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Marché à part avec un prix avoisinant les 11 000 euros le mètre carré avant la pandémie de Covid-19, le marché immobilier parisien risque de s’essouffler à la sortie de la crise sanitaire. De nombreux spécialistes prévoient un recul du marché, mais n’anticipent néanmoins pas une chute vertigineuse des prix.
Comment acquérir ou vendre un bien immobilier en cette période de confinement ? À Marseille, un réseau d’agences immobilières vient de lancer un concept permettant de réaliser toutes les transactions nécessaires à l’acquisition/vente d’un logement sans sortir de chez soi. L’arrêt des activités des notaires constitue pour le moment le seul obstacle à la finalisation des transactions.
Dans un contexte de crise liée au Covid-19, aucune transaction immobilière ne peut être conclue. Les Français profitent néanmoins du confinement pour peaufiner leur projet. Selon les experts, ceux qui s’attendent à une chute des prix lors de la reprise risquent d’être déçus, car un tel mouvement sera localisé. En revanche, le volume de ventes va probablement connaître une baisse marquée dans les prochains mois.
Convaincre la copropriété d’accepter une surélévation, notamment dans une grande ville comme Paris, n’est pas une tâche aisée. Néanmoins, en adoptant le concept « Jardin pour Toit », certains acquéreurs arrivent à faire passer leurs projets sans difficulté. Développé par l’architecte Jean-Thomas Finateu, ceci consiste à aménager un espace vert sur la toiture du bâti et à mener en parallèle un chantier de rénovation partielle : ravalement des façades, isolation extérieure, installation d’ascenseur, etc.
La France est en période de confinement. Toutes les activités sont à l’arrêt. Pour le marché immobilier en particulier, les notaires assurent un service minimum, de manière à conclure les dossiers en cours de finalisation. Pour leur faciliter la tâche, le gouvernement vient d’adopter un décret dispensant les parties concernées par une vente d’assister physiquement à la signature de l’acte.
Le taux d’usure désigne le seuil au-delà duquel les institutions bancaires ne peuvent pas octroyer un crédit. Les récentes recommandations des autorités financières, à savoir la limitation de la durée des emprunts et le rejet de toute demande de crédit immobilier avec un taux d’endettement supérieur à 33 %, ont eu pour effet de tirer ce taux d’usure vers le bas et d’exclure de nombreux ménages du marché.
Confinement, restriction de circuler, suspension des déplacements professionnels non essentiels à la survie de la nation… Les contraintes du coronavirus s’accumulent pour les courtiers et les agents immobiliers qui ne peuvent désormais plus faire visiter les biens à vendre. Le PropTech se dessine comme la planche de salut pour le secteur.
Avec l’épidémie de coronavirus, le gouvernement a décidé le confinement de la population et l’arrêt de toutes les activités non essentielles à la vie du pays, et ce jusqu’au 15 avril. L’immobilier ne fait pas exception, incluant les études de notaires. Pour maintenir une activité minimale, le CSN recommande le travail à distance, process qui ne fait pas l’unanimité auprès de ces professionnels.
Le marché du crédit connaît un fort ralentissement du fait des mesures de confinement imposées par le gouvernement pour endiguer l’épidémie de coronavirus. Pourtant, les taux d’intérêt pour mars 2020 sont toujours très attractifs. Les courtiers observent néanmoins des disparités plus marquées entre les différents profils d’emprunteurs.
Source d’une paralysie économique sans précédent, la pandémie de coronavirus risque bien de laisser son empreinte sur l’économie, et plus particulièrement dans le domaine de l’immobilier. Les professionnels du secteur, tout comme l’État, mettent néanmoins tout en œuvre pour éviter un effondrement du marché. Mais des changements sont inéluctables.
Comme pour d’autres départements, le secteur immobilier de la Haute-Vienne est plongé dans une conjoncture morose suite aux mesures drastiques mises en place pour contenir la pandémie de Covid-19. Les transactions sont quasi inexistantes, ce qui risque de peser sur l’avenir des entreprises locales travaillant dans le domaine. Heureusement, les tractations à distance permettent d’atténuer le choc de la crise.
À l’instar de la plupart des secteurs de l’économie, l’immobilier subit également de plein fouet les répercussions de la crise du covid-19. Selon les experts, un effondrement des ventes à court terme est inévitable. Aussi, il est encore trop tôt pour chiffrer les réels impacts de cette crise sur le secteur.
Le marché de l’immobilier off-market concerne les biens de situation exceptionnelle. Les annonces des personnes qui souhaitent céder ce genre de biens immobiliers ne paraissent jamais sur les sites ou revues spécialisées, car tout est fait sous le signe de la discrétion. En effet, il s’agit d’un marché à l’accès verrouillé et qui ne représente qu’environ 10 % des biens proposés à la vente en France. Selon l’estimation des spécialistes, environ 15 % des transactions, dont la valeur se situe entre 10 millions et 100 millions d’euros, sont effectués en off-market.
