Economisez jusqu'à 70%
sur votre assurance de prêt avec meilleurtaux
Jusqu'à -60%
sur vos mensualités avec le rachat de crédits*
Comparez gratuitement
les taux en 5 minutes
Prêt professionnel
Nous vous orientons vers la meilleure solution
selon votre profil et votre besoin
Vous recherchez le meilleur livret d’épargne ?
Découvrez le livret Meilleurtaux, le meilleur taux du marché. Tout simplement.
Vous recherchez la meilleure Banque ?
Le comparateur de tarifs bancaires de meilleurtaux
Estimez la valeur de votre bien en quelques clics.
Achetez et vendez au meilleur prix
Comparez les tarifs énergie
Nos experts vous accompagnent et vous conseillent
pour trouver la meilleure offre qui vous convienne
Comparateur Box & Mobile
Trouvez et choisissez la meilleure offre du moment
Déjà 1 million d’abonnés à notre newsletter
Inscrivez-vous et restez informé de nos actualités
La fin de l’année 2020 est marquée par un recul des taux d’emprunt pratiqués par les organismes de crédit, toutes durées confondues. En effet, après une stabilisation ces derniers mois, la courbe affiche une légère tendance baissière avec une moyenne qui s’établit à 1,20 % sur 20 ans.
Faut-il y voir un effet du confinement ? Toujours est-il que selon une récente étude, les tendances en matière de résidence principale et secondaire sont en train de s’inverser. Par le passé, il était d’usage d’habiter dans les grandes agglomérations et de disposer d’une résidence secondaire dans les villes de second plan. Aujourd’hui, la résidence d’appoint se trouve plutôt en zone urbaine.
Au classement des 20 villes les plus attractives en France pour 2020, Bordeaux se retrouve à la 11e place, alors qu’elle occupait le 7e rang lors de l’édition de 2019. Parmi les onze critères proposés par Regionsjob et le cabinet de recrutement Hays aux actifs pour noter la capitale girondine, le transport et la circulation sont les points les plus critiqués.
Après le premier confinement, ceux qui s’intéressent de près au marché immobilier ont noté un changement notable concernant les attentes des potentiels acheteurs. Pour eux, s’établir dans les grandes agglomérations n’est désormais plus une priorité. Ce constat est parfaitement illustré par les acquéreurs originaires d’Ile-de-France, lesquels ont délaissé des métropoles comme Lille ou Nantes au profit de zones beaucoup plus rurales.
Le 14 décembre dernier, l’extension de la ligne 14 du métro, qui va jusqu’à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), a accueilli ses premiers voyageurs. Sans surprise, ces travaux initiés en 2014 ont eu des conséquences sur l’immobilier. Selon une étude d’une plateforme spécialisée dans l’estimation immobilière, le prix du mètre carré a bondi de 46,7 % dans les quartiers proches des nouvelles stations.
Las d’être enfermés dans une résidence exigüe et sans espace extérieur, nombreux sont les citadins qui ont exprimé le souhait de déménager dans une localité moins contraignante, si possible en zone rurale, à la sortie du premier confinement. Mais pour la majorité, cette aspiration n’a jamais pu se concrétiser. Les porteurs de projet lyonnais en savent quelque chose.
À la fin de l’année dernière, le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) a introduit une série de recommandations qui visaient à ralentir la machine du crédit immobilier. Il était alors question de limiter la durée de remboursement maximum à 25 ans ou encore de plafonner le taux d’effort à 33 %. Un an après, les professionnels dressent un bilan négatif de ces mesures. Selon eux, ces dernières ont contribué à exclure de nombreux ménages du marché.
D’après l’étude annuelle de l’Insee sur les Français et leur logement, 60 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale. Près de 40 % d’entre eux ont fini de rembourser leur emprunt. Ces récentes statistiques confirment les grandes tendances observées au cours de la précédente décennie.
En matière de transition énergétique, la France s’est fixé comme objectif d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour y arriver, il faudra verdir autant que possible le système de chauffage et de climatisation des bâtiments. Mais les nouvelles normes qui doivent être mises en place pour les constructions neuves semblent aller dans le sens inverse.
La crise sanitaire n’a pas réussi à mettre définitivement le marché immobilier à l’arrêt. En effet, de nombreux acquéreurs potentiels ont décidé de concrétiser leurs projets, notamment à la sortie du premier confinement.
