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Sur fond de crise économique et sociale, le marché immobilier est en train de se gripper et la production de crédits recule. De nombreux acquéreurs potentiels ont dû renoncer à leurs projets, faute de pouvoir trouver des financements. En effet, les banques continuent de durcir les conditions d’octroi en refusant les dossiers jugés risqués : ceux des primo-accédants, notamment les personnes travaillant dans les secteurs malmenés par la crise, et ceux des séniors et des personnes présentant des risques aggravés de santé.
Si la crise sanitaire a touché la grande majorité des secteurs économiques, l’immobilier a particulièrement souffert. Les mandataires et agents commerciaux indépendants exerçant dans ce domaine ont été les plus touchés par l’arrêt brutal de l’activité et ils ont dû recourir aux aides gouvernementales.
Les conditions de prêt pour les candidats à l’achat d’un logement sont toujours attractives. Après une remontée pendant la première moitié de l’année, les taux des crédits à l’habitat sont à nouveau en baisse depuis le mois de juillet. Pour août, l’Observatoire Crédit Logement/CSA annonce une moyenne à 1,24 %, tandis que la durée passe au-dessus de 19 ans.
Encore une fois, le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) a confirmé les règles imposées aux banques concernant les prêts immobiliers. Ces dispositions sont reconduites au moins jusqu’en fin d’année, à la grande déception de tous les professionnels du secteur qui réclamaient un assouplissement des conditions d’octroi.
En dépit de la crise économique, 59 % des Français jugent le contexte propice à l’achat d’un logement. C’est ce que révèle une récente enquête réalisée par OpinionWay pour Capifrance. Les taux de crédits immobiliers toujours très faibles sont l’un des facteurs incitatifs pour les candidats à l’achat.
Le jeu de mots est tout trouvé. En effet, la commune de Plaisir peut être la perle rare recherchée par ceux qui veulent se lancer dans l’investissement immobilier. Sa situation géographique idéale (à seulement 30 km de la capitale), une demande très forte de la part des éventuels locataires, un prix immobilier somme toute raisonnable… Cette commune de la banlieue parisienne a tout pour plaire.
Alors que l’activité sur le marché immobilier reprend, la construction de logements neufs poursuit son plongeon. Pour soutenir le secteur, les pouvoirs publics ont décidé de reconduire le prêt à taux zéro et le dispositif de défiscalisation Pinel, qui devaient initialement disparaître en fin 2021.
Depuis le resserrement des conditions de crédit immobilier, les banques exigent à nouveau un apport personnel pour toute souscription. Toutefois, une récente étude nous révèle que 53 % des emprunteurs ont décroché leur financement avec un apport à un taux inférieur aux 10 % habituels. Dans certains cas, 5 % de la valeur du bien ont suffi.
Après le confinement, l’activité est repartie sur le marché immobilier, aussi bien pour les acquisitions que pour les locations. Les huit semaines passées à leur domicile ont radicalement transformé les exigences des locataires. Comme la demande, l’offre est plus importante, avec une majorité de biens meublés libérés plus tôt ou issus de la location touristique de courte durée.
L’ensemble du secteur du bâtiment a été lourdement impacté par la crise du Covid-19. Des fonds supplémentaires sont alloués à la prime à la rénovation énergétique afin d’encourager les Français à entretenir et améliorer leur habitat. En revanche, des dispositions fortes sont toujours attendues pour le logement neuf, mesures qui devraient être discutées dans le cadre du PLF 2021.
Notre conférence de rentrée a été l’occasion de faire un point sur les taux de prêts à l’habitat. Si les conditions restent attractives, les financements à un taux de 1 % ou moins, courant en septembre 2019, ont disparu des offres des banques. Les recommandations du HSCF et la crise sanitaire sont les principales causes de ce changement.
Les banques font face à un dilemme depuis la sortie de confinement. D’un côté, pour relancer leur activité sur de bons rails, elles doivent soigner leur marge, notamment sur les crédits immobiliers. D’un autre côté, elles ne peuvent pas hausser leur taux de manière significative, sous peine de voir leurs clients les quitter.
