Economisez jusqu'à 70%
sur votre assurance de prêt avec meilleurtaux
Jusqu'à -60%
sur vos mensualités avec le rachat de crédits*
Comparez gratuitement
les taux en 5 minutes
Prêt professionnel
Nous vous orientons vers la meilleure solution
selon votre profil et votre besoin
Vous recherchez la meilleure solution de placement ?
Découvrez nos offres d’assurance vie & SCPI
Vous recherchez la meilleure Banque ?
Le comparateur de tarifs bancaires de meilleurtaux
Estimez la valeur de votre bien en quelques clics.
Achetez et vendez au meilleur prix
Comparez les tarifs énergie
Nos experts vous accompagnent et vous conseillent
pour trouver la meilleure offre qui vous convienne
Déjà 1 million d’abonnés à notre newsletter
Inscrivez-vous et restez informé de nos actualités
À quelque chose de malheur est bon a-t-on l’habitude de dire. Dans cette période trouble après plusieurs semaines de confinement, de nombreuses entreprises, dont les acteurs du secteur immobilier, sont dans l’expectative concernant l’évolution de leur situation financière. Les divorces provoqués par le confinement sont ainsi à l’avantage de l’immobilier.
Le marché immobilier commence à retrouver son dynamisme, et bon nombre d’acheteurs potentiels souhaitent mettre en œuvre leur projet le plus tôt possible. Malheureusement, pour certains candidats à l’acquisition, trouver un financement devient de plus en plus difficile. En effet, les banques durcissent leurs conditions de prêts, même si les taux d’intérêt demeurent relativement stables. Ce problème touche en particulier les emprunteurs aux revenus modestes, dont le taux d’endettement oscille aux environs de 33 %.
Après le confinement, les agences immobilières ont remarqué que les Français cherchent de plus en plus à s’éloigner de la ville et à acquérir une maison avec un jardin. Les Toulousains n’échappent pas à la règle, mais dans la Ville Rose, les prix n’ont pas vraiment bougé. Ce qui tend à penser que beaucoup ne pourront pas réaliser leur rêve.
À la sortie du confinement, de plus en plus de Français rêvent de quitter les grandes agglomérations pour s’installer dans des zones suburbaines et rurales. À l’affut d’espaces plus grands et verdoyants, les acheteurs potentiels se ruent vers les maisons avec jardin et les biens de grande surface. Cette nouvelle tendance entraîne une hausse sensible de la demande immobilière dans certains départements et peut à terme engendrer une pénurie de l’offre et une flambée des prix.
Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Le Revenu, Maître Thierry Delesalle livre son analyse sur la situation et l’évolution possible du marché immobilier en région parisienne. Il anticipe une diminution de plus de 20 % de l’activité pour 2020. En revanche, il reste plutôt sceptique par rapport à la possibilité d’une baisse des prix des biens dans la capitale dans les mois à venir.
Les activités immobilières reprennent peu à peu après le déconfinement. Même si le marché commence à rebondir, force est de constater que les banques se montrent beaucoup moins conciliantes avec les porteurs de projets immobiliers. Les conditions d’octroi ont bel et bien été durcies suivant les recommandations du HCSF et les dossiers de prêt sont traités avec plus de rigueur. Les organismes de crédit scrutent minutieusement la situation professionnelle de chaque emprunteur et le secteur dans lequel il travaille.
En matière d‘investissement locatif, le pouvoir d’achat des ménages représente un paramètre essentiel lors du choix de l’emplacement d’un bien immobilier. L’explosion du chômage depuis le début de la crise du coronavirus a pourtant grevé les revenus d’un grand nombre de foyers. Plusieurs localités ont par conséquent perdu de leur attractivité.
Le bilan sur les effets du confinement sur le marché immobilier continue de confirmer la première place de la pierre en tant que placement refuge. L’immobilier a fait preuve d‘une excellente résilience face à la crise sanitaire. Certes, les transactions immobilières ont lourdement chuté au cours des derniers mois. Les prix se sont pourtant maintenus à la hausse, hormis dans quelques agglomérations.
