Economisez jusqu'à 70%
sur votre assurance de prêt avec meilleurtaux
Jusqu'à -60%
sur vos mensualités avec le rachat de crédits*
Comparez gratuitement
les taux en 5 minutes
Prêt professionnel
Nous vous orientons vers la meilleure solution
selon votre profil et votre besoin
Vous recherchez le meilleur livret d’épargne ?
Découvrez le livret Meilleurtaux, le meilleur taux du marché. Tout simplement.
Vous recherchez la meilleure Banque ?
Le comparateur de tarifs bancaires de meilleurtaux
Estimez la valeur de votre bien en quelques clics.
Achetez et vendez au meilleur prix
Comparez les tarifs énergie
Nos experts vous accompagnent et vous conseillent
pour trouver la meilleure offre qui vous convienne
Comparateur Box & Mobile
Trouvez et choisissez la meilleure offre du moment
Déjà 1 million d’abonnés à notre newsletter
Inscrivez-vous et restez informé de nos actualités
Les informations relevées en ce mois de février 2022 montre que le taux d’emprunt a progressé de quelques centimes. C’est le cas auprès de la plupart des banques selon les données recueillies par les professionnels du courtage en crédit. Cette croissance s’expliquerait par l’inflation qui marque ce début d’année. Elle serait néanmoins maîtrisée indiquent des experts des prêts bancaires.
Ça devait bien finir par arriver. Après 5 ans de baisse quasi ininterrompue, les taux des crédits immobiliers semblent finalement avoir touché un plancher
Les chiffres relevés en janvier 2022 dénoteraient une croissance inattendue des ventes de logements anciens aux États-Unis. Ce dynamisme serait le résultat d’une anticipation chez les acquéreurs qui s’attendent à une augmentation du taux d’intérêt bancaire. La Fed l’a déjà prévue, la révision des taux serait inévitable face à l’inflation qui continue de progresser.
Les acquéreurs de logement le savent, acheter un bien dans la Capitale de France revient souvent à perdre de la superficie. En général, les locataires en gagnent davantage. Une start-up a toutefois trouvé une solution pour aider les potentiels acheteurs. L’alternative consiste entre autres à bien choisir le quartier, certains offrent un peu plus de marge que d’autres.
Les anomalies en France constatées suite à l’adoption du nouveau diagnostic de performance énergétique ont rendu cette vérification indispensable. Elle concerne notamment les logements qui ont été classés F ou G. Le contrôle aurait cependant pris plus de temps que prévu. Aussi, les autorités estiment qu’il est nécessaire de repousser l’échéance initialement prévue.
Un sondage réalisé par l’Université de la Ville de Demain a permis de connaître les aspirations des citoyens français. Il a été mené à travers le site de Maker et a vu la participation de 40 000 individus. L’enquête a commencé en novembre 2021 et pris fin début janvier 2022. Les résultats seront transmis aux candidats à la prochaine élection présidentielle.
Deux facteurs se trouveraient à l’origine de cette croissance : la revalorisation du salaire minimum et la baisse du taux d’intérêt. Cela permet aux travailleurs français d’emprunter davantage et d’acquérir une surface plus grande dans certains cas. Cette amélioration du pouvoir d’achat bénéficie autant aux salariés qu’aux cadres. Les possibilités diffèrent néanmoins selon leur statut et la région.
Le Comité européen des risques systémiques (CERS) a émis des mises en gardes vendredi 11 février 2022. Les conditions d’emprunt qui restent actuellement favorables seraient une menace pour le secteur immobilier. Elles contribueraient en effet à augmenter le prix et entraînent la vulnérabilité des ménages qui s’endettent. L’organisme souhaite un durcissement des cadres réglementaires pour limiter les risques.
L’évolution est quasi-identique en ce qui concerne les ventes des appartements de 2021. La pandémie du Covid-19 est loin d’avoir favorisé leur déclin en Île-de-France. Les chiffres se rapprocheraient même de celles d’avant la crise sanitaire pour les maisons. Le contexte devait pourtant contribuer à leur croissance. L’explication se trouverait dans le prix et la structure du parc immobilier.
La mairie du 16e a enfin validé le projet de HLM après de nombreuses années de barrage. Cependant, le programme, qui a été élaboré en 2018, a subi quelques changements. Ainsi, l’immeuble à construire ne s’élèvera plus que sur 7 étages. Le nombre de HLM à créer a également été réduit.
Le prix de l’immobilier s’accroît fortement dans plusieurs pays à travers le globe. En dépit de cette conjoncture, aucune révision du revenu de leurs habitants n’a été effectuée. Pourtant, les Néo-Zélandais ont par exemple vu les tarifs des biens s’accentuer de 28 % au troisième trimestre 2021. Ceci comparativement à la même période de 2020.
D’après une étude récente, la capacité d’endettement des Français avec le Smic a grandi de 61,3 % depuis 2012. Une hausse qui est issue de l’augmentation du salaire minimum combinée à la diminution des taux d’emprunt. Grâce à cette situation, le pouvoir d’achat immobilier s’est intensifié dans la plupart des communes moyennes.
