En juin 2021, les tarifs des logements anciens ont continué leur ascension. Une croissance constatée un peu partout auprès des villes françaises et qui est essentiellement portée par les transactions liées aux appartements selon les analystes à la source de ce constat en mettant en exergue les indicateurs pointant dans ce sens dans un rapport publié récemment. Dans les médias, sur des plateformes spécialisées voir un site comparateur d’assurance habitation, différents rapports démontrent que la tendance est à la hausse depuis des années en ce qui concerne le tarif des logements dans l’ancien. En ce sens, une publication récente a démontré que sur la période de juin 2020 à juin 2021, cet accroissement a atteint la barre des 4,1%. En hausse de plus de un point par rapport en 2019 et 2020 selon les analystes à la source de ces données en pointant du doigt le responsable à la source de cette croissance, le prix des appartements qui a pratiquement explosé. La croissance était bien au rendez-vous En France, les observateurs s’accordent à dire que la tendance est à la hausse depuis plusieurs saisons en ce qui concerne les tarifs des logements anciens. Et aux dernières nouvelles, tout indique que le système n’est pas près de faire machine arrière étant donné la croissance de 4,1% enregistrée sur la période de juin de l’année dernière à juin 2021. Soit, à un niveau encore plus élevé que les 3,4% enregistrés en 2019 et les 3,1% affichés en 2020 selon les analystes à la source de cette information qui n’ont pas hésité pour dire que : La hausse reste rapide et l’offre nouvelle se présente sur le marché à des prix toujours en augmentation. Dans les détails, ces experts ont toutefois tenu à préciser qu’en glissement mensuel, cet accroissement était limité à 3,1% après une chute de 4,7% constatée auprès de la majorité des grandes villes françaises sur les trois mois précédents avec Brest, Grenoble et Rennes en tête de liste. Le prix des appartements y joue pour beaucoup Dans leur rapport, ces analystes ont démontré que cette croissance tarifaire constatée auprès des logements anciens était essentiellement portée par le prix des appartements qui ont fait un bond considérable en s’élevant à 6,4% en juin en glissement annuel. À un niveau record selon ces spécialistes faisant remarquer : Il s’agit d’un rythme inconnu depuis dix ans. Ce qui n’est cependant pas le cas pour les maisons individuelles qui ont bien fait de mettre le pied sur la pédale des freins en accusant une chute entre avril et juin expliquant la moyenne de croissance de 4,1% susmentionnée. Pour en revenir aux appartements, ces experts ont tenu à souligner que cette hausse tarifaire concerne la plupart des métropoles de France en précisant que ce phénomène touche 83% des communes de plus de 100 000 habitants et 73% de celles de plus de 50 000 enregistrant une hausse annuelle dépassant la barre des 5%. Une augmentation qui passe à 15% pour Strasbourg, Metz et Angers désormais placés sur les plus hautes marche des classements dans ce domaine en laissant Paris, le tenant du titre à plusieurs points en dessous à 5,9%