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Le surendettement est en baisse en France. Cette situation due essentiellement au durcissement des conditions de prêt, est également favorisée par la dématérialisation des services bancaires. La révolution amorcée dans les années 2000 conduit à une digitalisation de la plupart des opérations complexes, y compris la procédure de regroupement de crédits, qui aide les ménages à optimiser leur budget.
L’essor d’internet et du digital au cours des deux dernières décennies a bouleversé le modèle des banques. En 10 ans à peine, le pourcentage de contacts réalisés en ligne entre les acteurs du marché et leurs clients est passé de 31 % à 86 %. Comme les opérations classiques, le rachat de prêt peut désormais se faire à distance.
Le dynamisme du marché immobilier en France se reflète sur les chiffres des prêts logements. En effet, depuis 2000, ceux-ci ont crû de pratiquement 200 %. Et selon le dernier rapport de la Banque de France, la production a atteint un niveau record en mai, à 971 milliards d’euros, en hausse de plus de 4 milliards d’euros. Si le rythme actuel se maintient, l’encours pourrait franchir la barre des 1000 milliards d’euros début 2019.
Deux fois par an, la Banque de France procède à l’évaluation des risques auxquels s’expose le secteur financier français. Outre trois facteurs relativement faciles à gérer, l’endettement du privé constitue le danger majeur. Il semble que la propension des ménages français à recourir aux crédits accroît le risque d’une crise à moyen terme.
Un article publié par le professeur d’économie Michel Mouillart fait état d’un maintien à haut niveau du nombre des ménages français surendettés, notamment les foyers à revenus modestes. Son étude révèle également que les crédits à la consommation constituent la plus grosse partie des dettes de Français qui se trouvent dans cette situation.
Selon les chiffres récemment publiés par l’INSEE, la consommation des ménages est repartie à la hausse après une baisse de -1,8 % au cours du mois d’avril et cela concerne de nombreux domaines. D’autre part, la dette publique a presque atteint les 98 % du PIB pour s’établir à 2 255,3 milliards d’euros.
Pour ceux qui ont plusieurs emprunts en cours, regrouper les prêts pour n’en avoir qu’un seul et bénéficier d’une rallonge du délai de paiement constituent un moyen efficace pour aérer leur budget. Néanmoins, les banques et organismes de crédit peuvent refuser cette opération pour diverses raisons. Les garanties se présentent alors comme un atout de taille pour négocier.
Grévistes, râleurs, casseurs… Véritable paradoxe, selon les sondages, les Français ne sont pas « contents » alors qu’ils reçoivent beaucoup d’aides. Chaque année, la France dépense près de 1 100 milliards d’euros, presque l’équivalent de 50 % du produit intérieur brut, sous forme d’aides, dont 759,5 milliards en aides sociales, soit 32 % du PIB.
D’après l’Insee, les ménages ont perdu 0,6 % de pouvoir d’achat au premier trimestre 2018 après une hausse très modérée (+0,1 %) en fin 2017. Ce repli est dû principalement à la hausse des taxes et impôts prévue par le budget 2018. Deux facteurs expliquent ce phénomène : la hausse de la CSG et l’inflation.
Au premier trimestre 2018, pour la première fois de son histoire, le patrimoine moyen des ménages américains et des organismes à but non lucratif a dépassé les 100 000 milliards de dollars aux États-Unis, en hausse de 1 000 milliards par rapport au trimestre précédent. Cette progression s’explique notamment par la flambée des prix immobiliers.
La baisse du montant des mensualités suppose un allongement de la durée de remboursement et une majoration du coût total d'un ou de plusieurs crédits objets du regroupement.
Aucun versement, de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d'un particulier, avant l'obtention d'un ou plusieurs prêts d'argent.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.