Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’on trouve une nouvelle pollution alarmante en France, causée par des particules ultrafines. Outre le dioxyde d’azote, la concentration de ces particules semble être élevée à Paris et sur les axes routiers. De même que les autres polluants, l’OMS préconise un suivi consciencieux de ces particules. En France, Airparif a réalisé une campagne de mesure concernant les particules ultrafines aux alentours de différents axes routiers franciliens. Il s’agit des dispositions effectuées auprès de 3 axes routiers de l’Île-de-France avec un résultat beaucoup plus élevé de particules. Cela peut être causé par divers facteurs, à déterminer ultérieurement. Cette association va également mettre en place cette initiative afin d’estimer la concentration des particules aux alentours des aéroports. Différentes particules fines, leurs tailles, semblables à celles des virus, ont la possibilité de s’introduire profondément dans le corps humain. Plus la taille des particules est petite, plus elles influencent sur la santé. Une comparaison sur les particules ultrafines selon les zones En juillet 2019, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’environnement (Anses) a effectué des études sur ce polluant dans un avis publié. De plus, selon la campagne d’Airparif, la concentration des particules ultrafines varie selon les zones. À compter de 1 000 particules/cm3, le niveau de concentration est encore modéré. À partir de 10 000 particules/cm3, cela commence à être inquiétant. Si l’on prend exemple, le nombre de particules est de 53 300 par centimètre cube d’air sur une route nationale. Près de 23 200 particules/cm3 ont été mesurées aux alentours d’un boulevard périphérique parisien. À proximité de l’axe urbain, 16 600 particules ultrafines/cm3 d’air ont été retrouvées. Pour les zones un peu en retrait, le nombre de particules relevés atteint les 9 200 centimètres cube d’air. Même les lieux éloignés de la pollution sont touchés par ces particules malgré le fait que le nombre soit inférieur. Il faut savoir également que la prolifération des particules ultrafines varie également selon les saisons. Pendant les périodes hivernales, les zones urbaines présentent une concentration de particules de 2 à 3 fois plus qu’en rural. Face aux risques pour la santé, il est important d’avoir une bonne assurance. Le rapport cotisation/couverture dépend cependant de divers critères, d’où l’intérêt de recourir à un comparateur mutuelle. Des points essentiels sur les particules ultrafines Les informations récoltées jusqu’à présent sont insuffisantes pour déterminer les conséquences que les particules fines peuvent engendrer. Que ce soit sur le plan politique public ou médical, la dégradation occasionnée par ces particules n'est pas mentionnée. De plus, l’on n’évoque aucun suivi concernant la pollution causée par ces particules. Toutefois, les études réalisées par l’Anses affirment que les particules ultrafines sont dangereuses, dans le sens où elles sont : […] encore plus nocives que les particules de taille supérieure, car elles pénètrent plus profondément dans l'organisme. Elles s’attaquent au corps humain bien plus vite que les particules fines. D’ailleurs, l’agence précise également que ces particules : […] confirment le lien avec des atteintes respiratoires et cardiovasculaires et les décès anticipés. Si le nombre d’automobiles est le premier accusé pour l’accumulation de ces particules, d’autres éléments sont à prendre en considération. Airparif évoque entre autres le fonctionnement du moteur, la congestion routière et le type de véhicules en circulation.