Selon toute vraisemblance, une grave crise économique devrait succéder à la crise sanitaire liée au Covid-19. Pour amoindrir l’impact de cette nouvelle menace, le gouvernement compte sur le marché de l’immobilier et souhaite que celui-ci redémarre le plus vite possible. Mais encore faut-il relancer la consommation ; une consommation qui risque, justement, d’être refroidie par des charges administratives trop élevées.
En restreignant les libertés de déplacement des Français, le confinement a réveillé certaines envies. Car dans un appartement parfois exigu, avec plusieurs personnes, beaucoup se sont plaints de ne pas disposer d’un espace extérieur où prendre l’air. Désormais, selon Le Parisien, la présence d’un balcon ou d’une terrasse devient un critère important pour les ménages à la recherche d’un logement.
Au cours des cinq dernières années, aucun changement n’a autant menacé la santé de l’industrie indienne de l’immobilier que la crise du Covid-19. Le confinement et les pertes d’emploi pèsent sur la demande, tandis que l’arrêt des travaux de construction perturbe l’offre. Malgré les nuages qui pèsent sur le secteur, quelques évolutions positives sont possibles.
Lors d’une récente enquête, un réseau national d’agents immobiliers a interrogé les Français sur leurs choix de placements financiers à la sortie du confinement. L’étude a révélé que 90 % d’entre eux continuent de plébisciter l’investissement immobilier, et que pour 27 %, la proximité du bien reste le principal critère de sélection. Si la majorité privilégie d’autres paramètres, il est clair que le Covid-19 a modifié la perception des investisseurs.
Pour son premier achat immobilier, le porteur de projet se tourne plus volontiers vers les logements anciens parce que, généralement, le prix affiché est beaucoup plus abordable. Mais dans des villes où le marché immobilier est très tendu, acheter un logement neuf peut s’avérer plus intéressant. Ce dernier présente l’avantage d’être tout de suite habitable, car ne nécessite pas des travaux de rénovation.
Avant la crise sanitaire, le Haut conseil de stabilité financière (HCSF) s’inquiétait de l’augmentation du niveau d’endettement des ménages. Mais les observateurs se voulaient rassurants, en mettant en avant la proportion des défauts de paiement qui était moindre. Après la pandémie et le confinement, le nombre de ménages incapable de faire face aux remboursements risque d’être plus important.
La pandémie du Covid-19 et les mesures prises par les différents gouvernements pour freiner la propagation de la maladie ont sévèrement impacté l’activité d’Airbnb à travers le monde. Des suppressions de postes massives sont ainsi prévues, malgré un début de reprise dans certains pays, dont la France. Pour cet été, les requêtes des Français portent sur des maisons avec piscine.
En ces périodes troubles, les mauvaises nouvelles sont légion. Mais des faits encourageants viennent tout de même mettre du baume au cœur. Les secteurs d’activités peinent à redémarrer depuis le déconfinement, mais cela ne semble pas être le cas pour le marché immobilier dans le département de l’Hérault. Les observateurs perçoivent même une dynamique plus prononcée qu’à l’accoutumée.
Si de nombreuses entreprises s’inquiètent de la reprise après le déconfinement, les déménageurs, eux, se préparent à connaître un pic d’activité en été. Outre les déménagements suspendus à cause de l’entrée en vigueur du confinement, les changements de logement pourraient être occasionnés par le souhait des ménages de vivre dans des habitations plus spacieuses.
Le secteur du bâtiment doit redémarrer rapidement après deux mois d’arrêt, selon le ministre de l’Économie, Bruno le Maire. Il a déclaré lundi 18 mai que seuls 28 % de l’activité n’ont pas encore repris jusque-là, et 83 % des chantiers suspendus depuis le mois de mars sont de nouveau ouverts.