Le parc immobilier français compte encore de nombreux bâtiments résidentiels avec une isolation vétuste. Pour inciter les investisseurs à les remettre aux normes, le gouvernement multiplie les dispositifs d’aides, en attendant l’entrée en vigueur de MaPrimeRénov’. Les investisseurs en locatif sont tenus d’atteindre un certain score en performance énergétique avant de pouvoir opérer une hausse sur les nouveaux baux.
En cette période de confinement, les messages d’alerte sur les préventions contre le coronavirus sont martelés par les médias. Toutes les activités dites « non essentielles » sont également à l’arrêt afin de minimiser les contacts. Les états des lieux dans les contrats de location ont été jugés essentiels et donc autorisés par le gouvernement ; mais les précautions d’usage s’imposent.
L’attractivité territoriale est un défi majeur pour le développement économique des villes françaises. Au-delà des perspectives économiques offertes par une localité, d’autres critères entrent aussi en jeu pour motiver les particuliers et les professionnels à opérer un achat immobilier. Le critère de l’épanouissement personnel et social est également pris en compte par les futurs acquéreurs.
C’est à cette question qu’a tenté de répondre la fondation iFrap, spécialisée dans l’audit des politiques publiques. Dans un rapport publié quelques jours avant les élections municipales, elle a passé au crible les comptes des villes de plus de 65 000 à plus de 150 000 habitants. Trois d’entre elles se distinguent pour leur bonne gestion. Certaines communes créent la surprise et sont particulièrement attractives pour un achat immobilier.
Après une excellente année 2019, les agences immobilières ont débuté 2020 avec beaucoup d’optimisme. Toutefois, elles ont vite déchanté et ont dû mettre leurs activités commerciales à l’arrêt à cause de la crise liée à la propagation du Covid-19. Depuis la mi-mars, les 10 000 agences immobilières, membres de la Fnaim, ferment leurs portes.
Avant le confinement imposé par l’Exécutif pour limiter la propagation du coronavirus, la Fnaim avait annoncé des perspectives positives pour le marché de l’immobilier. Elle s’était basée sur l’analyse des taux d’intérêt et le dynamisme du segment de l’ancien. Malgré les nouvelles mesures strictes adoptées, elle ne prévoit pas d’impact trop sévère de la crise sanitaire actuelle sur le secteur.
Avec les mesures prises pour faire face au coronavirus, les agences immobilières sont touchées de plein fouet par une baisse d’activité. Pour éviter l’arrêt total des services, les démarches à distance sont de plus en plus sollicitées. D’après Jean-Marc Torrollion, président de la FNAIM, les projets immobiliers en cours pourront être traités prochainement.
En cette période de confinement, de nombreux ménages en profitent pour préparer l’acquisition de leur future résidence principale ou secondaire, ou un investissement locatif. Les taux étant toujours stables à des niveaux bas historiques, la période reste propice à la concrétisation d’un tel projet. De plus, les conditions d’obtention d’un prêt devraient s’assouplir.
Tout au long de l’année dernière, les observateurs ont tenté de deviner l’état dans lequel pourrait être le marché de l’immobilier en 2020, de déterminer la date à partir de laquelle le taux immobilier commencerait à remonter et à anticiper jusqu’où irait la hausse des prix. Mais cela, c’était avant l’arrivée du coronavirus qui a invalidé toutes les prévisions.
L’impact de la pandémie de Covid-19 sur l’immobilier commence à se faire ressentir pour les acteurs majeurs du secteur. Le confinement total qui s’applique dans presque tous les pays européens les oblige à suspendre leurs activités. Toutefois, aucun d’entre eux ne souhaite pour le moment avancer une estimation des pertes éventuelles causées par cette crise sanitaire. Ils se contentent d’annoncer la révision à la baisse de leurs objectifs pour l’année 2020.
La location meublée rapporte plus que la location nue d’après les spécialistes, les revenus qu’elle génère étant nettement plus élevés que ceux de la location vide. Porté par les besoins en logement des étudiants et des professionnels en mission, le marché se porte très bien. Attirés par la rentabilité, la demande soutenue et la fiscalité avantageuse, de nombreux bailleurs optent pour cette formule. Il convient néanmoins de bien se renseigner et de prendre en compte toutes les contraintes liées à ce type d’investissement avant de s’y lancer.
L’Hexagone est actuellement en pleine gestion de l’épidémie de coronavirus. Face à la situation complexe, les ménages qui ont déposé une demande de financement immobilier auprès des banques se demandent si les événements impacteront le traitement de leurs dossiers. Les professionnels du secteur tiennent à les rassurer : les banques traitent en priorité les demandes de prêt déjà validées et celles en cours. Néanmoins, à cause du manque d’effectifs, les dossiers de renégociation de crédit sont encore en « stand-by ».