Le marché de l’immobilier en France est sujet à de nombreuses incertitudes en cette période post-confinement. D’après les observateurs, la baisse des prix tant attendue devrait finalement survenir sur le marché de l’ancien, cependant il ne faudra pas s’attendre à une chute vertigineuse. Il faudra également patienter puisqu’une inversion de courbes est prévue pour le dernier trimestre 2021.
En plus de détenir la réputation de « plus belle cité du monde », Paris représente dans l’imaginaire collectif la ville de toutes les possibilités, professionnellement parlant. Cette vérité a pris du plomb dans l’aile depuis l’épisode du confinement. Aujourd’hui, les Français cherchent à s’éloigner des grandes villes, quitte à entamer une toute nouvelle vie.
Le marché de l’immobilier neuf souffre de la pénurie de l’offre. Les retards de chantiers causés par la réticence des maires à délivrer des permis de conduire pendant la période pré-électorale et la crise sanitaire ont empêché les promoteurs immobiliers de lancer à temps leurs projets de construction de logements. Par ailleurs, la demande reste soutenue aussi bien dans les grandes métropoles que dans les villes moyennes.
À fin mars 2020, l’endettement des ménages culminait à 1 489 milliards d’euros. C’est ce que révèle un récent rapport de la Banque de France. Il représente désormais 98,08 % du revenu disponible brut cumulé, un taux en hausse de près de 100 % par rapport à son niveau d’il y a 20 ans. L’immobilier est le principal facteur de cette envolée.
Alors que la hausse des prix de l’immobilier se poursuit, le nombre de permis de construire délivré diminue constamment. Moins de 400 000 habitats ont décroché le précieux sésame en 2020 selon les derniers chiffres du ministère chargé du Logement, alors que la précédente administration avait fixé un objectif annuel de 500 000 nouveaux logements.
Le marché de l’immobilier a très vite renoué avec son dynamisme d’avant-crise sanitaire dès la sortie du confinement. Une reprise qui s’explique en grande partie par le rattrapage du retard accumulé pendant cette période d’arrêt forcé des activités. Par ailleurs, les prix immobiliers demeurent élevés, tirés par une forte hausse de la demande.
Cette rentrée 2020 ne ressemble à aucune autre, puisqu’elle survient après une crise sanitaire inédite et une période de confinement qui a bouleversé le quotidien et modifié le comportement de chacun. Les secteurs d’activité réagissent différemment à l’après-crise et, dans la relance, l’immobilier semble avoir une longueur d’avance sur les autres, à en juger par les chiffres dévoilés depuis le déconfinement.
Une enquête menée par un spécialiste du logement a levé le voile sur les 20 villes de plus de 100 000 habitants les plus attractives en matière d’investissement locatif. Le calcul de la rentabilité tient compte du prix du bien, de la durée du prêt contracté pour son acquisition et du montant des loyers. À noter que pour l’opération, le remboursement du crédit sera réalisé avec les loyers perçus.
La situation post-Covid est pavée d’incertitudes. La pandémie n’a pas épargné l’industrie du tourisme en Corse, principale source de revenus pour l’Île de Beauté. Mais plus que le retour des vacanciers, les habitants redoutent une envolée du prix de l’immobilier avec les nombreuses spéculations qui risquent d’avoir lieu. Les collectivités locales prennent le devant pour éviter une catastrophe.
Jusqu’ici, tout va bien. Du moins, pour les emprunteurs qui ont constaté que, pendant le mois d’août, les taux de crédit sont restés intéressants, malgré un léger durcissement des conditions d’octroi. Toutes durées confondues, ceux-ci se sont maintenus à un niveau relativement bas dans la plupart des régions. La région Sud-ouest fait figure d’exception en étant la seule à enregistrer une remontée des taux.
