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Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 30 septembre 2024 . Temps de lecture : 10 min
Vous envisagez de vous lancer dans l’investissement locatif ? Nous ne pouvons que vous y encourager : c’est aujourd’hui l’un des placements les plus sûrs, mais aussi les plus rentables. En contrepartie, il s’agit d’un risque à prendre… En effet, selon les professionnels de l’immobilier, les dettes locatives (défaut de paiement de loyer) concerneraient entre 3 et 5 % des locations. Un phénomène certes rare, mais si par malheur, vous deviez y être confronté en étant bailleur, mieux vaut être bien armé. C’est là qu’entre en piste l’assurance loyer impayé locataire (ALI).
Comme son nom l’indique, cette assurance couvre les bailleurs contre le risque d’impayés locatifs. Les arriérés de loyer sont ainsi pris en charge, tout comme les charges et taxes dues au titre de la location. La plupart du temps, elle inclut d’autres garanties, couvrant au minimum :
L’assurance loyer impayé locataire est souscrite – sous réserve d’éligibilité – en même temps que le contrat de bail. Elle vient en complément de l’assurance habitation, c’est-à-dire qu’elle se greffe tout simplement au contrat.
L’assurance loyer impayé n’est pas obligatoire, mais très fortement conseillée pour les propriétaires bailleurs.
Au moment de louer leur appartement ou leur maison, ils constituent un dossier permettant de connaître la solvabilité du locataire. Cependant, même avec une étude approfondie de ce dossier, vous ne pouvez pas savoir ce qu’il leur arrivera au bout de quelques mois ou quelques années. Un couple se séparant, un locataire perdant son travail… Différentes situations peuvent rendre les locataires insolvables.
Sans assurance loyers impayés ou en cas de défaillance du locataire, le propriétaire ne perçoit plus ses revenus. Or, cela peut être particulièrement préjudiciable pour lui.
S’il a souscrit un crédit, les loyers permettent de rembourser tout ou partie des mensualités. S’il compte sur les revenus locatifs pour obtenir un complément de retraite par exemple, la défaillance du locataire peut engendrer des difficultés financières. L’assurance des loyers impayés est donc une garantie financière permettant d’éviter une situation de surendettement pour les bailleurs.
Mais ce n’est pas tout : cette assurance offre différentes garanties. La garantie dégradations locatives permet d’obtenir une indemnisation pour les travaux à réaliser. Les meilleures assurances contre les loyers impayés ou les dégradations sont même susceptibles de vous indemniser pour la période de travaux si vous ne pouvez pas louer votre logement.
Enfin, la garantie loyers impayés la plus complète permet d’envisager les différents risques locatifs. Une prise en charge peut être offerte en cas de vacance locative le temps de trouver un locataire.
Pour vous assurer de bénéficier des meilleures garanties avec votre assurance loyers impayés, les points à étudier avant toute souscription sont les suivants.
Il peut s’agir ici des différentes solutions proposées par les assurances, à savoir :
Toutes ces garanties ne sont peut-être pas utiles. Par exemple, dans un secteur où la demande locative est très forte, le risque de vacance est plus faible, il n’est peut-être pas intéressant de payer plus cher pour bénéficier de cette garantie. La garantie des loyers impayés peut aussi prendre en charge des frais de justice (avocats, huissiers, experts). Certains contrats remboursent les frais d’expulsion (intervention d’un serrurier par exemple).
L’assurance d’un risque ne garantit pas nécessairement une indemnisation optimale. En effet, le contrat peut exclure certains risques ou appliquer des plafonds.
L’assurance loyers impayés exclut par exemple le risque si vous n’avez pas étudié correctement le dossier du locataire concernant sa solvabilité.
La compagnie d’assurances peut imposer un délai de carence ou de franchise. Pendant cette période, vous ne serez pas couvert. De même, elle est susceptible d’appliquer des plafonds d’indemnisation, ou encore de durée de prise en charge. Le délai d’indemnisation est aussi à prendre en compte avant toute souscription d’une assurance.
Tous les assureurs ne proposent pas une GLI au même tarif. Comparez bien à conditions égales le montant facturé. Il représente un pourcentage du loyer. Trouvez le parfait compromis entre assurance protectrice en cas de problème et respect de votre budget pour ne pas trop réduire la rentabilité de votre investissement locatif.
