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Pour estimer le prix d’un bien immobilier, plusieurs critères sont pris en considération. Mais certains paramètres influent plus que d’autres sur la valeur. Les agents immobiliers s’accordent à dire que le facteur le plus important est sans aucun doute l’emplacement. Cependant, la présence d’un espace extérieur ou d’un étage supplémentaire ainsi que l’exposition et l’état de la maison ne sont pas en reste. Un sondage auprès des grands réseaux d’agences immobilières et des professionnels de l’estimation en ligne a permis de quantifier approximativement les facteurs de variation des prix.
Le nombre de personnes à la recherche de caves en location a fortement progressé depuis 2018. Offrant une rentabilité attrayante, ce type de placement intéresse de plus en plus les propriétaires de biens immobiliers à Paris.
La dernière étude publiée par les notaires du Grand Paris confirme la baisse de l’attractivité de la capitale depuis la sortie du premier confinement. À la recherche de prix plus abordables, d’espaces et de verdure, les acheteurs se tournent vers les communes limitrophes.
Le confinement a apporté son lot de bouleversements et les différents secteurs d’activités ont dû s’adapter. Le marché de la location immobilière n’a pas échappé aux remous de la crise sanitaire et une nouvelle tendance se dessine. Pour le moment, les locations saisonnières sont en stand-by et les bailleurs se rabattent sur la location longue durée. Petite particularité de cette année, ils préfèrent louer en meublé.
Grâce à la baisse continue des taux d’intérêt du crédit ces dernières années, le pouvoir d’achat immobilier des Français a augmenté de 68 % entre 2001 et 2021. Toutefois, dans certaines villes franciliennes, la flambée des prix des biens sur la période a au contraire considérablement réduit la surface finançable.
Le baromètre des notaires rapporte une baisse des prix immobiliers à Paris. Selon les explications, cette tendance résulte d’un simple équilibrage du marché suivant les lois de l’offre et de la demande. En effet, le volume de logements à vendre est en hausse. La situation ne risque cependant pas d’entraîner une chute drastique des prix. La demande étant toujours forte.
La crise sanitaire n’a pas affecté le marché de l’immobilier haut de gamme. Au contraire, les ventes s’envolent depuis le début du premier confinement du fait de la hausse du nombre de citadins fortunés, notamment des Parisiens, souhaitant posséder une autre résidence loin de la ville et si possible près de la mer ou de la montagne.
Les taux des crédits à l’habitat poursuivent leur repli en mars après des décotes sensibles en janvier et février. Mais derrière la baisse des moyennes se cachent des disparités. Les baromètres des courtiers indiquent en effet que pour les prêts d’une durée comprise entre 15 et 25 ans, les taux ont augmenté.
Depuis février 2019, Action Logement travaille à la facilitation de l’accession à la propriété des locataires de logements sociaux. Pour cela, il acquiert des HLM en bloc auprès des bailleurs, dans le but de les revendre en priorité à leurs actuels occupants. Le géant du secteur, propriétaire d’un million d’appartements du parc social, a récemment annoncé une accélération à la mi-2021.
La journée mondiale des droits des femmes a été célébrée le 8 mars dernier. Si du chemin reste à faire pour atteindre la parité parfaite, il existe des domaines où les inégalités tendent sérieusement à disparaître. Le secteur de l’investissement immobilier en fait partie, à en croire les résultats d’une étude récente.
Malgré la crise sanitaire qui a duré maintenant une année, le marché immobilier se porte assez bien. Les professionnels du secteur commencent toutefois à signaler un fléchissement de la demande, en particulier dans les grandes villes. Ce phénomène entraine une évolution à la baisse des prix dans certaines métropoles, comme Paris, Lyon et Toulouse. Certes, il s’agit d’un léger repli, mais le mouvement pourrait s’accentuer dans les prochains mois.
Située dans un environnement plaisant au cœur des Alpes, dynamique, Grenoble ne manque pas d’arguments pour séduire les acheteurs et investisseurs immobiliers. Avec plusieurs programmes en cours, les logements neufs connaissent un franc succès. En 2021, les professionnels du marché misent sur la stabilité des prix et des volumes.
La crise sanitaire et économique n’a pas épargné le marché de l’immobilier, en particulier le segment du neuf. Alors que l’offre de biens est nettement inférieure à la demande, les acheteurs affichent leurs nouvelles exigences en matière de logement. Car pour les Français, la pierre reste une valeur sûre.
Les taux d’emprunt s’étaient maintenus à un niveau relativement bas en février. Cela a incité un grand nombre de candidats à l’accession à concrétiser leurs projets. Face aux exigences accrues des banques, la plupart des primo-accédants ont choisi de se faire accompagner par un courtier afin d’optimiser leurs chances d’obtenir des financements aux meilleures conditions.
