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Depuis l’annonce du déconfinement, le marché de l’immobilier semble avoir retrouvé des couleurs, beaucoup plus vite que ce que les circonstances laissaient présager. Mais tout n’est pas rose non plus. La FPI a relevé quelques lacunes, notamment sur le marché de l’immobilier neuf ; des couacs qui empêcheraient la relance de se dérouler comme elle le devrait.
En 2019, le taux immobilier était tombé à un niveau « plancher » inédit. Et ce ne fut pas le seul événement marquant, puisque le nombre de transactions a également atteint un record. Mais face à la fièvre acheteuse qui s’est emparée du marché immobilier, le HCSF s’était inquiété de la progression de l’endettement des ménages et avait voulu mettre un frein à l’emballement, et ce, en durcissant les conditions de prêt.
Depuis plusieurs années maintenant, le gouvernement français s’évertue à faciliter l’accession à la propriété pour les ménages. Mais la baisse des taux ne compense plus la hausse continuelle des prix, poussant les Français à chercher des terres plus accueillantes. Et pour bon nombre d’entre eux, le Portugal se révèle être cet « eldorado ».
Suite à la crise sanitaire, des transformations auront obligatoirement lieu dans de nombreux domaines. Le confinement qui en a résulté a fait découvrir une autre manière de vivre aux Français. L’envie de changement est plus que jamais présente, en particulier en matière de logement. Mais les perceptions diffèrent en fonction des générations.
La crise du coronavirus a lourdement impacté l’industrie touristique. Faute de clients et de visibilité pour les prochains mois, de nombreux propriétaires d’appartements habituellement proposés sur Airbnb et envisagent de basculer vers la location classique de longue durée, selon l’agence en ligne Flatlooker.
Lors du confinement, les analystes étaient nombreux à penser que les prix allaient baisser dès la reprise du marché immobilier. Environ deux mois après le déconfinement, le constat est sans appel : les prix ont continué d’évoluer vers le haut, et ce, même si les transactions se font plus rares. Et cette tendance s’est vérifiée aussi bien dans le neuf que dans l’ancien.
Plus de la moitié des propriétaires (54 %) envisagent de mener des travaux d’aménagement en vue de rénover et d’embellir leurs habitations. Cette envie s’empare également de l’esprit de certains locataires : un tiers d’entre eux souhaitent entreprendre des travaux pour améliorer le confort de leurs logements. En tout, 43 % des Français choisissent de rénover leurs maisons et appartements et sont prêts à dépenser 4 290 euros en moyenne.
Pendant la période de confinement, différents scénarios étaient établis concernant le marché immobilier. Parmi eux, l’hypothèse de la fin de la hausse semblait convaincre plusieurs observateurs. Deux mois après le confinement, ces mêmes observateurs ont constaté que non seulement la baisse tant attendue n’avait pas eu lieu, mais en plus le coût du mètre carré était devenu encore plus cher.
Malgré la reprise de l’activité sur le marché du logement, les agences immobilières restent vulnérables. Selon la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM), à cause de la crise sanitaire, 3 000 de ses adhérents sont en difficulté. En conséquence, quelque 20 000 emplois risquent de disparaître.
Avec les conditions de prêt actuelles, l’achat d’une résidence secondaire n’est plus un luxe réservé aux plus fortunés. Certains acheteurs ont trouvé l’astuce de rester locataire de leur résidence principale et d’acquérir un bien immobilier moins onéreux à titre de résidence secondaire. Outre Paris, les villes situées sur les littoraux sont les secteurs les plus recherchés pour ce type d’acquisition.
Serait-ce un tournant pour le marché du crédit ou juste un évènement isolé ? Toujours est-il que la nouvelle devrait ravir les ménages modestes qui aspirent à la propriété immobilière. Par rapport au deuxième trimestre, le taux d’usure pour le troisième a connu une légère hausse, ce qui aura pour effet d’inclure une plus grande proportion d’emprunteurs.
