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Au lendemain du salon de l’immobilier du Mans, qui s’est tenu au centre des expositions, l’heure est au bilan pour les professionnels. Les perspectives sont bonnes pour 2018, dans la continuité des précédentes. Les taux d’intérêt faibles et la stabilité des prix soutiennent la demande pour différents types de biens.
Les départements tirent la sonnette d’alarme concernant l’instabilité de leur situation financière. Dépendantes des ressources que représentent les taxes liées à l’acquisition immobilière, ces collectivités craignent les impacts d’un revirement du marché. De plus, les dotations de l’État ont été réduites, tandis que les taxes subissent une réforme défavorable à leur égard.
La semaine dernière, un projet de loi a été soumis au Sénat et a entrainé de vives réactions de la part des associations de consommateurs. L’objectif de ce texte est de changer les règles qui avaient donné la possibilité d’améliorer la protection des souscripteurs d’emprunt. En effet, le gouvernement estime que plusieurs d’entre elles ne sont pas efficaces et qu’elles désavantagent les entreprises.
La faiblesse des taux d’intérêt depuis deux ans provoque une augmentation régulière des emprunts, notamment du crédit immobilier. Le fort endettement des ménages et les risques auxquels s’exposent les banques attirent l’attention du Haut conseil de stabilité financière (HCSF). Cet organisme surveille le secteur avec vigilance, et pourrait appliquer des dispositifs stricts si nécessaire.
L’INSEE est formel : le pouvoir d’achat des ménages a rebondi de +0,7 % au deuxième trimestre, après avoir légèrement reculé de -0,5 % au cours des trois premiers mois de l’année. Et pourtant, les Français ne constatent aucune amélioration. Ils sont même plus de 70 % à avoir le sentiment de s’être appauvris depuis un an et demi, selon un sondage réalisé par l’IFOP pour le Journal du Dimanche. Mais alors, comment expliquer cette divergence entre le ressenti de la population et les données officielles ? Un économiste tente d’apporter des éléments de réponse.
Un récent sondage IFOP révèle que plus de 7 Français sur 10 ont noté une dégradation de leur pouvoir d’achat depuis le début du quinquennat Macron. Un peu plus d’un cinquième des personnes interrogées n’a constaté aucun changement et seulement 6 % parlent d’une amélioration. Il est vrai que les mesures gouvernementales prises depuis l’élection ont eu des répercussions notables sur les finances des ménages.
Tandis que la grogne monte chez les contribuables contre la politique fiscale d’Emmanuel Macron, qu’ils accusent de réduire leur pouvoir d’achat, et avec en toile de fond la menace d’un blocage total du pays ce samedi, le ministre des Comptes Gérald Darmanin a laissé clairement entendre qu'il est hors de question pour le gouvernement de faire machine arrière et de renoncer à ces mesures « courageuses ».
Les travaux de construction des lignes de transport en commun reliant Bangkok (Thaïlande) et ses banlieues avancent à grands pas. Bien qu’ils permettent de redynamiser le secteur immobilier dans cette région, ces chantiers font grimper les prix des biens, notamment pour ce dernier trimestre. La hausse se fait surtout sentir dans les localités traversées par les lignes.
Dans un contexte économique tendu et de taux d’intérêt faibles, les opérations de restructuration de dettes se multiplient. La plupart des ménages y recourent pour éviter de tomber dans la spirale du surendettement. Grâce au rééchelonnement de leurs remboursements, les mensualités sont allégées, ce qui leur laisse le temps de souffler un peu. Toutefois, il ne s’agit pas d’une solution miracle aux difficultés financières.
La baisse du montant des mensualités suppose un allongement de la durée de remboursement et une majoration du coût total d'un ou de plusieurs crédits objets du regroupement.
Aucun versement, de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d'un particulier, avant l'obtention d'un ou plusieurs prêts d'argent.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.