En matière de logement, la crise sanitaire, avec les confinements, a changé la perception des ménages français. Notamment par rapport à l’habitation et l’aménagement territorial, cette modification favorisera la révolution que les villes connaissent en ce moment. Signe de cette transformation, les écoquartiers deviennent de plus en plus nombreux dans l’Hexagone par exemple. D’après les experts, l’avis des résidents est devenu indispensable dans la conception de la ville et du logement du futur. De cette manière, l’on satisfait au mieux leurs expectatives. Sur ce plan, au même titre que beaucoup d’autres, la diversité a acquis un caractère primordial. Ceci à l’envers de plusieurs dizaines d’années de fabrication. Des périodes qui, quoique fonctionnelles, semblent à l’heure actuelle trop reculées des enjeux les plus urgents du présent et normalisées. D’ailleurs, la question autour de l’habitation de l’avenir est devenue déterminante après des vagues de confinements dus au Covid-19. Ces épisodes l’ont placée au centre des vies sociales, professionnelles et personnelles des Français. La cohabitation intergénérationnelle se développe chez les étudiants Devant cette situation, la réinvention du logement se passe à la mesure du quartier, de la résidence ou de l’immeuble. Les collectivités essaient de garder en vue la nécessité de partage, de rencontre et de mixité sociale. Leur objectif : éviter de faire de l’habitat un endroit de l’entre-soi ou du soi. Une croissance des écocités ou des écoquartiers se produit également pour soutenir : Les mobilités contribuant à une réduction des émissions de carbone ; La diversité de l’écosystème ; Les réseaux d’énergie au niveau local. Par ailleurs, pour prise de repères conformes à leur nouvelle vie ou pour des motifs pécuniaires, plusieurs étudiants choisissent : La colocation à projets ; La cohabitation intergénérationnelle ; La location chez l’habitant. Pour bien protéger le logement concerné par ces dispositifs des risques éventuels, le propriétaire peut effectuer une simulation assurance habitation. Cette démarche aide énormément dans la recherche de la meilleure offre adaptée à chacun des besoins. Les séries de confinement ont aussi entraîné des changements qui, pour certains, persisteront dans le futur. C’est par exemple le cas du travail à distance. Beaucoup d’employés continuent de préférer, à modeste proportion, ce mode d’organisation. Vers une habitation plus spacieuse Les aires domestiques des ménages sont donc tenues de tendre vers plus de partage et de flexibilité. Le tout dans le maintien de leur confort, qui demeure essentiel pour les habitants. Pour ces habitants, des comparateurs d'assurance habitation sont disponibles pour profiter au maximum de son logement. Cependant, le logement s’avère aussi porteur d’enjeux structurants pour le groupe à l'égard : De la mixité de la société ; Des moyens de transport ; De l’écologie. Au même titre que les hauteurs de plafonds, la superficie des logements a été diminuée au fil des années. Un effet de la sévérité des réglementations des plans d’urbanisme et du manque d’espace dans les communes de grande taille. Dans ces zones, les professionnels de la construction devront désormais développer des solutions pour satisfaire un besoin progressif de place. Avant l’année du Covid, la population urbaine pouvait accepter la faible surface du logement pour une vie culturellement et socialement riche. Cependant, après s’être cloîtré chez soi pendant plusieurs mois, l'on a constaté des changements. Le manque d’espace est souvent devenu intolérable, provoquant ainsi un exode vers les milieux ruraux et les communes moyennes. Bien qu’encore compliquées à évaluer, les retombées en matière de déplacement pendulaire et d’aménagement territorial pourraient s’avérer considérables.