Le Portugal : terre d’accueil idéale pour les expatriés français

Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 30 juillet 2020 .
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Publié le jeudi 30 juillet 2020 10:51 par la Rédaction Meilleurtaux

Depuis plusieurs années maintenant, le gouvernement français s’évertue à faciliter l’accession à la propriété pour les ménages. Mais la baisse des taux ne compense plus la hausse continuelle des prix, poussant les Français à chercher des terres plus accueillantes. Et pour bon nombre d’entre eux, le Portugal se révèle être cet « eldorado ».

Une différence de prix non négligeable

Le prix reste le premier critère qui pousse un acheteur à concrétiser une acquisition immobilière. Et lorsqu’il se met à comparer le prix du mètre carré en France et celui en Portugal, la différence est telle que déménager vers la péninsule ibérique lui apparait comme la solution la plus évidente, en particulier s’il n’est plus retenu en France par un quelconque engagement professionnel.

ImportantEn effet, pendant que le prix du mètre carré à Paris ne descend quasiment plus en dessous des 10 000 euros, dans le centre-ville de la capitale portugaise, celui-ci se négocie encore entre 6 000 et 7 000 euros. Un petit peu en périphérie, il est possible de trouver des maisons vendues à 3 150 euros le mètre carré.

Si l’acheteur accepte de s’excentrer un peu et vise une propriété sur la côte de l’Algarve – la diaspora française y est déjà bien représentée –, le prix du mètre carré descend à 3 500 euros pour une maison neuve.

Ces prix, conjugués à des conditions de prêt qui restent intéressantes, peuvent permettre aux Français de réaliser un projet immobilier au-delà de leurs attentes. De plus, le taux immobilier, qui a connu une légère hausse en avril, a de nouveau observé une tendance baissière.

Le Portugal, pas un paradis fiscal, mais presque !

Le régime fiscal très contraignant est également une des principales raisons qui poussent les Français à s’expatrier.

ImportantAu Portugal, en jouissant du statut de résidents non habituels (RNH), ils ne sont assujettis qu’à un impôt plafonné à 10 % de leurs revenus, pendant une période de 10 ans.

En France, en plus de l’impôt sur le revenu, le gouvernement leur ponctionnait de nombreux prélèvements sociaux obligatoires.