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Si les organismes prêteurs français fixent librement leurs taux d’intérêt, ils ne peuvent dépasser les taux d’usure fixés par la Banque de France. Ces plafonds légaux, qui visent à protéger les emprunteurs d’éventuels abus, évoluent chaque trimestre. Pour la période en cours, une hausse est observée.
Une étude BVA révèle qu’un quart de la population française souffre de douleurs dorsales, notamment les cadres et les jeunes, deux catégories où la proportion grimpe à 94 % et 89 % respectivement. Or, cette pathologie augmente le coût de l’assurance emprunteur pour ceux qui envisagent d’acheter un bien immobilier à crédit.
Les taux immobiliers sont restés très abordables cet été. La tendance baissière observée au mois de juillet a d’ailleurs entraîné une hausse notable du nombre de demandes au cours des dernières semaines. Mais pour celles à venir et notamment la rentrée, le durcissement des conditions appliquées par les établissements prêteurs pourrait renverser la donne.
Les emprunteurs se réjouissent de voir que les taux immobiliers recommencent à piquer du nez. Le taux moyen a reculé en juillet dernier, soit plus de deux mois après le déconfinement. Cette baisse intervient après plusieurs mois de hausse. Sur recommandation du HCSF, les banques ont en effet durci leurs conditions d’octroi à fin 2019. Ceci a entraîné une légère remontée des taux en janvier, laquelle s’est poursuivie en juin suite aux conséquences du confinement.
Les biens immobiliers situés dans les stations balnéaires en France restent des placements très prisés. Toutefois, selon le baromètre annuel d’un grand courtier tricolore, les prix ont augmenté dans certaines des principales villes côtières. Après le confinement, de nombreux ménages se sont en effet tournés vers le bord de mer pour investir dans la pierre.
Les Français qui envisagent d’acquérir une maison ou un appartement dans les prochains mois devraient bénéficier de taux toujours attractifs. La Banque Centrale Européenne (BCE) prévoit en effet de maintenir sa politique incitative jusqu’en 2021, ce qui devrait se refléter sur les barèmes des établissements prêteurs.
Quel rapport entre un mal qui touche environ 25 % des Français et l’accession à la propriété immobilière ? Le lien existe et il est même plus pertinent que ce que la majorité pourrait croire. Ce lien, c’est l’assurance emprunteur. Le mal de dos peut, en effet, donner lieu à une assurance beaucoup plus chère pour le porteur de projet.
Une société spécialisée dans le big data et l’IA a publié une étude basée sur l’analyse de plus de 45 000 annonces sur les principales plateformes immobilières au cours des 7 premiers mois 2020. Selon les résultats de cette étude, le prix moyen du mètre carré sur Paris s’établit à 11 950 euros au mois de juillet. Comparé au prix observé au début de l’année (12 000 euros le mètre carré), celui-ci a enregistré une baisse de -0,4 % entre janvier et juillet.
Finalement, la remontée du taux immobilier ne sera pas pour maintenant. Mais les incertitudes liées au contexte économique actuel devraient convaincre les candidats à l’accession à concrétiser au plus vite leur projet immobilier. De plus, en poussant un peu dans les négociations, ils peuvent obtenir des conditions encore plus intéressantes et faire des économies sur leur emprunt.
Le marché de l’immobilier n’a pas encore retrouvé son dynamisme, et les professionnels du secteur anticipent une baisse notable des volumes de vente par rapport à 2019. Un rapport publié par la Fnaim (Fédération nationale de l’immobilier) table sur un repli de -25 % suivi d’une reprise graduelle de la croissance après une période de stagnation.
Les chiffres publiés par un professionnel du crédit immobilier ont montré que le nombre de primo-accédants ayant finalisé leurs projets d’achat ont augmenté au cours du mois de juillet 2020. Ces derniers représentent 68 % des clients ayant eu recours à son service pour trouver du financement pour leurs achats immobiliers. Selon cet expert, la motivation des primo-accédants s’explique par la faiblesse des taux d’emprunt sur le marché.
À peine sortis du confinement, les Français se sont rués vers les agences immobilières, pressés de déménager et de trouver un logement plus spacieux et confortable. Les transactions mises en suspens pendant la crise ont également été vite finalisées, faisant transparaître une reprise très dynamique du marché. Mais de l’avis des observateurs spécialisés, cet emballement peut être trompeur.
Deux mois après la levée du confinement, le marché de l’immobilier a presque retrouvé sa vitesse de croisière, enregistrant même un mois de juin prolifique. Néanmoins, de nombreuses demandes de prêt sont rejetées et la crise sanitaire n’y est pas totalement étrangère. Mais à elle seule, la crise n’explique pas l’exclusion de certains profils du marché du crédit.
La Banque de France rapporte un repli de -20 % de la distribution de crédits immobiliers au mois de mars. Depuis, le volume des prêts accordés ne cesse de chuter. Certes, le climat économique et financier est encore sous le choc de la crise sanitaire, mais est-ce vraiment la cause de cette crise des prêts immobiliers ?
Tous les secteurs d’activités, sans exception, ont été touchés par la crise sanitaire liée au coronavirus. Si des secteurs comme l’immobilier relèvent peu à peu la tête, d’autres comme celui de l’assurance se sentent aujourd’hui doublement floués. Acteurs majeurs de la relance économique post-covid, les assureurs essuient des critiques de toutes parts.
Pendant le confinement, les ménages français ont eu tout le loisir d’examiner leurs finances et de déterminer sur quels postes de dépense ils peuvent réaliser des économies. Pour la plupart d’entre eux, et dans le cas d’une stabilisation des conditions de prêt, la meilleure alternative est la renégociation de prêt, soit pour diminuer le montant de la mensualité, soit pour faire baisser le coût de l’assurance.
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