Les taux d’intérêt des crédits immobiliers augmentent depuis quelques semaines. En revanche, la baisse des prix espérée par les candidats à l’accès à la propriété n’a pas encore eu lieu. De plus, les frais de notaire ne vont finalement pas diminuer comme prévu au 1er mai 2020, mais au 1er janvier 2021 à cause des difficultés économiques que va engendrer la crise sanitaire.
La crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19 n’est pas encore derrière nous, mais la crise économique qu’elle va engendrer risque d’être inévitable. Dans l’incertitude et à cause d’un marché immobilier morose, bon nombre d’investisseurs préfèrent rebrousser chemin. Or, le secteur ne pourra pas retrouver sa forme optimale sans l’apport des investisseurs en locatif.
Au début du déconfinement, les professionnels du secteur immobilier et les experts du crédit ont effectué leur premier constat, et les annonces sont plutôt positives. Des demandes d’emprunt ont en effet gardé un rythme dynamique. Par contre, le marché s’est assagi et ne connaît plus la surchauffe d’avant la crise du Covid-19.
La mise en place des mesures de confinement a mis à l’arrêt l’activité sur le marché de l’immobilier, notamment à cause de l’impossibilité de visiter les logements ciblés. Depuis le 11 mai, les agences immobilières sont à nouveau autorisées à ouvrir et à organiser des rendez-vous physiques, mais tous doivent respecter des règles sanitaires strictes.
Les Français pourront partir en vacances cet été, mais ils ne devront pas sortir du territoire national. Cette déclaration du Premier ministre offre une lueur d’espoir aux acteurs du tourisme et des loisirs. Ayant exprimé son avis sur le sujet, le numéro un du groupe Consultim a déclaré que cette décision est une aubaine pour les résidences de tourisme. Selon ses dires, la plupart des vacanciers pourraient opter pour ce type d’hébergement.
Les mesures gouvernementales pour soutenir l’emploi ont été favorables aux marchés immobiliers européens. Les effets de la crise sanitaire sur les marchés n’ont pas été aussi sévères que prévu. Les prix du logement sont légèrement en baisse depuis le début de la crise. Les observateurs anticipent une reprise de la hausse vers la fin 2021.
Avant le début de la crise sanitaire liée à la propagation du coronavirus, le nombre de permis de construire délivrés en France a connu une forte hausse. Mais après le confinement, les professionnels du secteur tablent sur un repli considérable de la production de logement. Le PDG de Nexity s’attend cette année à une baisse de près de 100 000 chantiers.
Les chiffres « record » de l’année dernière concernant le crédit immobilier avaient fortement inquiété le Haut conseil de stabilité financière. Pour freiner l’endettement galopant des ménages, l’institution a émis, fin 2019, des recommandations visant à durcir les conditions d’octroi. Les effets n’ont pas tardé à se manifester. Malheureusement, ce fut au détriment des ménages les plus modestes.
Dans la continuité d’une année 2019 exceptionnelle, le marché de l’investissement locatif a connu un début d’année en fanfare. La crise du Covid-19 y a malheureusement mis un frein brutal, et le flou demeure quant à la reprise. Le site Locservice anticipe un transfert de la demande vers un certain type de bien pour une location longue durée, la location touristique étant à l’arrêt.
Depuis le début du confinement, le marché immobilier est quasiment à l’arrêt, affectant le secteur du prêt immobilier. Le rapport de la Banque de France démontre une dégringolade de 19,5 % des volumes de financements destinés à l’achat d’un logement accordés en mars. Les prêteurs s’attendent d’ores et déjà une production encore plus faible en avril.
Bien que de nouveau ouvertes depuis le 11 mai, les agents immobiliers n’anticipent pas de reprise rapide de l’activité sur le marché immobilier. En premier lieu, le risque sanitaire dissuade les visites physiques. Mais surtout, l’incertitude quant à leur situation financière et le resserrement des conditions d’octroi de crédits à l’habitat freinent les projets de nombreux Français.
