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Cette année, les Français ayant un projet immobilier et désireux de bénéficier d’un prêt à taux zéro doivent soumettre leur dossier à la banque au plus tard le 1er novembre 2020. En effet, chaque année, les prêteurs fixent une date limite afin d’avoir la certitude que le délai est suffisant pour finaliser toutes les formalités. Ceux qui rateront cette échéance devront patienter en 2021.
L’année dernière, les taux des crédits immobiliers étaient descendus à des niveaux inédits, poussant les ménages à concrétiser leur projet sans trop craindre une éventuelle défaillance dans le remboursement. Mais la crise sanitaire est passée par là et la donne a complètement changé. Aujourd’hui, bon nombre de ménages sont en situation de surendettement, principalement à cause de leur emprunt immobilier.
Qu’est-ce que les villes lyonnaise et bordelaise ont en commun ? Entre autres choses, elles ont élu à la tête de leur mairie des candidats « Verts », ce qui aura pour conséquence de modifier quelque peu les plans d’urbanisme. Les promoteurs immobiliers sont prévenus et se disent prêts à entendre les attentes de leurs élus.
La pénurie de l’offre de logement neuf sur le marché immobilier entraîne une hausse constante du prix depuis plusieurs mois.
Qu’il parait déjà bien loin le temps où habiter à Paris constituait un véritable accomplissement et symbolisait une réussite professionnelle et sociale. La crise sanitaire est passée par là et a bouleversé toutes les certitudes. Depuis l’épreuve du confinement, l’engouement s’est reporté vers la province, les Franciliens vivant en appartement étant en quête de plus d’espaces et d’un meilleur cadre de vie.
Comme à peu près partout en France, les départements de la région Pays de la Loire sont confrontés à la hausse constante du prix de l’immobilier. La raison principale en est le manque d’offres. Évidemment, les premiers à pâtir de cette situation sont les jeunes Ligériens qui achètent un logement pour la première fois. Et pour ne rien arranger, les recommandations émises par le HCSF (Haut Conseil de stabilité financière) ont conduit à un durcissement des conditions de prêt, ce qui les exclut d’office du marché.
Ayant récemment pris ses fonctions à la tête de la mairie de Bordeaux, Pierre Hurmic dévoile ses projets pour résoudre les problèmes de logement et ceux de l’immobilier en général. Écologiste dans l’âme, le nouvel édile souhaite placer l’environnement au cœur de sa politique, avec notamment des constructions privilégiant les matériaux naturels.
La production de logements neufs en Provence connait en ce moment une forte baisse, notamment sur la ville de Marseille, selon le constat de la FPI (Fédération des promoteurs immobiliers). Pour relancer le secteur, la fédération avance des propositions axées sur la production d’un logement abordable sur les métropoles et la promotion de la verticalité urbaine et des espaces verts.
Dans le contexte actuel où la pandémie apporte son lot d’incertitudes, tant au niveau sanitaire qu’au niveau économique, les Français cherchent un placement sûr pour investir l’épargne accumulée pendant le confinement. La pierre reste leur valeur refuge privilégiée, plus particulièrement l’investissement en locatif. Dans cette optique, Strasbourg connait un engouement grandissant de la part des porteurs de projet.
Au cours de la précédente décennie, l’immobilier parisien a connu une évolution hors normes par rapport au reste du pays. Aujourd’hui, bien que toujours considéré comme unique, le marché connaît un ralentissement causé par la crise du Covid-19. Aussi bien les volumes que les prix sont orientés à la baisse depuis quelques mois.
Pour relancer la consommation des ménages et atténuer les impacts économiques et sociaux de la crise sanitaire, l’exécutif se montre favorable à une stabilité fiscale. Les niches les plus performantes sont maintenues dans le projet de loi de finances de l’année 2021. Le prêt à taux zéro, la loi Pinel, MaPrimeRénov’… sont reconduits.
Le taux de refus de crédits immobiliers a fortement augmenté par rapport à 2019, passant de 5,5 % à 10,7 % en août dernier. La cause est le durcissement des conditions d’octroi de prêts résultant des règles imposées par le HCSF aux banques afin de les protéger. Pour aider les ménages pénalisés par ces recommandations à concrétiser leur projet, certains prêteurs remettent le prêt progressif au goût du jour.
