Economisez jusqu'à 70%
sur votre assurance
de prêt avec
Meilleurtaux
jusqu'à -60%*
sur vos mensualités
avec le rachat de crédits
Comparez gratuitement
les taux en 5 minutes
TAEG fixe minimum pour un crédit de 13 000€ sur 12 mois, hors assurance. Mensualités de 1089,15€ soit un coût total de 13 069,80€
Prêt professionnel
Nous vous orientons vers la meilleure solution
selon votre profil et votre besoin
Vous recherchez la meilleure Banque ?
Le comparateur de tarifs bancaires de meilleurtaux.com
Alors que les négociations concernant le reste à charge zéro ont officiellement débuté la semaine dernière entre le gouvernement et les responsables des mutuelles, la Fédération nationale indépendante des mutuelles a exprimé ses doutes quant à l'avenir du projet envisagé.
Même si elle n'a pas été conviée à la première concertation visant à mettre fin au reste à charge des patients en matière de soins optiques, dentaires et d'audioprothèses, la FNIM, regroupant les petites et moyennes mutuelles, vient de donner son avis sur le projet d'Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé.
C'est donc dans un communiqué que la FNIM a donné son avis sur les propositions du gouvernement en ce qui concerne la mise en place du reste à charge zéro. Elle s'intéresse principalement au " partage de responsabilités et des efforts " annoncé par les pouvoirs publics. En effet, pour arriver au reste à charge zéro, Sécurité sociale et mutuelles devront faire des efforts en matière de prises en charge.
Pourtant jusqu'ici, la Sécurité Sociale prévoit uniquement d'augmenter son budget en ce qui concerne les soins dentaires. Un " effort " insuffisant, selon la FNIM. De plus, elle met à mal les efforts des autres acteurs concernés par les soins de santé des Français : professionnels de la santé et fabricants des prothèses dentaires ou auditives qui devraient aussi mettre la main à la pâte pour faire aboutir un tel projet.
Tandis que la ministre de la Santé a demandé expressément aux complémentaires santé de ne pas répercuter le coût du RAC 0 sur les cotisations, Philippe Mixe, président de la FNIM constate qu' " Aujourd'hui, il semble bien que les seuls acteurs à qui on demande de mettre la main à la poche sont les complémentaires, donc leurs adhérents ! ".
Il conclut en se montrant sceptique sur l'économie générale du projet tel que présenté pour l'instant... en attendant la suite des négociations.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.