À cause de la crise, l’année 2020 a été particulièrement dure pour le marché immobilier, malgré quelques éclaircies de temps en temps. Pour cette année, une bonne nouvelle vient apporter du baume au cœur des porteurs de projet. Avec l’assouplissement des recommandations du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), les emprunteurs auront la possibilité de souscrire à des crédits immobiliers plus importants.
Bien avant la crise, l’immobilier neuf était déjà un peu souffrant. Mais l’apparition de la pandémie a exacerbé le mal dont il souffrait. Les coûts de construction se sont envolés, rendant l’accès au logement neuf encore plus difficile pour les aspirants à la propriété. Une entreprise de construction vendéenne a essayé de trouver les véritables raisons de cette flambée.
En matière de crédit, les banques ont tendance à favoriser les meilleurs profils. Autrement dit, elles affichent une préférence pour les emprunteurs présentant une situation financière confortable. Mais le marché du crédit ne se ferme pas pour autant aux personnes, dont la situation peut paraitre, à première vue, compliquée. Les mères célibataires, par exemple, peuvent très bien y prétendre.
Sous l’effet de la crise sanitaire, le marché immobilier plie, mais ne rompt pas. Cette résilience est particulièrement tangible du côté de la Gironde qui, malgré un recul du volume des ventes entre fin 2019 et fin 2020, semble toujours attirer les aspirants à la propriété. Une tendance qui aura bien sûr un impact sur le prix.
En ces temps de crise, investir dans la pierre apparait aux yeux de beaucoup comme la solution idéale pour placer intelligemment leurs économies, se constituer un patrimoine et améliorer leurs revenus. Les placements immobiliers attirent de plus en plus d’investisseurs, de par leur simplicité. Cette simplicité est encore plus accrue avec la nouvelle plateforme « Louve ».
Pour les jeunes Belges de 22 à 35 ans, devenir propriétaire de sa résidence principale est un projet essentiel. Mais une étude réalisée par Axa Banque révèle que la moitié d’entre eux ignorent les coûts annexes au prix du bien. En conséquence, ils peinent à évaluer le coût total de leur projet.
L’avantage fiscal octroyé aux investisseurs dans l’immobilier neuf sera maintenu pour 2021. Ainsi, la réduction d’impôt accordé est de l’ordre de 12 % pour une durée de location de 6 ans, 18 % pour une durée de 9 ans, et 21 % pour une durée de 12 ans.
Malgré la baisse des taux d’emprunt au début de l’année, le marché du crédit a démarré lentement en janvier 2021. En effet, comparé aux chiffres enregistrés en 2020 à la même période, le volume de production a régressé de -21 %, et n’a pas dépassé les 18,4 milliards d’euros (soit 4,9 milliards d’euros de moins que celui du janvier 2020).
Le Code général des impôts stipule que les nouvelles constructions, de même que les changements de consistance ou d’affectation d’un bien immobilier, doivent faire l’objet d’une déclaration par le propriétaire dans les 90 jours qui suivent leur achèvement. La DAACT devra ainsi être déposée auprès de la municipalité qui a accordé l’autorisation d’urbanisme au terme de ce délai.
Malgré la crise du Covid-19, quelque 1 020 000 transactions immobilières ont été conclues en 2020 en France. Ces bons résultats se rapprochent du record établi en 2019 (1 060 000 ventes), année exceptionnelle pour le marché. Plusieurs facteurs expliquent cette résistance de l’immobilier dans un contexte économique tendu.
Un récent rapport gouvernemental fait état d’une baisse du nombre de permis de construire octroyés entre novembre 2020 et janvier 2021. Ce repli fait suite à une progression initiée au cours de l’été dernier et qui s’est même traduite par une hausse de 9,6 % au dernier trimestre par rapport au précédent avant l’inflexion observée en fin d’année.
La Fédération des promoteurs immobiliers a fait état d’une chute de -25 % du nombre de logements neufs écoulés l’année dernière. Selon les dires de ces professionnels, le marché du neuf se porte mal depuis quelques années, et la crise sanitaire n’a fait qu’aggraver la situation. L’arrêt des chantiers de construction de même que la fermeture des agences pendant les confinements ont effectivement freiné les ventes.
Comme partout dans le monde, la crise sanitaire a affecté le dynamisme du marché immobilier suisse. Selon une étude récente publiée par le Crédit Suisse, le durcissement des conditions d’octroi du prêt hypothécaire et le ralentissement dans la construction neuve ont freiné la croissance du nombre des candidats à l’accession à la propriété. D’autant plus que les prix des biens sont devenus inaccessibles pour les emprunteurs ne disposant pas de revenus confortables.
