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Si l’on ne tient pas compte des hépatites virales et des cancers digestifs, les maladies de l’appareil digestif sont des pathologies fréquentes touchant de nombreuses personnes, particulièrement celles qui sont âgées.
Dans l’Hexagone, 29% des Français âgés de plus de 65 ans en souffrent. Les maladies digestives comptent pour 10% des motifs de consultation en médecine générale. Elles sont par ailleurs la cause de 10% des hospitalisations en service de soins aigus.
La prévention de certaines pathologies du système digestif est possible. Pour cela, il est indispensable de prendre soin de son appareil digestif en suivant quelques conseils qui seront exposés ultérieurement.
En matière d’assurance emprunteur, les maladies digestives sont considérées comme des risques aggravés par la grande majorité des assureurs. La souscription d’une assurance est ainsi soumise à certaines conditions spécifiques.
La quasi-totalité des compagnies d’assurance estiment que les maladies de l’appareil digestif représentent un risque aggravé. Leurs solutions d’assurance sont par conséquent assorties d’une surprime ou présentent des exclusions dans les garanties qui varient selon le risque auquel la maladie les expose.
Pour bénéficier du meilleur tarif et de la meilleure couverture, il est nécessaire de tirer profit de la concurrence entre les différentes enseignes. Les grilles de tarification peuvent en effet varier considérablement d’un assureur à un autre. Une comparaison des différents prix permet la réalisation d’économies importantes.
Important Les assureurs externes sont à privilégier étant donné que les contrats de groupe des banques sont dorénavant loin d’être compétitifs en termes de tarif, mais aussi en termes de couverture.
Il est utile de souligner que depuis l’entrée en vigueur de la loi Hamon en 2014, l’assuré qui a souscrit une assurance emprunteur a la possibilité d’en changer à tout moment. Cette substitution se fait sans frais si elle est effectuée pendant la première année suivant la date de signature de l’offre de crédit immobilier.
Pour les personnes souffrant de maladies digestives, la souscription d’une assurance emprunteur passe par une déclaration de leur pathologie dans un questionnaire médical. Pour estimer le risque auquel l’assureur sera exposé, ce dernier exigera des informations supplémentaires sur la maladie de la personne.
La compagnie d’assurance se renseignera notamment sur le traitement qu’elle suit ou demandera les comptes-rendus de ses hospitalisations s’il y en a eu. Le souscripteur sera en outre soumis à des examens médicaux complémentaires pour une évaluation et une appréciation de son état de santé par les médecins de l’assureur. C’est au bout de ce processus que celui-ci décide de couvrir ou non le souscripteur.
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Les maladies digestives regroupent l’ensemble des pathologies qui attaquent le système gastro-intestinal (œsophage, estomac, duodénum, intestin grêle, gros intestin et rectum). Si certaines d’entre elles sont bénignes (gastro-entérite, diarrhée, constipation, brûlures d’estomac, etc.), d’autres sont plus sévères (hépatites, ulcère de l’estomac, cancer du foie, etc.).
Couramment appelée « grippe intestinale », la gastro-entérite est une infection inflammatoire du système digestif pouvant causer de la nausée, des vomissements, des crampes abdominales, de la diarrhée… Généralement de courte durée, l’affection n’est pas sévère et disparaît au bout de 3 jours maximum.
Dans la majorité des cas, la gastro-entérite est d’origine virale. Elle peut toutefois être causée par des bactéries ou autres micro-organismes tels que les amibes qui sont souvent contractées en consommant de l’eau ou des aliments contaminés.
Plutôt un symptôme qu’une maladie, la diarrhée est une affection fréquente du système digestif. Elle se caractérise par une émission de selles plus importante (plus de 300 grammes par jour) et plus fréquente (plus de 3 selles par jour) qu’à l’habitude. Les selles évacuées sont généralement de consistance liquide, mais certaines fois, elles sont molles, accompagnées de glaires ou de sang.
Le plus souvent, la diarrhée est due à une intoxication ou une intolérance alimentaire.
