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Le gouvernement réaffirme sa volonté d’en finir avec les milliers de « passoires thermiques » que compte encore l’Hexagone. La réforme du Diagnostic de performance énergétique (DPE) a été décidée dans ce sens. Désormais, le dit document ne se cantonnera plus au rôle de simple informateur et pourra, entre autres, faire foi en cas de litige entre propriétaire et locataire.
Bonne nouvelle pour les ménages qui projettent d’acheter un bien immobilier. À partir du 1er mai, les émoluments des notaires, ces frais indissociables de ce type de transaction, vont baisser de 1,9 %. Le système de remise est également révisé, au bénéfice des acquéreurs. En y ajoutant la faiblesse des taux d’intérêt, emprunter pour devenir propriétaire n’a jamais été aussi bon marché.
Afin de ralentir la frénésie d’emprunt immobilier qui s’est emparée des Français, le Haut conseil de la stabilité financière a émis quelques recommandations que les banques ont suivies, non sans grincer des dents. Par la voix de sa fondatrice, le groupement des courtiers s’est également montré dubitatif quant aux bienfaits de telles mesures.
Bayonne attire de plus en plus d’investisseurs immobiliers. Cette attractivité de l’agglomération bayonnaise a conduit à une flambée des prix de la pierre, laquelle est accentuée par le manque de logements disponibles à la vente. Cette situation pose un réel problème aux primo-accédants qui rencontrent de sérieuses difficultés pour devenir propriétaires.
La forte baisse des OAT ne semble pas avoir un impact sur les taux d’intérêt immobiliers : ceux-ci ont même légèrement progressé d’après le rapport d’un spécialiste du secteur. Outre cela, se référant aux recommandations du Haut Conseil de Stabilité Financière, les banques commencent à adopter une politique commerciale plus exclusive, pénalisant certains profils d’emprunteurs comme les primo-accédants et les investisseurs.
L’économie tourne désormais au ralenti, en France, en Europe et dans le monde entier. À cause du coronavirus, de nombreuses villes ressemblent aujourd’hui à des villes fantômes. Bien qu’il n’en sorte pas indemne, l’immobilier, du point de vue des observateurs, pourrait bien être le secteur où le fameux virus aura le moins d’impact.
Ces dernières années étaient propices à l’emprunt immobilier, mais les conditions d’octroi ne sont malheureusement pas les mêmes pour tout le monde. Les banques sont plus enclines à accorder des prêts à des couples avec deux sources de revenus distinctes. Pour les personnes seules, le financement est beaucoup plus difficile à obtenir, surtout lorsqu’il s’agit d’une femme.
À Nashville, capitale de l’État du Tennessee situé dans le sud-est des États-Unis, le marché résidentiel est très concurrentiel. Il est donc essentiel pour les vendeurs d’essayer de se démarquer pour séduire les acquéreurs et en tirer un bon prix. Un groupe immobilier leur accorde des prêts sans intérêt pour embellir leur maison avant de les mettre sur le marché.
Dans la continuité de l’année 2019, qui a été un cru exceptionnel, le marché du crédit immobilier reste dynamique. En février 2020, d’après le baromètre de l’observatoire Crédit Logement/CSA, 50 % des souscripteurs de prêts à l’habitat ont pu négocier moins de 1 % d’intérêts, quelle que soit la durée.
Ces dernières années, les taux des prêts immobiliers ont chuté à des seuils historiques. Mais entretemps, les prix des biens ont littéralement explosé, sans compter la hausse du coût de la vie. Pour évaluer l’impact de ces facteurs sur le pouvoir d’achat immobilier des Français, la Fnaim a analysé leur évolution au cours des 20 dernières années.
Cet été, un an après avoir franchi la barre des 10 000 euros, le prix du mètre carré parisien devrait grimper à 11 000 euros. Dans les autres métropoles tricolores, des hausses sensibles sont observées depuis le début de l’année. Le dynamisme du marché laisse présager de bonnes performances pour 2020 malgré le resserrement des conditions de crédit.