La pandémie du Covid-19 et le confinement ont mis des millions de Français au chômage partiel ou total. Le ralentissement de l’activité touche également les travailleurs indépendants. Pour tous, la situation est synonyme de perte de revenus. Les courtiers ont mis en place un certificat gratuit à l’intention des potentiels acquéreurs qui s’interrogent quant à leur pouvoir d’achat immobilier.
La politique du taux bas de la BCE et la rude concurrence entre les banques ont fait que le marché du crédit immobilier a littéralement explosé l’année dernière. La conjoncture du début d’année 2020 laissait présager le même scénario, sauf que vers la mi-mars, le coronavirus est passé par là et le marché a été brutalement stoppé dans son élan.
La levée du confinement attendue avec impatience a finalement eu lieu. Pour l’heure, il est difficile d’appréhender l’impact de la crise sanitaire sur le secteur immobilier. MeilleursAgents, PAP et SeLoger, acteurs majeurs de l’immobilier en ligne, tablent sur différentes prévisions concernant la situation future du marché. Leurs porte-paroles ont livré leur point de vue à la presse.
Pendant la période de confinement, les banques, qui observaient des horaires réduits, ont préféré se concentrer sur les services essentiels, tels que le réapprovisionnement des DAB ou la prise en charge des opérations de paiement. La production de crédits immobiliers a donc été mise en « stand-by ». Désormais, la machine du crédit est relancée et la renégociation peut s’avérer très profitable.
Le marché immobilier lyonnais affiche un remarquable dynamisme depuis quelques années, et même la pandémie de Covid-19 n’a pas réussi à le freiner : la demande et les prix ne fléchissent pas. Cette vitalité est favorisée par la hausse constante du nombre des habitants de la métropole de Lyon, laquelle entraîne un déséquilibre entre l’offre et la demande résidentielle.
Les maisons avec jardin ont actuellement la cote auprès des futurs acheteurs immobiliers. Après avoir subi les contraintes liées au prolongement du confinement dans des appartements, plus de 60 % d’entre eux sont désormais en quête de biens avec des espaces extérieurs aménagés. La tendance du marché évolue ainsi selon les professionnels du secteur avec une forte hausse de la demande pour les maisons avec verdure.
Elles ont fait couler beaucoup d’encres, mais les recommandations du Haut conseil de stabilité financière concernant l’octroi de crédit sont bel et bien entrées en vigueur. Dans le contexte actuel, le crédit immobilier sera plus difficile à obtenir. La remontée des taux est inéluctable, alors que de nombreux ménages se retrouveront exclus du marché.
Confinement oblige, le marché de l’immobilier a observé un arrêt forcé partout en France à cause de la crise sanitaire. Depuis le 11 mai, les Français ont retrouvé un semblant de normalité avec le déconfinement. Les activités ont repris leur cours et, du côté de Dijon et de ses environs, les professionnels s’interrogent sur le devenir du marché de l’immobilier.
Le marché de l’immobilier a connu une paralysie totale pendant le confinement. Pour de nombreux vendeurs, ce léger contretemps ne constitue pas une raison suffisante pour renoncer à leur projet. Leur seule véritable crainte est que les prix se mettent à baisser. Mais la motivation reste forte, surtout pour ceux qui vendent leur appartement pour acheter une maison plus spacieuse.
Pendant qu’ils étaient bloqués chez eux, les Français ont eu le temps de réfléchir à l’investissement qu’ils vont entreprendre pour assainir leur situation financière. Acquérir un bien pour le mettre en location demeure l’investissement le plus rassurant. Pour 27 % d’entre eux, ce serait encore mieux si le bien en question est proche de leur résidence principale.
En 2019, les taux de prêt immobilier très faibles et les aides publiques avaient permis à des milliers de Français de devenir pour la première fois propriétaires de leur logement. Mais avec le durcissement des conditions d’obtention de crédits et la crise sanitaire, environ 220 000 ménages risquent d’être exclus du marché d’ici 2021 selon l’Observatoire des crédits aux ménages.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.