Souscrire à une garantie loyer impayé demande quelques conditions, dont la solvabilité du locataire occupant le logement. Pour cela, les assureurs demandent généralement un locataire ayant un CDI, mais aussi que son « taux d’effort » ne dépasse pas les 33 %.
Le locataire devra ainsi justifier ses revenus par le biais des fiches de paie, de contrat de travail et d’avis d’imposition. Seul dans le cas spécifique d’un étudiant considéré comme « solvable », le propriétaire peut demander une caution en sus. Pour prendre effet, la GLI demande 2 ou 3 mois de carence après souscription.
Pour se couvrir elles-mêmes, en principe, les sociétés d’assurance étudient de près :
Bien sûr, pour un même profil, chaque assureur adapte son offre comme il l’entend.
Pour protéger au mieux leurs intérêts, les propriétaires bailleurs peuvent être tentés de cumuler les garanties.
Le bailleur peut être dans son bon droit en demandant une garantie à son futur locataire, comme une caution bancaire, caution personne physique, garantie Visale via Action Logement, notamment. Cependant, il ne l’est plus à partir du moment où il a souscrit une ALI. Le cas échéant, cette assurance prime sur l’acte de cautionnement. Ce dernier devient donc nul et non avenu. En clair, la caution est dispensée du paiement de la dette.
Il existe toutefois, une exception à la règle : le locataire est un apprenti ou un étudiant. Dans ce cas (et seulement dans ce cas), le bailleur peut cumuler une assurance loyer impayé et une garantie apportée par le locataire.
La cotisation se calcule à partir du montant du loyer annuel. Ainsi, plus le loyer est élevé, plus le coût de l’assurance sera important. Pour trouver le contrat au meilleur rapport service/tarif, il est nécessaire de prendre le temps de comparer les offres. Voici les principales variables à observer :
Une assurance collective – souscrite par l’intermédiaire d’une agence immobilière – est généralement moins coûteuse qu’une assurance individuelle. Il est question de 1,5 à 3 % du montant du loyer annuel dans le premier cas. Puis de 2 à 5 % dans le second, soit jusqu’à 3,5 % d’économies sur votre cotisation annuelle ! Selon le prix du loyer, cela peut vite chiffrer… Si vous confiez votre gestion locative à une agence, cela vaut donc la peine de vous renseigner.
Les propriétaires souhaitant se protéger contre les loyers impayés peuvent souscrire une assurance spécifique pour limiter les risques. Cependant, cette protection ne doit pas forcément représenter un coût important. Vous pouvez également opter pour une assurance habitation pas trop chère qui inclut une garantie contre les loyers impayés, offrant ainsi une solution complète et économique pour sécuriser vos revenus locatifs.
Le simple non-paiement d’un loyer ne suffit pas à mettre en route cette garantie. Le bailleur doit engager une procédure préalable, tenant en trois étapes.
Par mail ou oralement (en l’appelant par téléphone ou directement en personne), alertez votre locataire de son retard paiement. Le plus tôt sera le mieux : faites-le dans les jours suivant l’échéance de loyer. C’est l’occasion de prendre la mesure de la situation et de convenir d’une solution amiable. S’agit-il d’un oubli ? De difficultés financières passagères ? Vous pouvez toujours lui accorder le bénéfice du doute en lui accordant un délai de paiement supplémentaire.
Le locataire n’a pas respecté le nouvel engagement pris ou n’a pas tout simplement pas donné suite à votre premier avertissement ? Qu’à cela ne tienne ! Cette fois, officialisez les choses en lui faisant parvenir une lettre recommandée avec accusé de réception. Dans ce courrier, mettez-le en demeure de régler sa dette locative dans les plus brefs délais, sans quoi, vous seriez dans l’obligation d’engager une procédure à son encontre.
La mise en demeure n’a pas produit l’effet escompté ? Alors, il sera nécessaire de signifier à votre locataire un commandement de payer. Cet acte officiel est délivrable par voie d’huissier. Celui-ci vous permettra d’activer votre assurance loyer impayé locataire ! Pour ce faire, il vous suffit d’en faire parvenir une copie à votre compagnie d’assurances.
