Actuellement, l’État français accorde une importance particulière à la restauration des logements à l’énergie renouvelable. De ce fait, les offres d’accompagnement de cette réalisation se multiplient sur le marché. Par le biais de soutien financier, les éco-prêts se trouvent en ce moment sous les feux des projecteurs pour inciter chaque ménage à souscrire. Toutefois, les conditions sont fréquemment révisées par le gouvernement. L’environnement demeure une préoccupation considérable pour le gouvernement français. En effet, les autorités de l’Hexagone ont encore procédé à des mises à jour des conditions de prêts à la rénovation énergétique des habitats mais aussi celles liées à l’assurance maison. Apparemment, l’État n’a jamais été plus impliqué dans de telles initiatives de restauration de logement qu’aujourd’hui. Les révisions faites comportent alors des points forts notamment pour réduire les multiples propositions renfermant des actes d’escroqueries à l’instar des primes à 1 euro. Cependant, elles représentent aussi des faiblesses non négligeables en termes de stipulations. Les dernières actualisations ont été rapportées en début de juillet dernier. Jouissance de plusieurs offres en simultanée Pour augmenter le rythme de la restauration des logements à l’énergie verte, trois prêts constituent les leaders parmi tant d’autres sur le marché. D’ailleurs, il est tout à fait possible de souscrire simultanément à ces derniers. Les mises à jour ont été appliquées depuis juillet dernier. Tout d’abord, les certificats d’économies d’énergie, dédiés sans exception aux ménages, ont été révisés en termes de valeur empruntée qui a été divisée par deux à six. Ensuite, pour le cas d’éco-PTZ, offrant une aide budgétaire s’élevant à 7 000, voire jusqu’à 30 000 euros, aucun changement n’a été procédé à la date des mises à jour. Enfin, MaPrimeRénov’, le prêt proposé par l’Agence nationale de l’habitat, a commencé à s’ouvrir aux possesseurs et bailleurs avec un tarif déterminé selon le type de rénovation et du revenu fiscal de la résidence principale. D’ailleurs, les souscripteurs peuvent se procurer d’une autre prime secondaire allant de 500 à 1 500 sur passage à l’étiquette énergétique. Cette offre a été financée à hauteur de 2 milliards d’euros, notamment pour répondre aux souscriptions, ayant connu une hausse considérable. Mis à part ces crédits, les autorités décentralisées en proposent aussi d’autres aux clients. Une illustration parfaite est le cas de Fonds Air-Bois. Visible sur le site de l’Agence nationale pour l’information sur le logement, ce prêt attribue au ménage une somme à la hauteur de 1 000 euros pour une modification d’installation en énergie renouvelable. Les conditions renforcées Les exigences sont de taille. En effet, pour permettre de bénéficier des éco-prêts, les autorités locales requièrent l’usage d’équipements alimentés aux ressources renouvelables et éventuellement à l’électricité. À titre d’exemples, la chaudière à énergie verte et la ventilation mécanique contrôlée sont considérables. Il s’agit surtout de se débarrasser du fioul au profit du gaz. Toutes les conditions seront alors évaluées par un spécialiste approuvé. Par ailleurs, le gouvernement met en garde les escrocs qui profiteraient des « coups de pouce » à 1 euro. Une offre de réduction du coût des matériels à haute performance énergétique, qui a été définitivement supprimée d’après les dernières mises à jour. Quoi qu’il en soit, recourir à l’énergie renouvelable profiterait toujours aux ménages et surtout à l’environnement. Les éco-prêts sont bien placés pour ce faire. Il s’avère alors indispensable de les promouvoir pour élargir la distribution.