La dynamique observée sur le marché immobilier en région parisienne n’est pas près de faiblir, à en juger par les chiffres dévoilés par la banque Crédit Agricole et relatifs aux financements qu’elle a accordés au cours des six premiers mois de cette année. La banque constate également, au regard de ces informations, que la Grande Couronne est particulièrement prisée.
Au plus fort de la crise, les observateurs se sont laissés aller à rêver d’une éventuelle baisse des prix immobiliers. Près de trois mois après le déconfinement, la réalité est tout autre. Les prix ont continué à flamber, et plus rapidement qu’à l’accoutumée. Le manque d’offres, aussi bien dans l’ancien que dans le neuf, en est l’une des raisons principales.
Avec la crise sanitaire, les prix des loyers s’envolent, du moins dans les grandes métropoles françaises. Selon les professionnels du secteur, l’épidémie de coronavirus n’explique pas à elle seule cette flambée des tarifs de location. Par exemple, dans la capitale, l’envolée résulte surtout du non-respect de l’encadrement des loyers par les propriétaires. Malgré la hausse généralisée dans les grandes agglomérations, certaines villes voient leurs loyers reculer, à l’instar de Bordeaux.
Depuis l’annonce des nouvelles règles du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) concernant l’octroi de prêts immobiliers, les banques se montrent plus exigeantes sur l’apport personnel. Alors qu’en 2019, de nombreux ménages ont obtenu un financement à 110 % de leur projet, la contribution de l’emprunteur est à nouveau indispensable.
Le luxe serait-il hermétique à la crise ? Un professionnel de l’immobilier installé à Aix-en-Provence vante la santé du marché local, en particulier celui des biens de prestige. La ville continue de séduire les acheteurs fortunés et l’offre ne manque pas non plus. L’absence de baisse de prix suite à la crise sanitaire montre que le marché se porte bien.
Assiste-t-on à un retournement de tendance sur le marché immobilier parisien ? Pour la première fois depuis 2014, les prix de l’immobilier ont reculé dans la capitale. Certes, la baisse a été infime (soit un repli de -0,4 % entre janvier et juillet 2020). Toutefois, cette contraction intervient après six années de hausse consécutive.
Alors que les conditions d’accès au prêt à taux zéro auraient dû être durcies en 2020, elles ont été finalement maintenues, à l’exception de quelques ajustements sur la rénovation. D’après les statistiques de la Société de gestion des financements et de la garantie de l’accession sociale à la propriété (SGFGAS), le profil des bénéficiaires n’a pas changé.
Le département du Var abrite une commune qui présente tous les charmes de la campagne avec tous les conforts de la ville à portée de main. Ce petit joyau séduit bon nombre d’aspirants à la propriété, mais du fait de son caractère « haut de gamme », il semble réservé à une certaine élite. Il s’agit de Bandol, une commune propice à l’achat de résidence secondaire.
Selon un professionnel de l’immobilier exerçant à Nice, même si le confinement a eu un lourd impact sur le marché local, ce dernier est en train de retrouver des couleurs, grâce notamment à la forte affluence des investisseurs, français comme étrangers. Les biens avec espace extérieur sont très recherchés, au même titre que les logements de petite surface.
Évidemment, il ne s’agit pas d’une constatation au cas par cas, mais plutôt d’un ressenti global de la profession. D’après la dernière enquête annuelle menée par ChooseMyCompany, les personnes travaillant dans le secteur immobilier sont celles qui montrent le plus d’enthousiasme dans la pratique de leur métier. Selon l’étude, elles sont 77 % à se sentir heureuses au travail.
Dans un entretien accordé au site Le Figaro, Laurent Vimont fait le point sur le marché immobilier français au cours du premier semestre 2020. Il se félicite du redémarrage en trombe de l’activité, tiré en grande partie par l’envie de changement d’air des Français et par des conditions d’emprunt toujours intéressantes. Il réfute toutefois l’idée selon laquelle les recommandations émises par le HCSF excluent les jeunes du marché.
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