Le mètre carré dans l’ancien coûte en moyenne 3 500 euros dans la ville rose. Selon les chiffres publiés récemment par les notaires, au début du troisième trimestre 2021, les tarifs ont affiché une progression de +8,4 % en comparaison à la même période de l’année passée. Ces professionnels anticipent une hausse de +5 % d’ici le mois de décembre en faisant référence aux avant-contrats qu’ils ont signés au cours du mois de septembre. L’augmentation des prix dans l’ancien concerne toute la cité y compris les zones reconnues comme étant les moins chères. Le prix du mètre carré supérieur à 5 000 euros dans les quartiers chics de la ville Si la moyenne s’établit à 3 500 euros par mètre carré, certains biens situés dans les quartiers chics de la ville (Capitole, Saint-Georges, Saint-Étienne, Carmes, et Saint-Aubin Dupuy) sont proposés à des prix dépassant les 5 000 euros par mètre carré. Les professionnels de l’immobilier observent également une tendance haussière des prix dans certains secteurs depuis l’annonce du projet de la ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse. Important Le prix a augmenté de plus de +8 % à Matabiau et s’élève actuellement à 4 750 euros/m², tandis que la hausse dépasse les +16 % à Marengo-Jolimont, avec une moyenne de 3 430 euros/m². Les futurs acheteurs peuvent optimiser leur chance d’obtenir un financement en accord avec leurs besoins et de décrocher un taux prêt immobilier attractif en se faisant accompagner par un professionnel du courtage en crédit. Une hausse de +5 % des prix dans l’ancien d’ici décembre 2021 Les notaires anticipent une hausse de 5 % des prix dans l’ancien d’ici décembre 2021 alors que les acheteurs recherchent des biens aux prix plus abordables. Ce phénomène s’observe notamment pour le segment du marché des maisons individuelles. En principe, ce type de bien intéresse les acquéreurs disposant d’un budget confortable, mais depuis quelques mois, le nombre des transactions enregistrées a nettement baissé. Selon le constat des professionnels, les budgets consacrés à l’achat d’une maison ont été revus à la baisse. Les acquéreurs potentiels orientent leurs recherches vers les zones rurales où les prix des biens sont plus accessibles, malgré une progression notable des tarifs immobiliers sur le marché dans ces localités.