L’immobilier fait partie des secteurs qui se sont vite relevés après la crise sanitaire. Mais cette santé retrouvée est en grande partie attribuable au marché de l’immobilier ancien, parce que celui du neuf est toujours un peu souffrant ou, au mieux, convalescent. Pourtant, les primo accédants préfèrent se positionner sur ce marché, vu tous les avantages qu’il présente.
Cette période post-confinement avait suscité de nombreuses interrogations chez les observateurs du marché immobilier, en particulier par rapport à l’évolution future du prix. Une étude récente donne de premiers éléments de réponse, ceux-ci reflétant une tendance à la stabilisation ou, du moins, au ralentissement de la hausse. Par ailleurs, le marché du crédit immobilier retrouve un semblant de normalité.
Face à la crise sanitaire qui est encore loin d’avoir trouvé son épilogue, les investisseurs en locatif revoient leur stratégie pour limiter les pertes. Pour le moment, les locations saisonnières ne font pas vraiment recette, avec une activité touristique au ralenti, voire à l’arrêt. Du coup, ces derniers préfèrent plutôt se rabattre sur une location plus classique.
La quatrième édition du baromètre annuel de l’association Qualitel a révélé que le manque d’espace nuit à la qualité de vie de millions de Français. Ainsi, les logements ne sont pas réellement adaptés aux aspirations des occupants et il faudrait pouvoir optimiser l’aménagement intérieur. De nombreux ménages souhaitent en effet disposer d’un logement flexible pouvant évoluer avec leurs modes de vie et attentes.
La construction de maisons individuelles a sensiblement décru depuis quelques années. Contrairement aux promesses d’Emmanuel Macron à son arrivée à l’Élysée, l’offre de logements a connu une forte baisse. Ceci s’explique par le revirement de la politique du gouvernement sur les logements. En effet, l’ancien ministre délégué chargé de la ville et du logement, Julien Denormandie assume vouloir prioriser la rénovation de logements existants et la lutte contre l’étalement urbain.
Aux États-Unis, l’évolution de la pandémie et la forte hausse du taux de criminalité à New York poussent les propriétaires de résidence secondaire dans les Hamptons à prolonger leur séjour dans la localité. De nombreuses familles fortunées ont également choisi de s’installer dans la région. Cet afflux massif de nouveaux habitants favorise une flambée des prix immobiliers.
Les coups de pouce fiscaux ont soutenu le développement du parc locatif privé depuis de nombreuses décennies. Selon une étude publiée par ANIL et FNAU, les différents dispositifs d’investissement locatif ont eu pour conséquence de dynamiser la construction de logements en périphérie.
La pandémie de Covid-19 a apporté son lot de bouleversements, avec un impact considérable sur le secteur immobilier. Depuis la levée du confinement, et bien que la baisse tant attendue n’ait pas eu lieu, la hausse des prix semblait toutefois ralentir, voire stagner. Même Paris et toute la région francilienne n’ont pas échappé au phénomène.
Après une certaine euphorie liée à la reprise de l’activité durant l’été, une récente étude annonce un ralentissement en septembre 2020. Toutefois, le relèvement des taux d’usure pour dernier trimestre, dans un contexte de léger repli ou de stabilisation des taux de crédit, pourrait relancer la machine.
Sur le marché de l’immobilier neuf, la demande reste forte, mais malheureusement, l’offre ne suit pas. De plus, les crédits immobiliers sont devenus difficiles à obtenir, en particulier pour les primo-accédants. En effet, alors qu’ils constituent actuellement 60 % des acheteurs potentiels, ces derniers éprouvent toute la peine du monde à concrétiser leur projet. Pour eux, l’accès au financement bancaire s’apparente à un véritable parcours du combattant.
Déjà en début d’année, les établissements de crédit ont durci leurs conditions d’octroi de prêts immobiliers conformément aux recommandations du HCSF. Puis, la pandémie est passée par là et ils ont été fortement ébranlés par la crise sanitaire et économique. Résultat : les organismes prêteurs sont devenus plus sélectifs avec les candidats à l’achat.
