Qui ne rêve pas d’une retraite loin de tous tourments de la vie quotidienne ? Pour écouler ses vieux jours en toute sérénité, rien de mieux que l’investissement dans l’immobilier. Une fois la vie active terminée, les retraités ne veulent qu’une chose, finir leur ses vieux jours en toute tranquillité. Compte tenu de la diversité des dispositions présentes sur le marché, les personnes âgées n’ont qu’à choisir parmi elles selon ses besoins et son épargne. Faire les bons investissements Faut-il investir dans l’ancien ou dans le neuf ? La loi Pinel répond à cette requête en proposant une réduction d’impôt allant jusqu’à 21% pour ceux qui investissent dans le neuf, bien que l’offre soit sous conditions. Selon Philippe Crevel, le mieux est de miser sur la qualité du bien pour pouvoir mettre toutes les chances de son côté. En effet, la gestion du bien demande un important engagement, comme la recherche d’un locataire. Selon nos experts, la rentabilité locative avant impôt est de 6% en moyenne dans l’hexagone, bien que certaines villes dérogent à cette évaluation. Il faut noter que les taxes sur les revenus d’impôts fonciers dépendent du taux marginal d’imposition. Aussi, la rentabilité d’un achat de studio à Paris n’est que de 3.6% étant donné le prix du mètre carré. Les compléments de retraite Arrivée au stade de la retraite, force est de constater que le revenu mensuel baisse considérablement. Pour y remédier, le retraité dispose de deux options, soit le placement en SCPI soit la vente viagère. Dans la pratique, un retraité qui met en vente sa maison en viager bénéficie d’une allocation ponctuelle d’une rente tout en gardant l’usufruit de sa propriété jusqu’à son décès. Avec ou sans l’aide d’un courtier immobilier, ces personnes peuvent également choisir d’investir dans une SCPI. Avec un bon placement, elle est le complément de retraite trimestriel par excellence. En moyenne, un placement de 50 000 euros dans une SCPI rapporte 2 425 euros l’année. Vivre dans sa propre résidence pour moins de dépenses Le meilleur conseil qu’un courtier immobilier peut donner à une personne prête à investir serait d’acquérir une résidence principale en priorité. En effet, être propriétaire de son propre logement réduit les dépenses quotidiennes. Une étude sur les ménages de 2014 démontre que les dépenses liées au logement représentent 32.1% de leurs dépenses totales. Aussi le mieux pour un individu serait de pouvoir acquérir sa résidence avant son départ pour la retraite. L’observation crédit logement suggère que pour éviter que l’échéance du crédit immobilier ne tombe au-delà de l’âge de la retraite, l’âge idéal pour y souscrire est entre 40 et 45 ans.