La persistance de la crise sanitaire ralentit les activités économiques, mais ceci n’arrive pas à dissuader les Français de renoncer à leurs projets d’acquisition immobilière. Selon une étude menée par SeLoger, 58 % des futurs acheteurs croient à la réalisation de leurs projets même si près de 8 répondants sur 10 craignent de ne pas pouvoir trouver le bien qui correspond à leurs attentes.
Selon un récent rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) publié par Le Figaro, la France détient le record du monde en matière de poids de la fiscalité immobilière. Après les États-Unis en 2019, elle partage désormais cette première place avec le Royaume-Uni.
Le constat est accablant : les grandes villes séduisent de moins en moins les investisseurs immobiliers. Il s’agit là d’un des bouleversements les plus notables engendrés par la pandémie et le confinement qui en a découlé. À l’inverse, de petites villes comme Dunkerque et Amiens attirent désormais les projecteurs sur elles avec un rendement supérieur à 7 %.
Disposer d’un espace extérieur reste un critère important pour les Français ayant un projet d’achat immobilier. C’est ce que révèle une récente étude réalisée par une plateforme spécialisée dans l’estimation en ligne du prix d’un bien. Par ailleurs, la présence d’une terrasse ou d’un balcon majore le coût d’un appartement.
Aujourd’hui plus que jamais, les ménages qui en ont les moyens cherchent un investissement sécurisé et qui rapporte gros. Pour l’heure, de l’avis de la majorité, la pierre est le placement qui se rapproche le plus de ces attentes-là. Les futurs investisseurs ont, toutefois, intérêt à identifier la ville où la rentabilité sera la plus élevée.
Alors que le deuxième confinement vient d’être levé, les professionnels de l’immobilier s’attendent à un moindre rebond de l’activité sur le marché. La situation sera donc très différente de celle du mois de mai, une véritable frénésie ayant accompagné la levée de la période de restrictions du printemps.
Habituellement, les 25-34 ans représentent la majorité des candidats à l’accession à la propriété. Mais à cause de la crise sanitaire, les intentions d’achat dans cette tranche d’âge ont chuté, nous apprend le baromètre trimestriel BVA pour le spécialiste de l’estimation immobilière Drimki. Plus largement, c’est la proportion de primo-accédants qui s’est effondrée depuis le printemps.
Au plus fort de la crise sanitaire, confinement oblige, les visites d’appartements et de maisons ont été interdites. Ceci a eu pour effet de paralyser le marché de l’immobilier. Puis, lors du reconfinement, le recours aux visites virtuelles s’est démocratisé. Aujourd’hui, les professionnels envisagent de maintenir le dispositif même après le retour à la normale de la situation sanitaire.
La crise sanitaire a modifié les attentes des Français en termes d’immobilier. Une récente étude réalisée par le réseau de mandataire IAD dévoile les nouvelles exigences des ménages à la recherche d’un logement. Espace extérieur, coin bureau dédié et zone géographique étendue font partie de leurs principales attentes.
Indéniablement, la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid -19 a bouleversé le quotidien de tout un chacun. En matière de négociation immobilière, bon nombre de candidats à l’acquisition ont décidé de modifier leur approche. Certains se montrent plus intransigeants, d’autres sont plus pressés et limitent les négociations.
La baisse des prix de l’immobilier espérée par les observateurs n’aura pas eu lieu en cette période de crise sanitaire. La hausse est toujours d’actualité, en particulier dans l’ancien. Seul motif de réjouissance pour les futurs acquéreurs, un ralentissement de la progression est observé au troisième trimestre 2020, par rapport à l’année dernière, mais également par rapport aux trimestres précédents.
En règle générale, la rareté d’un produit fait augmenter son prix. Mais sur le marché de l’immobilier neuf, cette règle ne prévaut plus. En effet, plusieurs évènements ont grandement freiné la production de logements neufs. Il était alors aisé de deviner que le prix des biens disponibles sur le marché allait flamber. Il n’en a rien été.
La surface des logements en région francilienne, notamment celle des appartements, a nettement diminué depuis plusieurs années. Si cela ne posait pas trop de problèmes auparavant, l’avènement du coronavirus et le confinement ont mis en évidence l’inconvénient de vivre dans un logement exigu, d’autant plus que la plupart des Français sont contraints de travailler à domicile.