La crise sanitaire liée au coronavirus est en train de tout paralyser dans le monde. Transports publics, écoles, évènements sportifs et culturels, tout est à l’arrêt. Outre les hôpitaux, qui sont aujourd’hui débordés, et les banques qui ouvrent en ordre dispersé, les études de notaire continuent d’être actives, mais pour un service minimum. D’ailleurs, le plus gros du travail est effectué en ligne.
L’investissement dans la pierre demeure un placement privilégié des Français. En outre, le crédit immobilier reste accessible compte tenu des conditions actuelles très favorables, ainsi l’acquisition d’un bien destiné à une « future » location s’avère être un choix judicieux. En la matière, le département de la Charente offre de nombreuses opportunités aux investisseurs.
Les maisons préfabriquées pourraient représenter l’avenir de la construction immobilière. Même s’il porte préjudice au savoir-faire des artisans en privilégiant le modèle industriel (production en série), le concept procure de nombreux avantages pour les futurs occupants. D’ailleurs, conscient de l’essor certain du préfabriqué, le gouvernement a décidé de le réglementer, de manière à établir un cadre pour les professionnels.
Les taux baissent, les prix augmentent. Ces dernières années, au fur et à mesure que les taux ont évolué vers le bas, le prix de l’immobilier n’a eu de cesse d’observer la trajectoire inverse. Il est alors difficile de ne pas y voir une relation de cause à effet. Mais d’autres facteurs contribuent à la flambée des tarifs.
Durement touchée par l’épidémie de coronavirus, l’Italie a imposé le confinement total à la population. Ensuite, dans un objectif de soutien aux ménages et aux entreprises, le gouvernement a décidé plusieurs mesures rassemblées dans un décret. Parmi elles figure la possibilité de suspendre le remboursement de leur prêt immobilier. Une mesure qui s’étend désormais à la France.
Avec une moyenne énergétique de 250 kWhep/m² par an, les ménages français sont encore en deçà des chiffres exigés pour parvenir aux objectifs de neutralité carbone prévus en 2050. Pour atteindre les 80 kWhep/m² par an nécessaires au respect de l’engagement, 900 000 logements doivent être rénovés tous les ans. Pour l’heure, on est loin du compte.
Les banques annoncent l’allongement des délais de traitement des dossiers de crédit immobilier, compte tenu des perturbations causées par les mesures sanitaires liées à l’épidémie de coronavirus. Dans ce contexte, la condition suspensive d’obtention d’un emprunt immobilier représente une protection indispensable.
Un certain nombre de programmes visant à aider les candidats à l’accession à la propriété à épargner pour leur apport initial du Royaume-Uni. Il existe néanmoins quelques options pour préparer financièrement son projet. Outre les plans d’épargne locaux, les futurs propriétaires peuvent chercher une offre hypothécaire avec un LTV le plus proche possible de 100 %.
Alors que les mises en vente de logements diminuent sur l’aire urbaine selon l’Observer de l’immobilier toulousain, la demande reste soutenue. Avec un volume de transactions élevé, le stock de logements disponibles se réduit rapidement. Désormais, le prix moyen au mètre carré est supérieur à 4 000 euros.
Pour investir dans l’immobilier locatif, Aix-en-Provence est une destination de choix. Son climat clément, son dynamisme démographique, l’accès aux transports sont ses principaux atouts. De plus, les acquéreurs sont potentiellement éligibles aux dispositifs de défiscalisation Pinel, Malraux et Denormandie. Pour autant, le marché présente des disparités marquées.
Après le Brexit, le Royaume-Uni, comme tous ses voisins européens, doit faire face aux défis de la propagation du coronavirus. Jusqu’ici, la pandémie n’a pas encore réussi à freiner le dynamisme du marché immobilier dans le pays, notamment dans le résidentiel, mais les observateurs s’interrogent tout de même sur son impact sur le court et le moyen terme.
Pour profiter de la chute des taux d’intérêt, les détenteurs d’un crédit immobilier sont de plus en plus nombreux à renégocier le contrat auprès de leur banquier. Si ce dernier accepte la révision des conditions, il doit établir un avenant. Un récent arrêt de la Cour de cassation introduit une nouvelle jurisprudence en la matière.
Par rapport à une année 2018 qualifiée par les professionnels de « désastreuse », le marché des maisons neuves hors lotissement a repris des couleurs en 2019. 125 600 unités en secteur diffus ont en effet trouvé preneur, soit une croissance annuelle de 5 % d’après les données de la LCA-FFB. Les ventes en lotissement poursuivent en revanche leur dégringolade.
L’envolée des prix des biens immobiliers dans la capitale française surprend dans le monde entier. Deux récentes études internationales dévoilent la performance exceptionnelle de Paris sur le segment du résidentiel de luxe, tendance qui dure depuis près de trois ans. Dans les autres grandes métropoles, à part Berlin, l’heure est pourtant à l’atonie.
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