Sur le marché immobilier, les acheteurs ont toujours lorgné les habitations dotées d’un balcon, terrasse, jardin, etc. Cependant, l’épidémie de Covid-19 a entraîné une hausse des transactions liées à ces biens après avoir transformé les critères des investisseurs. S’agissant des logements qui ne comportent aucun espace extérieur, ils se vendent parfois moins facilement.
Deux nouvelles données devront être incluses dans les annonces des agences immobilières à compter d’avril 2022. Cette évolution vise en partie à consolider le bon suivi de l’encadrement des loyers. En matière de vente, il assurera plus de transparence aux acheteurs. Les intermédiaires étant obligés de divulguer la fourchette haute de leur honoraires dans leurs annonces.
Notamment en ce contexte de pandémie de Covid-19, l’investissement locatif rassure. Outre leur pays, les Français sont fortement attirés par la péninsule ibérique. 44 % des habitants dans l’Hexagone sont par exemple intéressés par l’idée d’investir dans l’immobilier outre-Pyrénées. Le Portugal, lui, séduit 36 % des Français. Selon un expert, cette situation s’explique entre autres par un héliotropisme.
À partir de début avril prochain, de nouvelles règlementations prendront effet pour les professionnels de l’immobilier. Pour la location ou la vente de logements, ils devront dorénavant indiquer les prix maximums des prestations qu’ils proposent. Concernant les locations soumises à l’encadrement des loyers, une plus grande transparence devra être assurée pour les annonces.
Une stabilité, voire une diminution des prix a été constatée sur le marché de l’immobilier ancien en France depuis janvier. C’est notamment le cas à Paris où la courbe suit une tendance à la baisse ces derniers mois. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois. Certaines grandes villes gagnent néanmoins une forte attractivité depuis la pandémie.
En matière de tarif immobilier, d’emploi, et démographiquement, les villes moyennes montrent plus de résilience que les grandes depuis 2012. C’est ce qui ressort de deux notes d’étude récentes de France Stratégie, un organisme rattaché à Matignon. Ainsi, elles ont créé plus d’emplois que les métropoles entre juillets-septembres 2019 et 2021.
L’année dernière, les loyers appliqués à Miami se sont fortement alourdis. Elle a même enregistré la plus grande hausse observée dans les villes américaines, selon le site d’annonces immobilières de Realtor. Une conséquence du recours au télétravail qui a entraîné un déménagement de plusieurs Américains en Floride et des restrictions liées au SARS-CoV-2.
Les Français se désintéresseraient des grandes villes et s’orienteraient davantage vers celles rurales et moyennes aujourd’hui. Les appartements seraient aussi délaissés au profit des maisons. Ces changements seraient la conséquence de la pandémie du Covid-19 et des confinements qui ont suivi. Le prix aurait également évolué avec les mutations de la demande.
D’après une récente étude de l’Insee, le départ à la retraite est l’occasion pour de nombreux Français, notamment les Franciliens, de changer de logement. Près de 50 % d’entre eux quittent carrément leur région. Les principaux adeptes du déménagement sont les ménages modestes ou locataires de leur résidence principale.
Dans la Ville Lumière, l’immobilier voit ses prix s’affaisser. Les spécialistes du secteur prévoient qu’en mars 2022, les coûts au mètre carré descendront à 10 560 euros. Soit un petit recul de -4 % par rapport à la mi-2020. En revanche, les tarifs en Île-de-France poursuivent une hausse malgré un ralentissement, constaté principalement dans les Yvelines.
Le constat provient de la note de conjoncture communiquée récemment par les notaires de France. La progression concernerait autant les maisons que les appartements. Les données demanderaient toutefois à être maniées avec précaution. En effet, l’amélioration des logements mis en vente ne signifierait pas automatiquement une évolution dans le parc immobilier français.
Avec l’épidémie de Covid-19, une nouvelle clientèle est séduite par les châteaux. Avec des budgets en dessous de 500 000 euros ou 800 000 euros, les acheteurs s’éloignent néanmoins des biens avec une trop grande superficie. C’est ainsi qu’ils orientent leurs choix vers les demeures rurales, comme les maisons fortes, gentilhommières, manoirs, etc.
Le droit des copropriétés a subi quelques accommodations avec la loi du 22 janvier dernier. Un texte qui renforce les instruments de gestion de l’épidémie de coronavirus. Celui-ci prévoit à ce titre différentes mesures destinées à faciliter la continuité des copropriétés en cette période exceptionnelle. C’est ainsi que la modalité de renouvellement a notamment changé pour certains contrats de syndic.
De manière progressive, le secteur immobilier se remet des répercussions de la crise sanitaire. Dans un contexte de faible taux d’intérêt profitable aux emprunteurs, le nombre de prêts immobiliers s’est redressé dans l’Hexagone en 2021. Pour 2022, la situation reste à voir, plusieurs préconisations du Haut Conseil à la stabilité financière devenant contraignantes.
