Les particuliers qui souhaitent investir dans l’immobilier locatif et qui sont en quête d’opportunités peuvent se tourner vers Nantes. À la fois proche de la capitale et du littoral atlantique, réputée pour son cadre de vie agréable, la « Métropole atlantique » séduit. De plus, la forte croissance démographique tire la demande locative vers le haut. Sur le marché immobilier, les prix augmentent et les offres sont intéressantes. Envolée des prix comme conséquence du déséquilibre entre demande et offre Chaque année, selon les professionnels de l’immobilier, 8 000 personnes, majoritairement des Franciliens, viennent s’installer à Nantes. Sur les 300 000 habitants (et le double si l’on considère Nantes Métropole), 50 % sont des actifs. Les étudiants, qui représentent près de 10 % de la population totale, constituent également une clientèle de choix. Les arguments en faveur de la ville du Grand-Ouest sont nombreux : qualité de vie, prix encore inférieurs à ceux pratiqués par exemple à Bordeaux ou Lyon, proximité avec l’océan, efforts en écologie dans les projets urbains, vie culturelle riche… Important La composition et l’évolution positive de la population, supérieure aux moyennes régionale et nationale, entraînent une forte hausse de la demande de logements à acheter ou à louer. Le stock de biens disponibles étant insuffisant, le marché est sous tension depuis environ cinq ans. La conséquence est une croissance continue des prix au mètre carré et le mouvement s’accélère puisqu’au cours des deux dernières années, le taux d’augmentation atteignant 20 %. Des écarts de prix notables dans un contexte de hausse généralisée Important Des disparités importantes sont néanmoins observées entre les différents quartiers nantais, ainsi qu’entre les habitats neufs et anciens. D’après les notaires, les prix médians dans l’ancien varient entre 2 410 euros à 3 440 euros, contre 3 860 euros à 5 050 euros dans le neuf . Important Les secteurs résidentiels bénéficiant d’une bonne desserte par les transports et qui accueillent de nombreux établissements scolaires sont très prisés des familles. C’est le cas du quartier Saint Pasquier-Saint Félix, qui satisfait à ces deux critères essentiels, et où les maisons individuelles sont actuellement proposées à plus d’un demi-million d’euros. Dans le centre-ville, le mètre carré ancien coûte ainsi entre 3150 euros à 4 000 euros et pour du neuf, le prix médian grimpe de 5 440 euros à 6 360 euros. Tous les voyants sont au vert pour les potentiels investisseurs Les particuliers qui souhaitent réaliser un investissement locatif à Nantes ont donc de grandes chances de faire une bonne affaire, à condition d’être très réactifs et à l’affût des offres, de plus en plus rares. Qu’ils choisissent des maisons ou des appartements meublés ou non, ils ne devraient pas avoir du mal à les faire louer. Et en cas de revente après quelques années de détention, trouver preneur est facile et rapide. Dernier avantage et non des moindres, en ce qui concerne le financement, Nantes, située en zone B1, entre dans le champ d’application de la loi Pinel pour les acquisitions de logements neufs. En fonction de la durée d’engagement de location choisie, entre 6 ans et 12 ans, les propriétaires bailleurs ont droit à une réduction d’impôt sur le revenu allant de 12 % à 21 %.