Découvrez les 5 infos immos de la semaine à ne pas rater. Remontée des taux immobiliers jusqu'en 2024 Depuis la hausse des taux directeurs de la Banque Centrale européenne en 2022, les taux d'intérêt pour les particuliers ont fortement augmenté. Les crédits immobiliers deviennent de plus en plus coûteux, avec des taux de l'usure approchant les 6%. Cette tendance devrait continuer face à un contexte inflationniste que la BCE a du mal à contrôler. La moyenne des taux immobiliers sur 20 ans a atteint 3,80% en août 2023. Cette hausse impacte tous les emprunteurs, réduisant leur capacité d'emprunt. Les premières baisses significatives des taux ne sont pas attendues avant 2025. Pour plus de détails, consultez l'article complet ici. Fléchissement des prix immobiliers en région Les principales métropoles françaises, telles que Bordeaux, Lyon, Lille et Rennes, montrent des signes de fléchissement du marché immobilier. Après une période de frénésie immobilière, le nombre de transactions a diminué et les prix ont commencé à baisser. Cette tendance est plus marquée dans certaines villes, avec des réductions de prix allant jusqu'à 5-10% attendues d'ici l'été prochain. Les propriétaires ajustent leurs prix, et les acheteurs restent prudents, ce qui pourrait conduire à une continuation de cette tendance baissière à court terme. Pour une analyse approfondie et des informations détaillées, cliquez ici pour lire l'article complet. Augmentation de la part du salaire dédiée au loyer en France Une étude menée par un grand courtier britannique a analysé le rapport entre le loyer moyen et le salaire net moyen mensuel en France. Les résultats montrent une augmentation notable de la part du salaire consacrée au loyer, en particulier à Nantes, où cette part a augmenté de 4 points de pourcentage depuis 2018. À Paris, près de la moitié du salaire mensuel est consacrée au loyer. Malgré l'encadrement des loyers, la pression sur ceux-ci augmente en raison de la hausse des taux de crédit et des prix immobiliers élevés. Seules quelques villes, comme Lyon, Toulouse et Nice, ont vu une baisse de la part du salaire dédiée au loyer. Pour une perspective plus détaillée sur cette tendance, visitez l'article original ici. Inégalités croissantes entre salaires et prix immobiliers dans les grandes villes françaises L'accessibilité au logement pour les jeunes actifs dans les métropoles françaises est devenue un enjeu majeur. Une étude de Virgil montre un écart grandissant entre les revenus locaux et les prix immobiliers. Par exemple, à Bordeaux, un salaire annuel brut de 53 096 euros est nécessaire pour acheter un appartement de 40 m². À Marseille, ce montant est passé de 26 805 euros en 2014 à 43 052 euros en 2023. Ces coûts dépassent les revenus moyens, mettant une pression sur les primo-accédants. La hausse des taux d'intérêt et la tension sur le marché locatif aggravent la situation. Pour une perspective plus approfondie, découvrez l'ensemble de l'étude ici. Le relèvement du plafond du PTZ et son impact sur l'apport personnel L'apport personnel est devenu un obstacle majeur à l'accès au crédit immobilier pour les ménages modestes. Face à cela, le gouvernement a annoncé une augmentation du plafond du prêt à taux zéro (PTZ) pour 2024, passant de 80 000 € à 100 000 €. Cette mesure vise à aider les primo-accédants à renforcer leur apport personnel. Cependant, les banques et le régulateur du secteur considèrent le PTZ comme un crédit immobilier, et non comme un apport. Bien que le PTZ ne soit pas comptabilisé dans l'apport, il offre l'avantage d'alléger l'endettement en différant son remboursement. Pour une compréhension plus nuancée de cette dynamique, parcourez l'article en intégralité ici.