Plusieurs facteurs font qu’aujourd’hui, les investisseurs se détournent des locaux commerciaux. D’abord, la crise sanitaire a modifié le comportement d’achat des consommateurs. Ensuite, le commerce en ligne a pris de l’ampleur, toujours en grande partie à cause des mesures prises pour endiguer la circulation du virus. En effet, le e-commerce offre la possibilité de faire les courses sans avoir à se soucier des gestes barrières.
Le portail immobilier SeLoger a évalué à 280 000 euros le tarif moyen d’une résidence secondaire. Un coût qui recèle de grandes disparités, notamment entre l’Aquitaine et l’Auvergne, qui totalisent un écart de 256 300 euros. Par rapport au sujet, la demande en résidence secondaire s’accentue dans des communes telles que Bordeaux, Arcachon, etc.
D’après l’Observatoire Crédit Logement/CSA, la durée moyenne d’un crédit immobilier a atteint un niveau sans pareil en 2021. L’année dernière, elle s’était établie à 19 ans et 7 mois. Deux décennies auparavant pourtant, elle a été enregistrée à 13 ans et 6 mois. En parallèle, le montant moyen des emprunts s’est également alourdi.
Le 24 janvier dernier, le ministère du Logement a annoncé que le dispositif « Louer abordable » sera révisé. Ainsi, elle laisse la place à « Loc’Avantages ». Quelques ajustements ont été ajoutés à ce dernier. Le zonage est à ce titre supprimé. De son côté, la déduction fiscale sera remplacée par une diminution d’impôt.
On vit vraiment une époque formidable ! Avouez qu’il faut une bonne dose d’optimisme pour lancer une telle affirmation, à l’heure d’Omicron et du retour de l’inflation. Et pourtant : en tant que consommateur, on vit une époque formidable.
Depuis avril 2021, le taux moyen des prêts immobiliers demeure quasiment au même niveau. À un palier qui ne s’est jamais montré aussi bas depuis la moitié des années 1940. Pourtant, en face, le taux d’inflation s’aggrave toujours davantage. Grâce à cet environnement de faibles taux, le pouvoir d’achat-logement des ménages s’est renforcé dans les grandes communes de France.
Les entreprises de courtages et les banques ont publié les premiers chiffres de 2022 en matière de taux d’emprunt immobilier. Il en ressort que cette année, le contexte de faibles taux observés en 2021 pourrait bien se prolonger. Ainsi, les ménages avec un apport conséquent, des revenus élevés, etc., devraient pouvoir obtenir un taux d’intérêt inférieur à 1 %.
D’après une enquête, les perspectives immobilières des Français demeurent sous l’influence de l’épidémie de Covid-19. Elle révèle notamment que parmi ceux désirant changer de vie, 41 % veulent abandonner leur région. Ceci afin de profiter d’une meilleure qualité correspondant à leurs attentes. Par rapport à ce but, la Nouvelle-Aquitaine figure parmi les régions les plus convoitées par les sondés.
D’après l’INSEE, une minorité de foyers fortunés (24 %) détient aujourd’hui la majorité du parc d’habitations particulières (68 %). Et les foyers multipropriétaires qui possèdent exactement deux logements détiennent environ le quart de ce dernier. Sur le plan démographique, les foyers disposant de plusieurs propriétés se révèlent moins fréquemment en couple comparé à l’ensemble des ménages.
Pour les écoles, l’accroissement des effectifs dans l’enseignement supérieur a généré des nécessités immobilières de grande ampleur. Ce qui est favorable aux investissements. Dans ce contexte, Paris concentre pour le moment la plus grande part des financements en Île-de-France. Depuis 2016, la ville compte notamment la plupart des projets d’au moins 1 000 m².
Obtenir un crédit immobilier, dont le taux reste bas, auprès des banques s’annonce plus ardu qu’auparavant sur les mois à venir. En effet, les institutions scrutent désormais plus scrupuleusement les dossiers de sollicitation. En plus de cette situation, les acheteurs immobiliers devront surmonter une autre difficulté : l’alourdissement des tarifs des logements.
Faites des économies, suivez l’activité de vos comptes et simulez un achat immobilier ou un crédit consommation.
Suivez la performance de tous vos contrats (assurance vie, retraite, immobilier, défiscalisation) et re-versez facilement. Garantie 0 paperasse.
Augmentez votre chiffre d’affaires immobilières, gagnez en efficacité lors des premières visites, développez votre business au delà de l’immobilier et travaillez votre image et votre réputation.
Attention, vous pouvez être sollicités par de faux conseillers Meilleurtaux vous proposant des crédits et/ou vous demandant de transmettre des documents, des fonds, des coordonnées bancaires, etc. Soyez vigilants · Meilleurtaux ne demande jamais à ses clients de verser sur un compte les sommes prêtées par les banques ou bien des fonds propres, à l’exception des honoraires des courtiers. Les conseillers Meilleurtaux vous écriront toujours depuis une adresse mail xxxx@meilleurtaux.com Vous avez un doute sur l’un de vos contacts ou pensez être victime d’une fraude ? Consultez notre guide.