Bordeaux devient la ville la plus chère après la capitale, en enregistrant une hausse de 90 euros par mètre carré par rapport à celui de Nice (en troisième position). La hausse foudroyante des achats des immobiliers anciens en est la cause, étant donné que les taux de prêt immobilier restent bas. Le marché des maisons et appartements anciens a déjà connu un dynamisme l’année dernière, mais encore plus pour cette année. Les vieux immobiliers trouvent très rapidement des acheteurs selon l’étude des notaires. Le taux bas des crédits immobiliers demeure la première cause du succès du marché de l’immobilier à l’heure actuelle. Cette hausse récupère également la régression de ces dernières années sur la vente des immobiliers anciens. Concernant l’achat de ces vieux appartements et maisons, les ménages en recherche de logements sont largement nombreux par rapport aux investisseurs locatifs. À l’heure actuelle, le regroupement de crédit diminue, tandis que, le prêt immobilier augmente énormément. L’achat des immobiliers anciens à Bordeaux Auparavant, l’acquisition de logements anciens n’a pas trop intéressé les Français, mais à l’heure actuelle, la tendance s’inverse. Une progression fulgurante de 907.000 transactions en un an est enregistrée par les notaires à fin mai à cause du taux de prêt très bas, augmentant les prix. D’après l’indice Notaires de France-Insee, on a enregistré une hausse de 2,7% sur un an pour les logements anciens, durant les trois premiers mois. À Bordeaux, les prix ont connu une hausse de 15,5% équivaut à 3.500 euros le m². C’est pareillement le cas pour Lille, Nancy et Paris suite à une comparaison de la même période de l’année dernière. En outre, le prix du mètre carré a diminué de 9,4 % à Clermont-Ferrand, de 5,4% à Amiens et de 4,7% à Metz. La ville de Bordeaux est reconnue pour son attractivité. Elle est même devenue la deuxième ville la plus chère après Paris. Cependant, selon les dires des notaires : les envolées de prix dans certaines agglomérations doivent alerter. Notaires. Acheter pour se loger C’est à travers les avant-contrats conclus dans toute la France que les notaires discernent la hausse des achats. Et dans un tel rythme, les prix suivront certainement une progression de +1,2% pour les maisons anciennes de +4% pour les appartements anciens. Étant donné que la majorité des ventes sont pour des logements de ménages, pas pour les investissements locatifs, ces notaires affirment qu’une éventuelle spéculation ne risque pas d’arriver. Selon la déclaration de ces professionnels, les dernières années ont été marquées par une régression du marché d’immobilier ancien. Cette année, la situation du marché s’est redressée. L’encours important au prêt immobilier Actuellement, les rachats d’anciens prêts aux taux moins favorables enregistrent une diminution, causant l’augmentation considérable du nombre des prêts immobiliers, ce qui nécessite un simulateur prêt immobilier. De plus, les taux de crédit immobilier ne s’accroissent pas. D’après l’observatoire Crédit Logement/CSA, ces taux bas procurent de la solvabilité pour les acquéreurs (à 1,56% en moyenne à partir de juillet). En outre, les notaires manifestent que : la bonne tenue persistante du marché immobilier alimente, pour une large part, les budgets des collectivités en remplissant les carnets de commandes des entreprises du bâtiment, la fiscalité doit être « un levier à manier avec subtilité ». Notaires. Or, cette affirmation remet en question la décision de l’exécutif à changer l’ISF ou impôt sur la fortune en IFI ou impôt sur la fortune immobilière.