Pouvant être occasionnelle (lorsqu’elle survient lors d’un voyage, d’une grossesse, etc.) comme chronique (lorsque le problème persiste depuis au moins 6 mois), la constipation désigne un retard ou une difficulté à déféquer. Les selles évacuées sont souvent dures et de petit volume. Selon la personne, la fréquence d’émission des selles peut aller de 3 fois par jour à 3 fois par semaine.
Quand les selles stagnent durablement dans le côlon, on parle de constipation de transit ou de progression. Par contre, si celles-ci s’accumulent dans le rectum, il s’agit d’une constipation terminale ou d’évacuation. À noter qu’une personne peut souffrir de ces 2 problèmes en même temps.
La constipation résulte fréquemment d’une mauvaise habitude alimentaire, de l’inactivité physique et du stress.
Pour assurer le processus de digestion, l’estomac secrète des substances très acides qui viennent dissoudre les aliments. Il peut arriver qu’une partie de ce contenu gastrique acide remonte dans l’œsophage, entraînant une inflammation de celui-ci. C’est ce qu’on appelle reflux gastro-œsophagien. L’inflammation entraîne des sensations de brûlure et d’irritation au niveau de l’estomac.
Le reflux est généralement la conséquence d’une anomalie du fonctionnement du sphincter œsophagien inférieur (anneau musculaire séparant l’œsophage de l’estomac). Le sphincter se présente comme une valve protectrice qui, en temps normal, empêche le passage du contenu acide de l’estomac dans l’œsophage, ne s’ouvrant que pour faire descendre les aliments ingurgités.
Une occlusion intestinale se caractérise par un arrêt partiel ou complet du passage des matières fécales et des gaz dans une partie de l’intestin. Le blocage peut s’occasionner dans l’intestin grêle ou dans le côlon. Douleurs abdominales, ballonnements, nausées, vomissements… autant de troubles causés par une occlusion intestinale.
Selon leurs causes, on distingue les occlusions mécaniques des occlusions fonctionnelles. Pour ce qui est des premières, elles sont essentiellement dues à des adhérences intestinales (tissus fibreux de la cavité abdominale qui s’ils se lient à la paroi de l’intestin engendrent un blocage), des hernies ou des tumeurs.
Quant aux occlusions fonctionnelles, elles résultent d’un dysfonctionnement des intestins qui ne parviennent pas à faire passer les matières et les gaz même s’il n’y a pas d’obstacle physique. On parle dans ce cas d’iléus paralytique ou de pseudo-obstruction intestinale.
L’hépatite fait référence à toute inflammation du foie qui génère différents symptômes selon la personne atteinte et la cause de l’infection. Si la maladie ne se résorbe pas au-delà de 6 mois, on parle d’hépatite chronique. Dans le cas où le foie est complètement endommagé, une transplantation hépatique est la seule solution pour y remédier.
L’hépatite peut être d’origine virale, causée par les virus A, B, C, D, E et G. Dans les pays développés, les trois premiers virus sont essentiellement les responsables. L’hépatite peut toutefois être non virale, provoquée par une intoxication médicamenteuse ou chimique. On parle dans ce cas d’hépatite toxique. Néanmoins, l’hépatite non virale peut aussi découler de pathologies touchant le foie (stéatose hépatique et hépatite auto-immune).
Également nommé ulcère gastroduodénal, l’ulcère de l’estomac se traduit par une perte de substance de la paroi digestive. Concrètement, des plaies creusent dans la paroi du tube digestif, causant des crampes ou des brûlures épigastriques. Si le problème est situé au niveau de l’estomac, on parle d’ulcère duodénal. Par contre, s’il se trouve dans le duodénum, il s’agit d’un ulcère duodénal.