Après le confinement, certains analystes ont noté une décélération de la hausse du prix de l’immobilier, allant même jusqu’à parler de stagnation. Une autre étude vient pourtant remettre en cause cette observation, avec cette fois une envolée plutôt conséquente constatée dans la quasi-totalité des grandes villes françaises. 83 % d’entre elles enregistrent une progression supérieure ou égale à 5 %.
L’année 2020 a été marquée par la crise sanitaire et son impact sur la vie sociale et économique, ainsi que par le resserrement des conditions de crédit. Malgré cela, le nombre de Français qui souhaitent placer leur argent dans la pierre n’a pas diminué, et les professionnels du crédit immobilier ont même constaté que plusieurs d’entre eux s’intéressent à l’investissement dans le locatif.
Soucieux de contenir l’endettement des ménages, le Haut conseil de stabilité financière avait émis des recommandations visant à durcir les conditions d’octroi des crédits. Si certains professionnels de l’immobilier déplorent une exclusion d’une proportion importante d’emprunteurs potentiels, la Banque de France, elle, soutient la démarche et réfute l’idée que ces recommandations limitent l’accès à la propriété.
La crise sanitaire perdure. Le nombre de contaminations au coronavirus a repris de plus belle, à tel point que le gouvernement a imposé un nouveau confinement. Mais sur quelques aspects, ce second confinement diffère du précédent, notamment en ce qui concerne l’évolution des taux immobiliers. Cette fois, aucune remontée ne semble se profiler à l’horizon.
À cause de leur jeune âge et de la conjoncture économique incertaine, bon nombre de Millenials (ou Génération Y) se voient fermer les portes de l’accession à la propriété. Les moyens financiers dont disposent les 25-35 ans les contraignent souvent à se tourner vers la location. Et là encore, la majorité doit se contenter de petites surfaces.
Bonne nouvelle pour les aspirants à la propriété : le dispositif Pinel est reconduit pour quatre ans au moins. Les barèmes concernant les déductions d’impôt jusqu’en 2024 viennent d’être dévoilés. Seule véritable ombre au tableau : l’avantage fiscal sera réduit à partir de 2023. Une décision justifiée en partie par le coût important du dispositif pour l’État.
Le projet Grand Paris Express avance malgré les retards causés par la crise sanitaire. En grande effervescence depuis quelques années, les promoteurs immobiliers s’arrachent les parcelles du terrain jouxtant les lignes et gares du futur métro. Face à une très forte demande, la concurrence fait rage entre les professionnels. Ces derniers n’hésitent plus ainsi à proposer des offres alléchantes aux propriétaires des pavillons en banlieue pour qu’ils acceptent de céder leurs biens.
Depuis le début de la pandémie, les Français ont, sans trop le vouloir, pu se constituer une épargne conséquente. Face aux incertitudes économiques qui ne vont pas se dissiper de sitôt, ils cherchent à placer leurs économies et se tournent majoritairement vers la pierre, considérée comme le placement le plus sûr. Mais pour s’assurer de la réussite de l’opération, ils devront identifier les villes offrant les meilleurs rendements. Dans cette catégorie, Le Havre, Rouen ou encore Rennes sortent du lot avec des taux de rentabilité locative compris entre 4 % et 6 %.
En pleine pandémie, les ventes de biens immobiliers s’envolent aux États-Unis. Sur le segment de l’ancien, le volume de transactions a même égalé en octobre dernier le record établi en début 2006. Mais cette effervescence entraîne une baisse du stock de biens disponibles sur le marché, ainsi qu’une envolée des prix.
Les effets du coronavirus sur l’économie se font ressentir différemment dans plusieurs régions de la France, d’après le dernier baromètre Arthur Lloyd sur l’attractivité des métropoles françaises et le dynamisme des territoires. Cette 4e édition présente la liste des grandes villes qui séduisent le plus les Français en 2020 et qui peuvent encore compter sur leur dynamisme malgré le recul de l’emploi.
Après des années de baisse continue, le marché de l’immobilier neuf est en train de subir de plein fouet la crise sanitaire et économique. D’après les chiffres de la fédération des promoteurs immobiliers (FPI) pour le troisième trimestre, les ventes ont chuté de 28,7 % en un an avec seulement 26 177 unités écoulées.
