La demande ne cesse de croître sur le marché de l’immobilier ancien. Et comme celle-ci surpasse l’offre, les prix affichés par les vendeurs enregistrent également une hausse constante. En un an, la situation a bien évolué d’après le baromètre LPI-SeLoger : les tarifs ont grimpé de +3,8 % pour les appartements et de +4,4 % pour les maisons, avec le mètre carré qui se monnaie respectivement autour de 3 138 et 3 685 euros. Les acheteurs encouragés par les conditions avantageuses des prêts immobiliers Important Depuis le début de l’année, les conditions de prêts pratiqués par les établissements bancaires contribuent à booster la demande sur le marché de l’immobilier ancien. Non seulement les crédits sont proposés avec des taux très bas, mais les banques consentent également à accorder des financements même avec un faible apport personnel (parfois même sans apport). Et pour faciliter encore plus l’accès aux crédits, elles acceptent d’allonger la durée du remboursement pour la clientèle peu solvable. En ayant recours à un courtier immobilier, tel que Meilleurtaux.com, les emprunteurs peuvent trouver aisément, et plus ou moins rapidement, des solutions de financement adaptées à leurs profils. Hausse du nombre des transactions Selon un responsable au sein de LPI-SeLoger, Le nombre de transactions immobilières progresse d’environ +20 % par an en France métropolitaine, à l’exception de la région francilienne. La hausse excessive des prix et la pénurie de biens ont ralenti les ventes dans cette localité avec une croissance limitée à +5 % sur un an. Bien que les acheteurs ne disposent que d’une très faible marge de négociation (4,5 % pour les maisons anciennes et 2,8 % pour les appartements au cours du mois de juillet 2019), les prix élevés pratiqués par les vendeurs ne les effrayent pas pour autant. Un grand nombre d’acquéreurs ne pensent même pas à marchander, lorsqu’ils ont trouvé un bien en accord avec leurs attentes. Cette pratique tend à se généraliser et s'étend même jusqu'aux zones moins tendues.