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Plusieurs années après, l’incendie de la tour Grenfell à Londres continue de faire parler de lui. La preuve, le gouvernement britannique vient de remettre le sujet sur la table à travers un projet de loi. Celui qui devrait forcer les promoteurs immobiliers à assumer leur responsabilité dans le remplacement des revêtements dangereux qui ont décuplé l’embrasement.
Pour le Royaume-Uni, la nuit du 13 au 14 juin 2017 est désormais inscrite dans la liste des pires moments de l’histoire.
Inutile de préciser que l’incendie était particulièrement virulent. Non pas sans raison puisque d’après les constats, sa force a été décuplée par les composants utilisés pour former le revêtement posé sur cette installation.
Les impacts étaient ainsi considérables d’autant que des années après, ils continuent de plomber la vente et la location des biens construits avec des matériaux similaires. De quoi inciter le gouvernement britannique à chercher les moyens pour rectifier le tir en multipliant les dispositifs en notant que le dernier en date vise les promoteurs.
Comme susmentionné, le revêtement posé sur la tour Grenfell a joué pour beaucoup dans cet incendie de 2017 notamment à cause de ses principaux composants formés de plaque de polyéthylène et de composite d’aluminium.
Une situation qui est intervenue, alors qu’au Royaume-Uni, nombreux sont les logements qui ont été construits avec des matériaux similaires pour ainsi dire que depuis cet incident, les biens concernés sont intégrés dans la catégorie des appartements invendables et dangereux. De quoi, pénaliser des milliers de propriétaires qui se doivent de remplacer ce type de revêtement s’ils veulent renouer les liens avec la tranquillité et leur activité.
Des travaux de remplacement qui coûteront des milliards aux concernés selon un devis assurance habitation estimant les dépenses à 4 milliards de livres au total. Une raison suffisante pour inciter le ministre du Logement, Michael Gove à se prononcer en ces termes :
Les propriétaires innocents ne doivent pas porter le fardeau financier de ces problèmes.
Michael Gove
Il va sans dire que Michael Gove n’est pas uniquement d’avis pour alléger le fardeau des propriétaires. Pour cette raison, le gouvernement de Boris Johnson a décidé de monter d’un ton dans ses efforts en mettant sur pied un nouveau dispositif remplaçant le précédent qui, rappelons-le, mettait à contribution pour ces travaux les propriétaires de logements jusqu’à 18 mètres de hauteur. Au ministre du Logement de préciser :
Je peux confirmer aujourd’hui à la Chambre qu’aucun propriétaire vivant dans un immeuble de plus de 11 mètres ne subira jamais aucun coût pour réparer des revêtements dangereux.
Ainsi, le nombre de propriétaires exemptés devrait progresser considérablement selon ce membre gouvernemental faisant valoir que :
Nous allons assurer que ceux qui ont tiré profit et continué de tirer profit de la vente de bâtiments et matériels de construction dangereux doivent assumer la pleine responsabilité de leurs actions et corriger le problème.
Et d’ajouter :
Les promoteurs immobiliers doivent réparer leurs propres bâtiments.
De ce fait, ces derniers ont jusqu’à début mars prochain pour se préparer et faire le nécessaire pour assumer leur responsabilité. Ce délai dépassé, ils s’exposent à de lourdes pénalités.
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