Quand il est question de HLM, la première image qui vient à l’esprit est celle de ces immeubles dépourvus de charme et renfermant de nombreux appartements exigus. Mais dans les années 50 et 70, ces bâtiments à vocation sociale arboraient une tout autre architecture, avec des espaces de vie beaucoup plus importants. Il s’agit des grands ensembles.
Les taux des prêts à l’habitat sont légèrement repartis à la hausse ces derniers mois, sauf pour les meilleurs profils. Toutefois, malgré cette tendance et le confinement, les conditions d’emprunt restent globalement attractives. D’ailleurs, au début de l’été, les taux étaient à leur niveau de la même période en 2019.
La crise sanitaire n’a pas réussi à freiner la flambée des prix immobiliers dans le neuf. Au contraire, la hausse a été plus forte en six mois (+3,4 %) par rapport au niveau relevé habituellement en une année (+3 %). C’est une déception pour les candidats à la propriété qui ont reporté leurs projets en espérant réaliser de bonnes affaires plus tard.
Le resserrement des conditions de financement et la remontée des taux au début de l’année 2020 ont eu un impact sur le pouvoir d’achat immobilier des ménages dans les métropoles françaises. Le rapport que nous avons présenté dernièrement a montré que toutes les grandes villes ont enregistré un repli du pouvoir d’achat. Seule Nîmes fait exception, la ville affiche une stabilité au cours de ces derniers mois.
Beaucoup de Français rêvent d’acquérir une résidence secondaire, et l’avènement de la pandémie qui a contraint la population à se confiner pendant deux mois a contribué à exacerber cette envie chez certains ménages.
Beaucoup d’appréhensions entouraient la reprise du marché immobilier après les deux mois d’arrêt occasionnés par le confinement. Mais la dynamique semble être de retour, bien que faire preuve d’un excès d’enthousiasme, à ce stade, soit déconseillé. Depuis le déconfinement, le marché est en effervescence, accouchant même d’un mois de juin encore plus faste que celui de l’année dernière.
Avant la crise sanitaire, les banques ont largement ouvert le robinet du crédit afin de conquérir le maximum de clients. Mais lorsque la pandémie de Covid-19 a paralysé le pays et mis à mal l’économie, la donne a changé. Les établissements financiers ont durci leurs conditions d’octroi et privilégient désormais les meilleurs profils, capables d’assumer la probable inflation causée par le confinement.
Une bonne réputation digitale est devenue un facteur clé de réussite pour une entreprise. Cela est d’autant plus vrai pour les professionnels de la promotion immobilière, qui déjà ces dernières années n’avaient pas très bonne presse auprès des Français.
Pendant le confinement, les Français ont fait part de leur envie de déménager afin de profiter de plus d’espaces et si possible, de disposer d’un jardin. Cette nouvelle tendance est aujourd’hui en train de bouleverser le marché de la location. En effet, beaucoup de ménages n’auront pas les moyens d’acquérir un logement dans la ville de leur choix. Ils devront passer par la location.
Lors d’une interview accordée à la radio Franceinfo, le juriste du site immobilier PAP, Charlie Cailloux, a indiqué que l’envie de déménager saisit les Français à la sortie du confinement. Selon ses dires, cette tendance entraîne une hausse significative du nombre des recherches de biens à céder dans les villes moyennes et les périphéries des grandes agglomérations.
Réputée pour être une ville étudiante, l’ancienne capitale du duché de Lorraine séduit les acheteurs immobiliers. Un succès qui n’a rien d’étonnant, puisqu’elle réunit tous les ingrédients nécessaires pour en faire une ville attractive aux yeux des investisseurs locatifs : des prix médians en hausse constante au cours des cinq dernières années, un rendement moyen autour de 7 % dans l’ancien, la présence de l’université de Lorraine qui accueille chaque année des milliers de nouveaux jeunes venus y poursuivre leurs études…
Ces derniers mois, la faiblesse des taux d’usure a privé les ménages plus modestes d’accès au marché du crédit immobilier. Avec une légère remontée applicable depuis le 1er juillet, les souscripteurs de prêts sur 20 ans et plus ont désormais de meilleures chances d’obtenir le financement nécessaire à l’acquisition d’un logement.