Comme dans plusieurs grandes villes françaises, les prix de l’immobilier lillois s’affichent en forte hausse. À 2 790 euros, le mètre carré reste néanmoins plus abordable que dans d’autres métropoles pour les acheteurs à la recherche d’un bien neuf ou ancien dans un cadre agréable offrant une bonne qualité de vie.
Alors que la réforme des retraites n’en finit pas de faire la une de l’actualité, les Français s’inquiètent pour leurs vieux jours. Ils sont de plus en plus nombreux à se tourner vers la pierre pour investir afin de se constituer un complément de revenus et un patrimoine. Une récente étude révèle que la proportion de jeunes est en forte hausse.
Le marché de l’immobilier tertiaire a signé des records en 2019 à travers la France, en particulier à Lyon. Selon le spécialiste du conseil en immobilier JLL, le nombre de mètres carrés vendus et le montant des investissements ont bondi sur un an. 2020 s’annonce également faste avec une augmentation du stock de locaux disponibles.
Après une année exceptionnelle en matière de transactions immobilières, tout le monde s’interroge s’il est judicieux d’investir dans la pierre en 2020. L’ère des taux bas n’est pas encore totalement révolue même si les conditions d’octroi des prêts ont été durcies par les banques, et les prix immobiliers poursuivent leur tendance haussière en particulier dans les zones tendues. Cette situation rend les investisseurs potentiels un peu perplexes, et ce, malgré l’attrait que présentent les placements dans la pierre, notamment en termes de rentabilité.
Avec les nouvelles recommandations du HCSF, 2019 a surement marqué la fin des crédits « bon marché », en particulier pour les investisseurs en locatif. Désormais, les banques se montrent plus sélectives et durcissent considérablement leurs conditions d’octroi. L’obtention d’un crédit dépend aujourd’hui de l’apport personnel, mais également du taux d’endettement du porteur de projet.
Les séjours à la montagne séduisent de plus en plus de vacanciers, et ces derniers souhaitent disposer des logements non loin des remontées mécaniques et offrant de larges espaces. Cette tendance influence l’évolution du marché immobilier de montagne, car les investisseurs se bousculent pour faire l’acquisition de biens aux grandes superficies. Comme l’offre n’arrive pas toujours à suivre la demande (notamment dans l’ancien), les prix des chalets et appartements spacieux s’envolent.
Le marché de la location en France est également tendu. La demande en constante croissance contraste avec la raréfaction de l’offre. Cette difficulté pousse ceux qui sont à la recherche d’un logement à user de tous les stratagèmes possibles. Un sondage récent affirme que 50 % des Français seraient prêts à user de leur charme pour arriver à leur fin.
À l’approche des municipales, une association tire la sonnette d’alarme à propos de la progression constante des parts d’Airbnb dans le marché du logement locatif à Paris. Selon les dires des responsables de cette institution, la plateforme de location accapare plus de 4 % de ce marché entraînant la diminution significative des offres de location longue durée dans la capitale. Ayant réussi à récolter 12 000 signatures, ils réclament des mesures restrictives à l’encontre d’Airbnb, laquelle compte actuellement 60 000 annonces de location sur Paris.
Contrairement à ce que pensent bon nombre de gens, la hausse spectaculaire des prix ne concerne pas que l’immobilier ancien. Comme en témoignent les chiffres communiqués par le ministère du Logement et relatifs au marché français en 2019, les prix ont également explosé dans le neuf. L’envolée la plus marquée a été enregistrée en Bretagne.
Chaque année, quelque 10 000 Parisiens quittent leur ville, faute de pouvoir continuer à payer un loyer en hausse ou acheter un logement à la portée de leur bourse. La moyenne des prix au mètre carré dans la capitale a franchi le cap des 10 000 euros à l’été 2019 et atteint 50 000 euros pour les biens d’exception. Un prix que ne rebute pas les étrangers, de plus en plus nombreux à acheter à Paris.
