Après une période de turbulences marquée par une baisse des volumes de transactions et des prix, le marché immobilier résidentiel dans l’ancien semble entrer dans une phase de stabilisation. Si les chiffres de 2023 témoignent d’un recul notable, les tendances observées depuis le début de 2024 suggèrent une dynamique plus équilibrée, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles perspectives. Les détails dans cet article. Des volumes de transactions en quête de stabilité Les volumes de transactions immobilières, en baisse depuis plusieurs années, se sont consolidés à partir d’août 2024, atteignant 756 000 unités. Les prévisions tablent sur une légère amélioration en 2024 (771 000 transactions), mais c’est en 2025 que les experts anticipent une reprise plus marquée (900 000 transactions), sous réserve d’une poursuite de la baisse des taux d’intérêt. La simulation de prêt immobilier est un outil indispensable pour toute personne envisageant un achat immobilier. Elle permet d’évaluer avec précision la faisabilité financière d’un projet en calculant les mensualités en fonction du montant emprunté, du taux d’intérêt, et de la durée du prêt. Grâce à cette simulation, les futurs emprunteurs peuvent anticiper leur capacité de remboursement, comparer les offres de différents prêteurs et choisir les conditions les plus avantageuses. Prix immobiliers : une reprise en douceur Les prix ont affiché un rebond significatif depuis mai 2024, avec une hausse marquée observée en mai, juin, juillet et août comparée à l’année précédente. La stabilisation des prix est notée dans 63 % des petites et moyennes villes françaises. À Paris, après une chute historique de 14,2 % depuis juillet 2020, les prix semblent se maintenir désormais sous les 10 000 euros le mètre carré. En parallèle, l’augmentation du nombre de requêtes pour l’achat de biens constitue un autre signe encourageant. Le printemps 2024 a marqué le meilleur démarrage pour la demande immobilière depuis trois ans, reflétant une inversion des tendances baissières observées en 2022. Ce rebond s’explique en partie par une normalisation des taux d’intérêt, qui rend à nouveau l’accès au crédit plus aisé pour les ménages. Le désir de se constituer un patrimoine continue de motiver de nombreux acquéreurs, malgré un contexte économique incertain. À retenir Le marché immobilier français traverse une phase de transition. Après une période de forte correction, les volumes de transactions se stabilisent et les prix montrent des signes de reprise. La demande, soutenue par une amélioration du climat de confiance et une adaptation des ménages à un nouveau contexte, est un facteur clé de cette évolution. Les perspectives pour les prochaines années sont encourageantes, avec un retour attendu à un marché plus dynamique.