Les cas de non paiement de loyer ne sont pas rares dans le cadre de la location. Des précautions d'usage s'imposent.
Un loyer impayé ou un simple retard de paiement sont des situations auxquelles tout propriétaire de local s'est vue confronté. Celles-ci peuvent mettre un propriétaire, aussi modeste qu'il soit, dans de grandes difficultés. La caution n'est pas toujours d'une grande aide contre ce type de situation.
Ainsi, le propriétaire peut avoir recours à une assurance ou demander une garantie à son locataire en guise de protection. Pour les étudiants, à part l'assurance étudiant, la Caution locative étudiante est une garantie de paiement en cas d'impayés ou de dégradations.
La souscription à une assurance habitation propriétaire est conseillée pour un propriétaire se servant du loyer pour rembourser un crédit ou pour qui le loyer représente une part importante de ses revenus. La garantie loyer impayé, non cumulable au système de caution, a généralement un prix assez élevé (jusqu’à 5 % du loyer TTC). Le contrat de base comprend a minima le recouvrement des loyers impayés, les charges et taxes comprises, en cas de défaillance du locataire.
Selon les contrats, cette garantie remboursera 60 000 à 100 000 euros, sur une période qui peut varier de 12 à 24 mois ou sur une période illimitée. Les frais de notaire sont également pris en charge en cas de litige. À ce socle de contrat peut s’ajouter des options comme le remboursement des frais de détérioration du logement après le départ du locataire. Toutefois, le bailleur recevra le premier versement de l’assureur seulement après 3 mois environ à partir du premier terme impayé.
En France, on estime qu'environ 3% des loyers sont impayés chaque année. Véritable crainte pour les propriétaires, les loyers peuvent toutefois être couverts grâce à la Garantie Loyers Impayés proposée par certains assureurs. Si vous aussi, vous êtes propriétaire et vous souhaitez vous prémunir face aux loyers impayés, suivez ces 3 étapes essentielles pour passer l'année en toute tranquillité.
La Garantie Loyers Impayés (GLI) a 3 principales fonctions :
En outre, la GLI présente de nombreux avantages, non négligeables. Voici une liste non exhaustive :
Soyez vigilant, les conditions de couverture varient d'un assureur à l'autre. Il est donc nécessaire de bien analyser l'ensemble des garanties présentes sur le marché.
Deux critères doivent retenir toute votre attention avant de souscrire une assurance de loyers impayés. Il s'agit de la durée de prise en charge et des montants d'indemnisation. En effet, il est impératif de souscrire une GLI avec un délai de prise en charge supérieur à 15 mois (cela correspond à la durée moyenne des procédures d'expulsion). À titre d'exemple, la Maif et SollyAzar en proposent une de 30 mois.
Aussi, avant de souscrire une GLI, il est recommandé d'analyser le montant de votre loyer pour choisir une assurance avec un montant d'indemnisation maximal répondant au mieux à vos besoins. Ainsi un assureur comme Interassurances propose-t-il une GLI avec un plafond de loyer à 3 500 euros.
Enfin, prévoyez une assurance comprenant plusieurs services (frais de remise en état du logement, protection juridique, frais de contentieux, etc.). Une mauvaise surprise peut très vite arriver.
Les assureurs peuvent vous refuser la souscription d’une assurance loyers impayés si votre locataire est non éligible. Pour les nouveaux locataires ou en place depuis moins de 6 mois, plusieurs critères sont pris en compte : le montant des revenus, la nature du contrat de travail, la présence d’impayés par le passé, etc. De ce fait, un assureur pourra facilement vous octroyer une assurance de ce type si votre locataire possède un haut revenu en CDI.
Les locataires étant présent depuis plus de 6 mois, quant à eux, ne doivent présenter aucun retard de paiement ni incident. Soyez cependant vigilant, ces critères varient fortement selon l'assureur. Il est donc important, comme l'indique le directeur assurance de Meilleurtaux.com, Christophe Triquet, " de contrôler que les critères requis ne sont pas totalement irréalistes ".
Vous avez maintenant toutes les cartes en main pour souscrire l'assurance loyers impayés la plus adaptée à vos besoins.
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Écrit par La rédaction Meilleurtaux
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