Les antennes Île-de-France et Brie-Picardie du Crédit Agricole dévoilent le profil type des nouveaux propriétaires franciliens, qu’ils aient acheté leur résidence principale pour la première ou la deuxième fois. L’étude porte notamment sur les montants des emprunts souscrits pour financer l’opération, ainsi que sur l’emplacement des biens.
L’enjeu est avant tout environnemental, mais le souhait des pouvoirs publics d’en finir avec ce qu’ils appellent « des passoires thermiques » est également d’ordre financier, plus précisément pour les ménages qui habitent dans ces logements mal isolés et mal chauffés. Mais malgré les nombreux discours prononcés et dispositifs adoptés, la transition énergétique est encore loin de s’accomplir.
L’immobilier à Paris est connu pour être un des plus chers de l’Hexagone. L’année dernière, le prix moyen du mètre carré est passé au-dessus des 10 000 euros. Et encore, ce prix peut être largement dépassé, en fonction du secteur où se situe le bien. Pour preuve, un studio de 30 m² vient d’être vendu à environ un million d’euros.
Si la hausse des prix s’est surtout fait ressentir dans l’immobilier ancien, les ventes dans le neuf ont également eu leur part d’inflation l’année dernière. En moyenne, d’une année à l’autre, le prix d’une maison neuve s’est accru de +3,2 % pendant que celui d’un appartement fraichement livré par le constructeur a évolué de +4,4 %.
Par la voie d’une nouvelle ordonnance, les professionnels du bâtiment vont désormais disposer de plus de liberté quant au choix du système d’isolation à installer dans les constructions. Jusque-là soumis à des normes strictes, ils bénéficient aujourd'hui d’une plus grande souplesse de la part des autorités, le plus important étant d’arriver au résultat escompté.
Acquérir un petit chalet en montagne pour pouvoir être au calme, ce rêve parait tout simple, mais rares sont ceux qui en ont vraiment les moyens. En effet, pour peu qu’il soit à proximité d’une station de sports d’hiver, un bien immobilier peut voir son prix atteindre des sommets qui dépassent même ceux de la capitale.
Un récent baromètre sur la satisfaction client dans l’immobilier révèle que 28 % des porteurs d’un projet dans la pierre se fient aux avis clients en ligne lors du choix d’un agent. Si ce professionnel décroche une note globale élevée, les nouvelles habitudes des clients bouleversent sa manière d’exercer son métier.
Le départ du Royaume-Uni de l’Union européenne a été acté le vendredi 31 janvier 2020. Étonnamment, pendant le mois, les prix de l’immobilier, qui stagnaient depuis un an, sont brusquement repartis à la hausse. Et même si celle-ci reste modérée, elle laisse présager d’une reprise sur un marché rendu atone par l’incertitude liée au Brexit.
Nantes, à l’instar des autres grandes villes de l’Hexagone, n’a pas été épargnée par la hausse du prix de l’immobilier. Même si la baisse des taux y est pour quelque chose, la flambée des prix est surtout due à une forte demande que l’offre n’arrive plus à satisfaire.
L’immobilier, malgré tous les sacrifices qu’il peut exiger, fait partie des investissements les plus sûrs. Encore faut-il bien cerner ses besoins et choisir judicieusement la ville où investir. Les familles qui souhaitent habiter dans un lieu calme privilégieront les petites villes, tandis que les investisseurs en quête de rendement se tourneront vers les grandes métropoles.
Face à l’effervescence sur le marché du prêt à l’habitat, les autorités financières recommandent la prudence aux banques afin de leur limiter leur exposition au risque. Acteur majeur du secteur, le Crédit Agricole veut inciter les candidats à l’accès à la propriété à mobiliser davantage leur épargne pour boucler leur plan de financement.
Selon les pouvoirs publics, quelque trois millions de logements, soit 8 % du parc français, sont inoccupés à travers le territoire. Pourtant, l’offre locative est largement insuffisante. Afin de retrouver un semblant d’équilibre, le gouvernement lance un plan pour encourager les propriétaires de ces biens vacants à les remettre sur le marché.