La croyance populaire veut que Paris soit une ville réservée aux acheteurs les plus aisés. Une récente étude vient de tordre le cou à cette idée reçue. En réalité, les grosses fortunes, françaises et étrangères, ne sont pas si présentes que cela dans la capitale, du moins sur le marché de la résidence secondaire. Ce dernier est plutôt animé par les Franciliens.
Le plafonnement des loyers est de retour à Paris, mais également à Lille. Mais d’autres villes sont intéressées par le dispositif. Elles avaient jusqu’au 23 novembre dernier pour soumettre leur dossier de candidature auprès du ministère de la Transition écologique, auquel est rattaché celui du Logement.
Les recettes des départements liés aux droits de mutation à titre onéreux constituent un indicateur précieux du dynamisme du marché du logement. Mais la crise sanitaire a perturbé l’activité, comme le montre l’évolution très hétérogène des DMTO perçus. Pour les professionnels, ce phénomène complique l’analyse de la tendance par rapport à 2019.
Michèle Rubirola, la nouvelle maire, prend en main la résolution du problème de logement dans la cité phocéenne. Pour y arriver, elle souhaite tester le dispositif d’encadrement des loyers. Si cette décision tend à rassurer les locataires, les bailleurs se montrent plus sceptiques, d’autant plus que ce genre de mesure n’a pas eu l’effet escompté à Paris.
Certes, quelques craintes subsistent, notamment concernant la raréfaction des biens disponibles et les difficultés pour accéder au financement bancaire. Toutefois, dans l’ensemble, les aspirants à l’accession qui souhaitent se positionner sur le marché du logement neuf demeurent motivés et confiants. C’est ce qui ressort d’une récente étude, laquelle affirme que l’engouement ressenti après le premier confinement est resté intact, malgré le reconfinement et les incertitudes.
À maintes reprises, le gouvernement français a réitéré son intention d’en finir avec ce qu’il appelle « les passoires thermiques ». Mais comparée à ses voisins européens et vis-à-vis de l’objectif fixé, la France accuse un léger retard sur son planning. Certains observateurs, à commencer par le Haut conseil pour le climat (HCC), pensent même que la stratégie de départ n’était pas la bonne.
Quotidiennement, de nombreux Français, déjà propriétaires, s’engagent dans des transactions immobilières dont le processus peut s’avérer long et synonyme de stress en raison notamment des incertitudes liées à la gestion, en parallèle, d’un achat et d’une vente.
Les conditions de crédit se sont durcies depuis le début de l’année et l’application par les banques des recommandations du HCSF. Mais les chanceux qui satisfont aux critères peuvent bénéficier de taux très intéressants. Et à l’approche de Noël, une nouvelle baisse est annoncée, accompagnée de la reprise de l’examen des demandes de PTZ.
Malgré les difficultés engendrées par la crise du Covid-19, les établissements financiers fournisseurs de crédits immobiliers n’auraient pas encore observé de flambée des défauts de paiement. Toutefois, avec le reconfinement et ses conséquences économiques, ils anticipent une dégradation de la situation en fin d’année et au début de 2021.
Faites des économies, suivez l’activité de vos comptes et simulez un achat immobilier ou un crédit consommation.
Suivez la performance de tous vos contrats (assurance vie, retraite, immobilier, défiscalisation) et re-versez facilement. Garantie 0 paperasse.
Sécurisez votre chiffre d’affaires immobilières, gagnez en efficacité lors des premières visites, développez votre business au delà de l’immobilier et travaillez votre image et votre réputation.
Attention, vous pouvez être sollicités par de faux conseillers Meilleurtaux vous proposant des crédits et/ou vous demandant de transmettre des documents, des fonds, des coordonnées bancaires, etc. Soyez vigilants · Meilleurtaux ne demande jamais à ses clients de verser sur un compte les sommes prêtées par les banques ou bien des fonds propres, à l’exception des honoraires des courtiers. Les conseillers Meilleurtaux vous écriront toujours depuis une adresse mail xxxx@meilleurtaux.com Vous avez un doute sur l’un de vos contacts ou pensez être victime d’une fraude ? Consultez notre guide.