Les ulcères de l’estomac sont, dans la majorité des cas, causés par la bactérie Helicobacter pylori (H. pylori). Ayant survécu à l’acidité, cette bactérie s’attaque à la couche de mucus de l’estomac et de l’intestin grêle. Certaines fois, les ulcères peuvent toutefois résulter d’une surproduction d’acide par l’estomac (en raison d’un tabagisme, de l’abus d’alcool, d’un stress, etc.) ou d’une maladie grave (notamment un cancer de l’estomac).
La pancréatite désigne une inflammation du pancréas. On en distingue deux types, à savoir la pancréatite aiguë et la pancréatite chronique.
Se traduisant par une inflammation rapide du pancréas, la première est en grande partie due à une consommation excessive d’alcool ou à une lithiase biliaire.
La seconde est quant à elle une inflammation chronique du pancréas. Évoluant en 3 phases (poussées douloureuses, complications à type de pseudo-kyste et destruction du parenchyme pancréatique), elle se traduit par la formation de calcifications dans le corps pancréatique. Pour ce qui est de son origine, l’abus d’alcool, l’hyperparathyroïdie et les anomalies génétiques sont souvent en cause.
La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique intestinale (MICI) qui touche, entre autres, tout le tube digestif (de la bouche à l’anus). Évoluant par poussées espacées par des phases de rémission, elle se manifeste le plus souvent par des douleurs abdominales et une diarrhée qui peuvent persister pendant plusieurs semaines voire plusieurs mois. Si elle n’est pas traitée, la maladie peut entraîner une fatigue intense ainsi qu’une perte de poids et d’appétit.
Également désignée sous le nom de colite ulcéreuse, la rectocolite est une infection chronique du système digestif. S’apparentant à la maladie de Crohn, elle touche la muqueuse du côlon et du rectum. 4 types de colite ulcéreuse sont recensés : la rectite ulcéreuse (affectant uniquement le rectum), la proctosigmoïdite (rectum et côlon sigmoïde), la colite distale (partie du côlon à gauche du corps) et la pancolite (côlon en entier).
La RCH vient d’un dysfonctionnement du système immunitaire. Par ailleurs, les symptômes de la maladie peuvent être causés par le stress ou une intolérance alimentaire.
Il s’agit des cancers qui touchent l’ensemble de l’appareil digestif : l’œsophage, l’estomac, le foie, les voies biliaires, le pancréas, le côlon et le rectum.
Avant toute chose, il faut souligner que les pathologies concernées dans les statistiques suivantes sont celles indiquées dans le chapitre « Maladies de l’appareil digestif » de la 10ème édition de la Classification internationale des maladies (CIM), mises à part les maladies des dents et du parodonte. Sont également exclus les cancers digestifs et les maladies d’origine endocrinienne ou infectieuse, notamment les hépatites virales.
Fréquentes, les maladies de l’appareil digestif touchent une proportion importante de la population française. De nombreux français rencontrent donc des difficultés quant à l'obtention d'une assurance de prêt pour assurer leurs crédits immobiliers.
Parmi les ALD (affections de longue durée) reconnues par l’assurance maladie figurent deux catégories d’affections digestives chroniques requérant des soins prolongés. Il s’agit des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin ou MICI (la rectocolite hémorragique et la maladie de Crohn) ainsi que des maladies chroniques actives du foie et des cirrhoses (causées par un abus d’alcool, un virus, une atteinte biliaire ou métabolique.
En France métropolitaine, l’un des trois principaux régimes d’assurance maladie avait admis en ALD 13 600 personnes atteintes de MICI chaque année, en 2011 et en 2012. À la fin de l’année 2012, 142 600 personnes admises en ALD en raison de ces affections avaient été recensées. 55% d’entre elles avaient la maladie de Crohn. Les admissions en ALD en raison des maladies chroniques actives du foie (hors hépatites virales) et des cirrhoses se dénombrent quant à elles à 11 800 chaque année, toujours sur la période 2011-2012.
Sur le dernier mois de 2012, elles étaient 91 800 personnes à être admises en ALD pour maladies chroniques du foie. 45% d’entre elles souffraient de maladies alcooliques du foie, 44% de fibroses et de cirrhoses du foie d’origine non alcoolique.