Le réseau immobilier l’Adresse a constaté que le marché n’a pas tardé à retrouver son rythme de croisière dès la sortie du confinement. Si la plupart des experts du secteur s’accordent à dire qu’il s’agit d’un effet de rattrapage, son PDG Brice Cardi a affirmé que l’activité est bel et bien relancée et que les prix du marché s’inscrivent dans une tendance haussière.
Certes, le marché français de l’immobilier a redémarré en trombe après le déconfinement, mais lorsque les véritables effets de la crise économique se feront ressentir, la dynamique s’atténuera surement. Et les mesures prises par le Haut conseil de stabilité financière (HCSF) en fin d’année dernière risquent de freiner le marché dans son élan.
L’obligation de rester chez soi pendant la crise sanitaire a modifié la conception du logement idéal des Français. Une étude menée par Ipsos a révélé que près d’un quart des ménages affirment avoir mal vécu le confinement dans leurs habitations.
En imposant un arrêt de plusieurs semaines, la pandémie du Covid-19 a sévèrement impacté le secteur de l’immobilier. Les acquisitions de résidence principale ont chuté, à cause de l’impossibilité d’effectuer des visites, de se rendre chez le notaire, mais aussi des difficultés financières des ménages. Qu’en est-il de l’investissement locatif ?
Après huit semaines d’arrêt, l’activité immobilière a redémarré un peu partout en France. En Loire-Atlantique, les notaires locaux ont analysé l’impact du confinement sur le marché immobilier et ses éventuelles répercussions sur les comportements des candidats à l’acquisition. Deux principaux enseignements ressortent de leur étude : les aspirations des potentiels acheteurs ont changé et l’accès à la propriété se complique pour les primo-accédants.
Anne Hidalgo vient de briguer un nouveau mandat à la tête de la mairie de Paris. Cette réélection implique qu’elle devra trouver de nouvelles solutions aux problèmes de logement dans la capitale. Mme Hidalgo a tracé les contours des actions qu’elle compte mener pour diminuer les tensions sur le marché immobilier. Ceci passe, entre autres, par le renforcement du dispositif d’encadrement des loyers.
Selon la note de conjoncture spéciale des notaires de la région Rhône-Alpes, le marché immobilier a été affecté par la pandémie du Covid-19, mais devrait se redresser dans les deux ans. Dans le département de la Loire, en tenant également compte des enseignements de la crise de 2008, Me Alain Courtet, président de la chambre des notaires, anticipe une stabilité des prix.
Le redémarrage en trombe du marché immobilier à la sortie du confinement réjouit les acteurs du secteur. Selon les professionnels, la situation est due à un effet de rattrapage, mais les effets de la crise sanitaire sur l’économie feront sûrement ralentir les activités et influer sur l’évolution des prix dans les mois à venir. La crainte que la reprise soit de courte durée étant donné que le pays entre en récession économique est bien ancrée.
À cause de la pandémie de coronavirus, le marché de l’immobilier ne ressemblera plus à ce qu’il était avant, du moins pas dans l’immédiat. Cette crise a forcément modifié le comportement des différents acteurs, si bien qu’il est devenu plus difficile pour les observateurs d’analyser l’état exact du marché. Quelques études montrent tout de même des débuts d’éclaircissement.
Pendant le confinement, bon nombre de Français nourrissaient le rêve de déménager et de vivre dans un logement plus spacieux. Ce rêve était accompagné de l’espoir que le prix des biens allait chuter, pour cause d’abondance d’offre. Mais plus d’un mois après le déconfinement, ce scénario parait fort improbable et les porteurs de projet commencent à être pessimistes.
En Provence, la crise du coronavirus a formé un brouillard sur les possibles évolutions des prix immobiliers dans les mois à venir. Après deux mois d’arrêt total, le marché immobilier reprend vie. Les activités redémarrent lentement, mais sûrement. La reprise a bel et bien commencé. Elle se révèle toutefois moins vive que prévu.
