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Les mouvements de sol induits par le retrait-gonflement des argiles sont accentués par le stress hydrique et causent des dommages comme les fissures dans les bâtiments. Selon le ministère de la Transition écologique, 50 % des sols métropolitains sur lesquels ont été construites près de 10,4 millions de maisons individuelles sont touchés par ce problème.
Important Le RGA ou « retrait-gonflement des argiles » est un phénomène de mouvements de sols naturels et lents comme les glissements, les affaissements ou encore les tassements. Il touche particulièrement les maisons individuelles, dont les structures sont plus fragiles à cause des fondations superficielles.
Hormis les épisodes de sècheresse qui intensifient le problème, les activités humaines comme le drainage, les fuites de canalisation ou le pompage entravent à la bonne circulation de l’eau dans le sol. Ceci favorise alors l’alternance de retrait et de gonflement.
En 2017, le Commissariat général au développement durable a tiré la sonnette d’alarme face à l’accroissement des risques de RGA. Selon les chiffres publiés par cette institution, ce type de sinistres représentait 20 % des arrêtés de catastrophe naturelle et 38 % des indemnisations.
À noter que si un acquéreur non professionnel a prévu d’acheter un bien immobilier sur ce type de terrain à risque et qu’il a conclu une promesse de vente, il bénéficie d’un délai de 10 jours pour se rétracter sans besoin de justificatif.
En 2017, une mise à jour de l’indicateur du degré d’exposition des maisons individuelles au risque RGA a été établie. Il tient compte désormais de quatre périodes de construction de ce type de biens : avant 1921, entre 1921 et 1945, entre 1946 et 1975, et après 1975.
48 % des sols métropolitains où sont bâties 10,4 millions de maisons individuelles sont donc exposés au retrait-gonflements des argiles. Près de la moitié d’entre elles ont été érigées après 1976 selon le ministère.
Jusqu’à aujourd’hui, le risque RGA actualisé est toujours évalué à hauteur de 20 % des arrêtés de catastrophe naturelle et représente 36 % des coûts d’indemnisation.
Important Conformément à la loi Elan, la réalisation d’études géotechniques qui permet de détecter la présence d’argile gonflante sera désormais obligatoire avant construction.
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