La population étudiante est une cible à part entière dans le cadre des investissements immobiliers. Le marché semble stable si l’on en croit les chiffres publiés par le site LocService. Ce dernier a publié les tendances de ce secteur. Ce qui a mené à des résultats présentant son fonctionnement au cours des six premiers mois de cette année. Les échanges immobiliers ne présentent rien d’alarmant jusqu’ici. C’est du moins la conclusion de l’étude dirigée par un spécialiste qui se focalise sur la première moitié de 2019. Cependant, des nuances très claires sont mises en évidence à travers la disparité des choix des locataires. Principalement, la zone géographique et le loyer sont les principaux facteurs qui ont de véritables impacts sur les loueurs. C’est la raison pour laquelle les parts de marché présentent de grandes différences entre elles. Par surcroît, les étudiants accordent, incontestablement, de l’importance au mode de vie permis dans chaque cas. Par-dessus tout, la finance l’emporte sur tous les autres critères. Les appartements simples sont les plus plébiscités La collecte d’informations réalisée par le prestataire LocService a permis de connaître la préférence du marché vis-à-vis de toutes les propositions commerciales existantes. En somme, l’analyse est portée sur 300 demandeurs d’habitation aux fins de découvrir les faits correspondant aux débuts de l’année. Parmi tous les dossiers, ceux liés au studio et à l’appartement T1 sont les plus nombreux. En effet, 62% des solliciteurs réclament ce genre de logement. Cet engouement n’est pas nouveau puisque ce type de contrat a connu le même succès l’an dernier. Le meublé séduit aussi un bon nombre d’appelants. Plus précisément, 48% des demandes sont orientées dans ce sens. Le classement est suivi par la colocation. La chambre de type T2 détient également une part considérable qui est fortement composée des locataires vivant en couple ainsi que de ceux qui ont le moyen. Quant aux autres catégories, elles forment les 5% restant. La situation financière des étudiants conditionne leur choix Dans le cadre de la recherche, il a été constaté que le revenu des signataires influe considérablement sur la demande. C’est pourquoi le loyer fait l’objet du critère le plus prôné. Cependant, la nature du domicile n’a aucun effet sur l’envergure de l’assurance habitation etudiant à souscrire. Si les logements indépendants ne sont pas les plus choisis, ils sont, par contre, les moins coûteux. Ce qui permet à un jeune de limiter ses dépenses à 323 euros. En parallèle, l’offre la plus dispendieuse concerne la colocation avec un bail à 365 euros. Il faut savoir que la valeur d’un logis change d’une zone à une autre. Dans ce sens, Châteauroux est la plus accessible en n’exigeant que 331 euros alors que les appartements dans les grandes villes sont plus onéreux. Pour preuve, Chartres affiche une moyenne de 394 euros, Tours le suit avec 388 euros. Mais Orléans reste le plus cher avec 408 euros. En plus du prix de la location, les facteurs reliés au confort sont considérés. En effet, le louage en commun gagne du terrain bien qu’elle fasse partie des plus chers. Malgré tout, elle est favorisée pour ses avantages axés sur le style de vie. Il en est de même pour les pièces proposées au sein des résidences communes.