Concernant le taux de mortalité, les maladies digestives sont à l’origine de 4% des décès en France métropolitaine (environ 23 100 décès) chaque année, de 2009 à 2011. Une grande partie de ces décès (31%) a été causée par des affections hépatiques dues principalement à une consommation excessive d’alcool (41% chez les hommes et 19% chez les femmes). 60% des personnes décédées d’une maladie chronique du foie avaient moins de 65 ans. Dès lors, on comprend aisément pourquoi les assureurs intègrent dans leurs questionnaires de santé d'assurance de prêt des questions relatives à la consommation d'alcool.
Pour se prémunir des maladies de l’appareil digestif (et éviter les complications liées à l'assurance emprunteur pour risques aggravés de santé), certaines précautions s’imposent. Il s’agit notamment de :
Pour bien digérer, il faut prendre le temps de mastiquer suffisamment la nourriture avant d’avaler. Une mastication adéquate des aliments évite en effet la pénétration de l’air dans le système digestif qui peut causer des gaz intestinaux, des ballonnements ou encore de la nausée.
Un repas trop copieux augmente la pression sur le sphincter inférieur œsophagien, ce qui fait remonter la nourriture dans l’œsophage et provoque des brûlures d’estomac. Pour éviter que cela n’arrive, il faut consommer de plus petits repas constitués d’aliments nutritifs comportant des protéines maigres.
Il s’agit de manger de plus petites portions d’aliments mais de le faire plus souvent. L’idée est de réguler le taux de glucose dans le sang pour faciliter la digestion. Ainsi, il est conseillé de consacrer un temps pour manger et d’éviter de sauter un repas.
Les repas doivent être composés d’aliments à forte teneur en fibres. Il faut noter que les aliments contiennent des fibres insolubles et des fibres solubles.
On retrouve les premières généralement dans la pelure des pommes, dans les graines et dans les noix. Absorbant l’humidité, les fibres insolubles ramollissent et donnent du volume, ce qui aide à prévenir la constipation.
Les fibres solubles se trouvent quant à elles dans les fruits riches en pectine, dans les légumes (haricots, asperges…), dans les légumineuses, etc. Elles agissent en réduisant l’absorption du cholestérol dans l’intestin.
De nombreuses les personnes ont l’habitude de faire une sieste après un repas, ce qui est pourtant déconseillé. Pourquoi ? Parce qu’en s’allongeant, les aliments ingérés parviennent difficilement à descendre dans les intestins. De fait, ils restent dans l’estomac, ce qui retarde la digestion.
Il est essentiel d’éviter les produits alimentaires qui déstabilisent le système digestif. Il s’agit notamment des nourritures trop épicées ou trop grasses, du chocolat ainsi que de la caféine.
Irritant gastrique, l’alcool altère également le sphincter inférieur œsophagien, causant un reflux d’acide dans l’œsophage qui a son tour provoque une indigestion.
Tout comme l’alcool, le tabac et les cigarettes affaiblissent le sphincter inférieur de l’œsophage et perturbe la digestion. D’autant plus que fumer accroît les chances de développer des ulcères et de contracter la maladie de Crohn.
En matière d'assurance de prêt, les compagnies d'assurance sont très attentives et n'hésitent pas à catégoriser les fumeurs et consommateurs d'alcool dans une grille tarifaire spécifiques (même sans maladies).
L’activité physique assure le flux intestinal du fait que le mouvement renforce les contractions qui font descendre les aliments dans l’intestin. Bouger plus c’est faciliter la digestion, éviter la constipation et se prémunir d’un cancer du côlon.
Se retenir lorsqu’on ressent l’envie d’aller aux toilettes, notamment pour un horaire chargé, est à éviter absolument. Pourquoi ? Parce que les selles deviennent sèches et solides, ce qui rend leur évacuation difficile. Cela peut même provoquer des hémorroïdes quand les efforts pour déféquer sont trop intenses et prolongés.
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