Au vu de la réalité du marché immobilier au troisième trimestre 2020, il apparait que la volonté des citadins de fuir le centre-ville n’est pas qu’un effet d’aubaine dû au confinement. Plus que jamais, les habitants des grandes villes cherchent à s’excentrer et à s’isoler, idéalement dans une maison avec un espace extérieur. Résultat : les banlieues sont prises d’assaut.
Les villes moyennes ont la cote auprès des acquéreurs immobiliers à la sortie du confinement. Si certains souhaitent y acheter une résidence principale pour bénéficier d’un environnement plus calme et d’un espace plus large, d’autres veulent profiter de cette ruée pour faire fructifier leur épargne.
La fin du mois de septembre est l’occasion de faire le point sur la situation du marché immobilier, notamment après les deux mois de confinement et les nombreux bouleversements que cela a engendrés. À première vue, l’immobilier montre une certaine résilience, avec des ménages plus motivés que ce que présageaient les analystes. Le niveau des taux immobiliers y est pour beaucoup.
La redynamisation du marché des logements neufs se trouve au cœur des projets urbains de la Métropole européenne de Lille. Dans cette optique, une enveloppe de 4 millions d’euros va être débloquée en vue de financer l’accès à la propriété d’un millier de foyers vivant dans les communes de Lille, Roubaix et Tourcoing.
La faiblesse des taux d’intérêt des crédits immobiliers est toujours d’actualité. Malgré le contexte sanitaire et économique actuel, les banques continuent de brader leurs taux pour fidéliser les clients. Dans cette concurrence qui devient de plus en plus rude, Boursorama vient de frapper un grand coup en proposant un taux avoisinant le 1 % sur un prêt s’étalant sur 20 ans.
À Bordeaux, un grand nombre d’acquéreurs choisissent d’acheter un logement neuf pour y habiter ou pour le mettre en location. Cet attrait pour les biens neufs accélère la relance du marché immobilier dans la capitale girondine. En même temps, cette tendance favorise le déséquilibre de l’offre et de la demande, d’autant plus que la plupart des chantiers de construction ont été retardés par les mesures de restriction sanitaire et le report des permis de construire.
Les professionnels du bâtiment ont été surpris que le gouvernement n’ait pas accordé la moindre attention au marché de l’immobilier neuf dans son plan de relance. Se regroupant au sein d’une nouvelle entité et s’adressant à un nouvel interlocuteur en la personne d’Emmanuelle Wargon, ministre en charge du logement, ils espèrent que, cette fois, leurs revendications seront entendues.
Les taux d’intérêt des crédits immobiliers sont toujours très attractifs. Certains courtiers négocient des prêts sur 20 ans à 1 %. Toutefois, seuls les dossiers les plus solides y ont accès. Pour les autres, notamment les primo-accédants, la principale préoccupation, avant le taux, est l’obtention de l’accord dans un contexte de durcissement des conditions.
Le resserrement des conditions d’octroi de crédit immobilier imposé par le HCSF et par les prêteurs eux-mêmes exclut bon nombre d’emprunteurs du marché. Certains recourent au rachat de prêts, pour faire baisser leur taux d’endettement ou pour obtenir le financement nécessaire à leur projet.
Comme c’était déjà le cas au troisième trimestre, la Banque de France a une nouvelle fois décidé de rehausser ses taux d’usure pour le quatrième trimestre. Cette nouvelle devrait donc réjouir les aspirants à la propriété, notamment les plus modestes qui ont été lourdement pénalisés par la faiblesse des taux d’usure. Ainsi, les nouveaux barèmes applicables pour les trois derniers mois de l’année oscillent entre 2,41 % pour les prêts de moins de 10 ans et 2,68 % pour les plus de 20 ans.
Que la crise sanitaire ne fasse pas oublier les autres chantiers urgents nécessitant une action immédiate. Dans cette optique, le gouvernement a dévoilé les contours de son plan de lutte contre les passoires thermiques, grandes émettrices de gaz à effet de serre. L’objectif affiché est de les supprimer du parc immobilier français d’ici 2028.