Lors du calcul du budget d’un investissement locatif, le futur propriétaire doit intégrer le coût des travaux du quotidien. Sans cette précaution, il risque de rencontrer des problèmes de trésorerie lorsque les aléas surviennent. Le spécialiste de la gestion locative Flatlooker dévoile une estimation du montant à prévoir pour ces dépenses.
Parmi les records établis en 2019 dans le domaine de l’immobilier figure l’augmentation des prix dans l’ancien à travers le territoire. Elle a en effet atteint 3,7 %, avec une accélération au dernier trimestre. Il s’agit de la 4e année de hausse consécutive, avec un mouvement plus marqué pour les appartements par rapport aux maisons.
La hausse des prix immobiliers parisiens s’étend au reste de la région. Même dans le Val-d’Oise, un des départements parmi les plus abordables en grande couronne, la hausse de la demande tire le coût des biens vers le haut. Dans certaines communes, les acheteurs doivent payer jusqu’à deux ou trois fois le prix moyen au mètre carré, qui s’élève à 2 700 euros.
La période actuelle est fortement propice à l’investissement locatif. Mais une récente étude montre que cette activité a toujours été florissante, particulièrement ces 35 dernières années. Du milieu des années 80 à aujourd’hui, le bénéfice des bailleurs en France a été multiplié par trois. En parallèle, le revenu des locataires évoluait au ralenti.
Un changement notable s’annonce pour les vendeurs et acheteurs d’un bien en copropriété. À compter du 1er juin 2020, le prix des états datés ne pourra dépasser 380 euros alors que les syndics ont l’habitude de réclamer jusqu’à 500 euros. Fixé après de longues négociations, ce plafond est loin de faire l’unanimité.
La demande en propriétés immobilières n’a jamais été aussi forte. Cette conjoncture contribue à une flambée des prix, mais les Français sont quand même, en majorité, réticents à négocier avec le vendeur. À la place, ils préfèrent se positionner sur des conditions plus favorables de prêt.
Comme l’ensemble du marché immobilier tricolore, celui de Caen confirme sa bonne santé, le volume de transactions s’affichant en hausse de 8 % sur un an. Ce dynamisme notable réduit le stock de logements à vendre. En position de force, les vendeurs augmentent les prix dans l’agglomération, faisant grimper la moyenne à 200 000 euros.
Cette année, la fièvre de l’emprunt immobilier risque de retomber de manière spectaculaire, après avoir atteint des sommets inédits en 2019. Sur recommandations du gouvernement, les banques sont conviées à durcir leurs conditions d’octroi afin de freiner l’endettement galopant des ménages. Les investisseurs en locatif qui n’ont pas pu lancer leur projet l’année dernière risquent d’avoir du mal à le faire désormais.
Les banques ont entamé l’année 2020 avec une nouvelle résolution : appliquer les recommandations de la HSCF afin de ne pas être contraintes d’augmenter leurs fonds propres, ou soumises à une surcharge de capital. Les modalités d’octroi de prêts seront impactées par cette décision. Et d’après certains observateurs, le durcissement des conditions de crédit à venir pourrait entraîner une baisse du nombre d’investissements locatifs en Pinel pour cette année.
La loi des finances 2020 a apporté quelques modifications aux programmes de défiscalisation immobilière existants en France. La loi Pinel a ainsi fait l’objet de quelques remaniements tout comme le dispositif Denormandie. De son côté, la loi Malraux a été prolongée de 4 ans. Quelles formes prendront donc ces dispositifs pour 2020 ?
Dans une récente publication, l’Institut Paris-Région retrace l’histoire du marché immobilier francilien au cours des 47 dernières années. L’auteur rappelle comment les ménages modestes se sont retrouvés progressivement exclus de l’accession à la propriété dans cette zone où le marché immobilier est aujourd’hui tendu. L’institut formule également ses recommandations pour faciliter l’accès à la pierre au plus grand nombre.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.