bien immobilier et les actes notariés. Ce dispositif vise à limiter les impacts du confinement sur le marché immobilier en permettant aux différents acteurs de mener à bien les transactions en cours.
Les professionnels de l’immobilier se sont longtemps demandé si la digitalisation de leur métier était une idée pertinente. Mais avec la crise sanitaire, le débat n’a presque plus lieu d’être, les outils digitaux étant ce qui empêche la profession d’être totalement paralysée. La relation avec les clients est maintenue et des transactions ont pu être conclues.
Avec la mise en place des mesures de confinement, l’activité sur le marché immobilier est à l’arrêt. En excluant la finalisation des opérations en cours, les réseaux d’agences annoncent une chute d’environ 80 % des transactions. À l’inverse, les courtiers notent une légère remontée des taux de crédit en avril.
Les transactions immobilières, du moins la majeure partie, sont suspendues le temps du confinement. Si les crédits immobiliers en cours ont pu bénéficier d’un report d’échéance, qu’en est-il des prêts relais ? Les emprunteurs ayant choisi cette formule sont aujourd’hui inquiets. La vente de l’ancienne maison étant bloquée, comment financer l’achat de la nouvelle ?
La pandémie de coronavirus et les mesures de confinement prises pour stopper sa propagation ont mis un coup d’arrêt brutal au marché immobilier. Pourtant, après une année 2019 exceptionnelle, l’activité était restée soutenue au début de l’année. Même avec un déconfinement le 11 mai, les notaires n’attendent la réelle reprise qu’en fin 2020, voire en 2021.
Après la période de confinement, les investisseurs chercheront à se refaire une santé le plus rapidement possible. À Lyon, l’investissement locatif est toujours une activité sure et qui peut rapporter gros. Mais pour cela, il faut bien analyser le comportement du marché et choisir le type de bien dans lequel placer son argent.
Les chiffres du secteur immobilier français semblent contradictoires. Alors que le nombre de compromis de vente accuse un net repli en rythme annuel, les prix des biens anciens et neufs mis sur le marché continuent de flamber. Cette situation est synonyme d’un accès plus difficile à la propriété pour les profils modestes et les primo-accédants.
Le confinement prendra fin dans quelques semaines et les professionnels de l’immobilier s’interrogent sur l’attitude des Français une fois que les activités reprennent. Selon une enquête menée conjointement par l’Observatoire du moral immobilier et SeLoger sur un échantillon de 2 500 futurs acheteurs, le moral des Français est au beau fixe. En effet, 70 % des sondés croient fermement à l’aboutissement de leurs projets immobiliers pendant le second semestre 2020. Et un acquéreur sur deux compte lancer leurs démarches dès qu’ils sortiront du confinement. Néanmoins, 50 % des Français estiment que les taux immobiliers vont augmenter peu à peu au cours des prochains mois.
Depuis le début du confinement, le secteur immobilier est plongé dans un climat total d’incertitudes. En pause depuis plusieurs semaines, il est aujourd’hui difficile de prévoir le comportement du marché immobilier à l’issue de cette période. Les résultats d’un récent baromètre ont permis d’élaborer de possibles scénarios. Dans l’ensemble, les projections sont optimistes.
À l’approche du 11 mai, début annoncé de la reprise progressive des activités, les interrogations se multiplient concernant les éventuels comportements du marché immobilier après ces deux mois de pause. Les experts de l’organisation des professionnels de l’immobilier communiquent leur perspective en se basant sur les exploits du marché au cours de l’année 2019.
Si le confinement a impacté la conclusion de ventes immobilières, il n’a pas émoussé l’intérêt des Français pour la pierre. Selon une récente étude, 15 % des Français prévoient de concrétiser leur projet au cours des 12 prochains mois. En parallèle, 53 % des ménages envisagent d’entreprendre des travaux dans les 15 prochains jours.
La crise du coronavirus est en train de plonger le monde dans un chaos qu’il n’a jamais connu auparavant. Les spécialistes économiques y vont de leurs prévisions, mais il faut être réaliste et avouer que l’issue de cette crise reste un mystère. Mais aucun secteur d’activité ne devrait en sortir indemne, même pas celui de l’immobilier que beaucoup croyaient solide.
Bon nombre de professionnels de la construction étaient dubitatifs à son sujet ; l’ordonnance émise par le gouvernement et qui concerne la prorogation de la durée de réflexion et de rétractation vient de faire l’objet d’une correction. Le 15 avril dernier, Bercy a émis une nouvelle ordonnance, annulant, entre autres, la prorogation pour la vente d’un bien immobilier résidentiel.
Surnommée « Le petit Paris », la cité bordelaise a vu ses prix immobiliers exploser. Cette envolée a eu pour conséquence l’exclusion de nombreux investisseurs du marché. Ces derniers préférant alors se rabattre sur la périphérie pour trouver de bonnes affaires. Côté rendement, les loueurs touristiques de types Airbnb sont ceux qui s’en sortent le mieux. Mais même là, la rentabilité n’atteint pas les 4,5 %. Concernant les locations classiques, le retour sur investissement oscille autour de 4 %.
D’un côté, les courtiers déplorent que de trop nombreux dossiers soient rejetés pour cause de dépassement du taux d’usure. De l’autre, les associations de consommateurs se satisfont du système actuel et dénoncent un appât de gain de la part des premiers. Pris entre deux feux, le gouvernement et le CCSF hésitent entre réformer ou maintenir le mode de calcul du taux d’usure actuel.
Nantes est une ville dynamique où le nombre d’habitants est en hausse constante. Avec son attractivité économique et la présence de nombreuses universités et grandes écoles, la Cité des Ducs et ses environs immédiats ont tout pour assurer la rentabilité d’un investissement immobilier bien étudié. Dans tous les quartiers, les biens neufs et anciens, en vente ou en location, ne restent pas longtemps sur le marché.
Les Français vivent une situation inédite. Pour ralentir la propagation du coronavirus, le confinement a été décrété sur tout le territoire. Chacun est donc prié de rester chez soi et de limiter au maximum les sorties. Cet isolement, certains le vivent un peu mieux que d’autres. Ceux qui sont cloitrés dans une maison avec un jardin se sentent privilégiés.
La France entière est à l’arrêt à cause du coronavirus et du confinement qui en a résulté. Les différents acteurs économiques ont donc interrompu leurs activités pour une durée indéterminée. Dans ces conditions, il sera difficile de faire face au remboursement des échéances. L’agence du Crédit Agricole sise en Ille-et-Vilaine a déjà enregistré près de 2 000 demandes de report des mensualités.
Pour le moment, les Français affrontent le coronavirus en restant confinés chez eux. De manière inévitable, leurs revenus seront affectés par l’arrêt de travail auquel ils ont dû se résoudre. Sans véritablement savoir quand le confinement prendra fin, certains pensent déjà à ce qu’ils vont faire pour remettre du beurre dans les épinards. L’investissement locatif fait partie des pistes explorées.
Avec une baisse constatée de -0,1 % au début du mois d’avril, le taux d’usure aujourd’hui applicable sur les crédits immobiliers en France risque bien d’exclure les foyers modestes du marché. Il faut en effet savoir que parallèlement, de plus en plus d’établissements bancaires ont procédé à la hausse de leurs taux d’intérêt, notamment sur les prêts à court et moyen terme.
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