Ces deux derniers mois, au moins 500 individus ont succombé des suites du Covid-19 en Israël. Un pays dans lequel le chef d’État refuse l’instauration de nouvelles restrictions sanitaire pour lutter contre la maladie. L’idée d’une limitation des regroupements a notamment été refoulée. La position du dirigeant serait motivée par des raisons éducationnelles et économiques. En Israël, l’accès à certains évènements et commerces est aujourd’hui soumis à la présentation d’un Pass vert. Un dispositif décerné aux individus pouvant justifier d’un test Covid-19 négatif, d’un rétablissement à la maladie ou d’une immunisation. Relativement à cette dernière, l’octroi du Pass vert est conditionné à l’inoculation de rappel de vaccination. Cette opération doit s’effectuer 6 mois après l’injection de la 2e dose de sérum anti-coronavirus. Passé ce délai, le sésame ne sera pas attribué. Dès le 3 octobre prochain, celui-ci sera exigé aux enseignants aux portes des écoles. Sur le territoire hébreu, cette date signe la rentrée des cours pour une semaine complète après les vacances. Opposition à des restrictions des rassemblements Le 27 septembre 2021, Nachman Ash s’est adressé aux caisses d’assurance maladie et les responsables hospitaliers vis-à-vis du Pass vert. Le DG du ministère israélien de la Santé a précisément fait une annonce concernant les individus qui en sont dépourvus. D’après lui, l’accès aux soins doit toujours être garanti, même à ces derniers. Cette déclaration intervient alors qu’en Israël : Environ 3 millions d’habitants ont été inoculés d’une 3e dose de rappel de vaccin anti-Covid ; Approximativement le double a profité d’une première injection minimum. Le Premier ministre local, Naftali Bennett, aurait récemment encouragé les caisses d’assurance-maladie à se focaliser sur la promotion de l’immunisation. Un groupe consultatif de l’Exécutif aurait, lui, appelé les ministres à revoir leur stratégie pandémique en s’axant davantage sur : Les restrictions des regroupements ; La diminution de la morbidité. Le 25 septembre 2021, Naftali Bennett se serait exprimé sur ces deux points susmentionnés. Le Premier ministre israélien aurait indiqué que les restrictions à l’étude sur les regroupements fragiliseraient l’économie. Pourtant, de telles mesures n’aboutiraient pas à la diminution du taux de morbidité, aurait-il lancé. Une décision utile pour la protection l’économie D’après un site local d’information, le dirigeant a avancé que la politique de l’Exécutif repose sur : […] Celle d’un Israël ouvert parallèlement à une guerre implacable et sophistiquée contre le virus. Pas de quarantaine, pas de confinement, pas de nouvelles restrictions, ce qui serait la chose la plus facile à faire, mais des solutions. Il aurait soutenu que sa pensée va aux malades du Covid-19 : […] Chaque personne hospitalisée est un crève-cœur, mais je pense aussi à l’économie, à l’éducation, aux parents qui doivent travailler et aux enfants qui doivent apprendre. Depuis le commencement de la crise sanitaire en Israël, 7 684 décès ont été imputés au coronavirus. Depuis début septembre 2021, 593 morts ont été attribués à des complications relatives au Covid-19. C’est le deuxième mois d’affilé pendant lequel au moins 500 personnes ont trépassé. En août, 609 individus ont perdu la vie d’une forme sévère de la pathologie.