Depuis le début de l’année, les taux d’intérêt moyens des prêts à l’habitat sont en baisse. Les porteurs des meilleurs dossiers peuvent aisément trouver une proposition à moins de 1 %. En revanche, d’autres profils peinent à se faire financer, voire doivent renoncer à leur projet.
Face à la crise sanitaire qui a duré maintenant une année, le marché immobilier ne s’est pas effondré. Toutefois, les professionnels du secteur ont constaté un fléchissement de la demande dans les grandes villes. Ce phénomène a pour origine l’incertitude persistante sur l’évolution de la situation. Les acheteurs préfèrent reporter leurs projets immobiliers entraînant ainsi un recul significatif des indicateurs de tension immobilière (ITI), notamment dans les grandes agglomérations comme Paris.
La crise sanitaire a bouleversé le marché immobilier, c’est un fait. Pour autant, elle n’a pas fait disparaitre la tension qui règne dans les grandes agglomérations, malgré la volonté des citadins de quitter les villes pour des zones plus « rurales ». Il faut comprendre par là que la hausse des prix dans les localités de plus de 100 000 habitants continue de plus belle.
L’assouplissement des conditions d’octroi de crédits immobiliers préconisées par le Haut conseil de stabilité financière (HCSF) et la baisse des taux d’intérêt ne bénéficient pas uniquement aux nouveaux souscripteurs. Les ménages qui ont un prêt en cours peuvent profiter des conditions attractives actuelles pour renégocier leur contrat et réaliser des économies substantielles.
D’habitude, ces deux villes font partie des premières mentionnées lorsqu’il est question de hausse de prix de l’immobilier. Mais cette fois, Paris et Lyon sont mises en avant par une étude récente qui y prédit d’éventuelles baisses de prix. D’après les auteurs, la probabilité est même très élevée. Un début d’explication pourrait se trouver dans l’abondance d’offres.
Les candidats à l’accession à la propriété peuvent se réjouir. Un an après ses premières recommandations, le HSCF a légèrement assoupli les règles à suivre par les banques en matière d’octroi de prêts immobiliers. Un professionnel du secteur estime que 66 % des foyers exclus en 2020 pourraient revenir sur le marché en 2021.
Le desserrement des conditions d’octroi de crédit par le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) en décembre 2020 n’a pas apporté de changements majeurs dans la politique appliquée par les banques dans le traitement des dossiers. Afin de limiter les risques, ces dernières ont posé comme critère principal dans l’attribution de crédit la présentation d’apport conséquent, en particulier pour les primo-accédants.
C’est un euphémisme de dire que la crise sanitaire a bouleversé le marché immobilier. En effet, les impacts de cette pandémie continuent de se faire ressentir, avec parfois des retournements de situation étonnants. C’est par exemple le cas de l’investissement locatif. Dans certaines villes, il est plus intéressant pour les locataires d’occuper un logement déjà meublé.
La machine à crédit continue de tourner à plein régime malgré la crise. Pour éviter une surchauffe du secteur, la Banque de France exhorte les organismes prêteurs à se montrer plus stricts avec les dossiers les moins solvables. Pour contraindre tous les acteurs du marché à rester dans les clous, l’institution souhaite ainsi rendre obligatoires les recommandations formulées par le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF).
Après avoir atteint un niveau historiquement bas, les taux d’emprunt appliqués par les banques pour le crédit immobilier devraient rester faibles, du moins au cours de six premiers mois de l’année. Bien que les rendements des OAT progressent de manière significative depuis début février, laissant présager une résurgence de l’inflation, les experts du crédit tablent sur une stabilité des taux.
Selon les estimations de la Fédération française du bâtiment (FFB), environ 328 000 chantiers démarreront cette année. Un chiffre relativement bas par rapport aux réalisations de 2019, au cours de laquelle le nombre de logements neufs en construction a dépassé la barre des 410 000. Pour redresser la tendance, la FFB a émis des recommandations destinées à favoriser la primo-accession.
Après une croissance soutenue ces deux dernières années, la demande immobilière commence à s’essouffler en Lille. Ce repli a entraîné une stabilisation des prix dans tous les quartiers de la métropole, et même ceux de la banlieue. Les agences immobilières notent toutefois que les prix demeurent élevés dans les secteurs les plus recherchés, mais les acquéreurs disposent d’une marge de négociation plus importante.
Même si l’année 2020 a été fortement marquée par la pandémie de covid-19 et le confinement, et même si les ménages ont majoritairement subi une baisse conséquente de revenus, les prix de l’immobilier ont continué à progresser. Les observateurs ont même constaté une accélération de la hausse vers la fin de l’année.
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