Comme la majorité des villes françaises, Toulouse a également connu une forte effervescence de son marché immobilier après le confinement. Alors que les spécialistes tablaient sur une baisse des prix, ceux-ci ont gagné encore plus de hauteur : une augmentation de +8,9 % a été enregistrée pour les appartements anciens et +6,7 % pour les maisons.
Malgré le resserrement des conditions d’emprunt, l’octroi de crédits immobiliers s’est maintenu à un niveau élevé en 2020, explique un professionnel du secteur. Il est vrai que le taux de refus s’est multiplié depuis le début de l’année. Cela n’a toutefois pas empêché les banques d’atteindre leurs objectifs commerciaux.
La récession engendrée par la crise sanitaire bouleverse toutes les activités économiques dans le pays, et les incertitudes concernant l’avenir incitent de nombreux ménages à se constituer une épargne. De plus en plus de Français veulent investir dans la pierre afin de mieux préparer leurs retraites, ou tout simplement pour bénéficier d’un revenu d’appoint. Mais dans le contexte actuel, beaucoup se demandent s’il est pertinent de se lancer dans l’investissement locatif.
Le mode de gestion des syndics en France a besoin d’une modernisation, car celui-ci ne correspond plus aux attentes des copropriétaires d’après les experts du secteur immobilier. Une enquête de l’IFOP a montré que plus d’un tiers des copropriétaires désirent révoquer leurs syndics. Une situation due en particulier à leur fonctionnement et aux outils utilisés par les gestionnaires, jugés désuets par les copropriétaires.
Les modalités de fonctionnement du syndic doivent par ailleurs être revues en mettant l’accent sur la digitalisation et la transparence. D’autre part, il convient également d’informer davantage les copropriétaires sur les démarches à entreprendre s’ils veulent changer de syndic.
Durant le confinement, c’est l’un des souhaits les plus formulés par les Français une fois la crise sanitaire passée : déménager dans un logement plus grand. Pendant longtemps, passer du statut de locataire à propriétaire était synonyme de perte de surfaces habitables. Mais indépendamment de la crise, les conditions actuelles des prêts immobiliers changent la donne.
La Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) anticipe un effondrement du stock de logements neufs dans les prochains mois à cause de la crise sanitaire. Ils redoutent en conséquence une tension accrue sur le secteur, entraînant une hausse mécanique des prix. Seuls les appartements de quatre pièces font pour l’instant exception.
Les Britanniques sont de plus en plus nombreux à vouloir s’offrir un bien immobilier dans l’Hexagone, alors que la période de transition du Brexit est proche de son terme. Aussi bien les vendeurs que les intermédiaires se réjouissent de la situation. L’Ouest français est particulièrement prisé de cette clientèle venue d’outre-Manche.
Depuis 2005, les mesures gouvernementales destinées à agrandir le parc locatif privé et à répondre aux problèmes de logement ont été nombreuses. La plupart du temps, elles consistaient en des déductions d’impôts pour l’investisseur, en contrepartie d’un loyer plafonné. Pour l’heure, les dispositifs semblent porter leurs fruits, donnant accès aux ménages les plus démunis à un logement à loyer modéré.
Si certains professionnels immobiliers et acquéreurs potentiels s’attendent à une baisse éventuelle des prix des logements suite au ralentissement des activités, les chiffres publiés par LPI-SeLoger dans son dernier baromètre révèlent une autre tendance. En effet, les tensions sur les prix de l’immobilier ne relâchent pas du fait de la pénurie d’offres dans l’ancien, et du resserrement des conditions d’octroi de crédit.
Les taux de crédit immobiliers se sont maintenus à un niveau exceptionnel alors que les prix se sont plus ou moins stabilisés sur l’ensemble du territoire. Et pourtant, de nombreux acheteurs potentiels se retrouvent toujours exclus du marché du logement. La faute au HCSF (Haut Conseil de stabilité financière) qui demande aux banques d’appliquer un apport personnel important.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.