Que les candidats à la propriété se rassurent, les hausses de taux constatées en avril et en mai n’ont été que passagères. La tendance n’a pas perduré. Cela dit, à cause des recommandations du HCSF et parce qu’elles ont besoin de se refaire une santé après la crise, les banques se montrent plus sélectives et ne prêtent, pour le moment, qu’aux meilleurs profils.
L’arrêt des activités immobilières pendant le confinement a entrainé un léger repli des prix des logements dans la capitale. Apparemment, il s’agissait d’une baisse temporaire, car dès la fin de la quarantaine, les prix sont progressivement repartis à la hausse. Selon l’estimation d’un professionnel du secteur, les prix pourraient suivre une courbe ascendante pour les semaines à venir, étant donné que la capitale jouit toujours d’une attractivité forte auprès de nombreux acquéreurs potentiels.
Pour les banques, le prêt immobilier constitue à la fois un produit d’appel essentiel et un outil de fidélisation efficace. L’achat immobilier figure en effet parmi les principaux projets de vie qui lient les ménages à leur établissement bancaire sur une longue période. Ce qui explique la rude concurrence sur le marché des prêts immobiliers en dépit de leur faible rentabilité.
Malgré les demandes des professionnels de l’immobilier, notamment les courtiers, le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) a confirmé ses préconisations de fin 2019 concernant l’octroi de prêts. Son objectif est de protéger à la fois les prêteurs et les emprunteurs, et de préserver la stabilité du système financier.
Il s’agissait d’un projet cher à Nicolas Hulot, du temps où il était ministre de la Transition énergétique : en finir avec les passoires thermiques en obligeant les propriétaires à lancer des travaux de rénovation. En démissionnant, sa requête a été presque jetée aux oubliettes… « Presque » puisqu’elle semble revenue à l’ordre du jour.
Pendant le confinement et même après, beaucoup de Français ont entrepris des recherches pour trouver un nouveau logement et déménager dès que possible. Mais la situation après le déconfinement tempère un peu leurs ardeurs, avec les conditions d’emprunt qui se durcissent et les prix qui font de la résistance. Pour autant, ils sont toujours nombreux à rester confiants.
La remontée des taux immobiliers ainsi que d’autres facteurs vont influer sur les prix du marché dans les prochains mois. Le président fondateur de l’IMSI (Institut du Management des Services Immobiliers), Henry Buzy-Cazaux, table sur un repli compris entre -5 % et -10 %. Il base son analyse sur la baisse du pouvoir d’achat immobilier des Français, due à l’impact de la crise sanitaire sur l’économie.
La reprise du marché immobilier se fera de manière progressive pour le reste de l’année 2020, et les prix pourraient diminuer, mais pas de manière significative d’après les prévisions d’un expert en économie du Crédit Agricole. Ce spécialiste anticipe également un repli des ventes, avec une baisse d’environ -35 % pour cette année. Néanmoins, il s’attend à une amélioration de la situation pour l’année 2021, mais les ventes n’atteindraient pas leur niveau d’avant la crise (-15 % par rapport à celui de 2019).
Le dernier baromètre de la FNAIM sur la dette des ménages en Europe place la France en très bonne position vis-à-vis de ses voisins. Il apparaît en effet qu’en moyenne, les ménages français présentent le plus faible niveau d’endettement au sein de l’Union. Le marché immobilier français est néanmoins toujours aussi tendu.
Bouleversé par la crise sanitaire, le marché de l’immobilier neuf enregistre une nette régression de l’offre. Déjà ralenti par la réticence des maires à délivrer des permis de construire à l’approche des élections municipales, le secteur subit également les effets économiques de la crise : baisse du pouvoir d’achat immobilier, durcissement des conditions de prêt, hausse des taux d’emprunt, etc.
S&P Global Ratings, une agence américaine spécialisée dans les notations financières, a publié les résultats de son étude portant sur l’évolution du marché de l’immobilier européen en 2020. Si les chiffres sont globalement pessimistes, la baisse de prix annoncée ne laisse toutefois pas présager un effondrement du secteur. En France, la chute des prix est en grande partie liée au recul des achats de résidences secondaires.
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