Dans le monde du business, une croissance significative du chiffre d’affaires d’une entreprise stimule ses activités et augmente ses profits. Néanmoins, la concurrence pousse les investisseurs à améliorer leurs offres. Pour ce faire, le service de courtage de crédit est un excellent débouché. Voici quelques renseignements concernant le courtage de crédit. Le domaine de l’immobilier fait face actuellement à une très forte intégration du courtage de crédit aux États-Unis. Le développement sans pareil de la culture du service client en est la source. En outre, les agences immobilières françaises qui ont opté pour ce courtage de crédit ne sont pas non plus déçues. Et selon les propos de Pascal Beuvelet, Président du réseau de courtiers In&Fi Crédits : la transaction immobilière et l’intermédiation bancaire sont deux métiers totalement complémentaires. Pascal Beuvelet. Devenir courtier ou mandataire de courtier est la manière la plus facile pour accélérer la croissance et le développement d’une activité en interne. Il est beaucoup mieux de choisir une enseigne nationale, pour profiter de ses autres entités partenaires : les assurances et les banques. Devenir professionnel du courtage, mais comment ? Accéder à un poste de courtier par le biais d’une formation habilitante est possible, que ce soit en présentiel, à distance ou en combinant les deux. Le débouché de cette formation-métier est le courtier intermédiaire en opérations de banque et services de paiement (IOBSP). Les coûts les plus bas en installations : La somme à fixer pour assurer un bon démarrage de l’investissement de courtage de crédit est de 20 000 euros pour l’option « corner » en service interne. Le coût de la formation y est déjà inclus. Il suffit juste de réaliser 10 financements par an pour accéder au point mort. Concernant les coûts commerciaux supplémentaires, il ne doit plus en avoir, étant donné que la confiance de la clientèle est conquise. La majorité, c’est-à-dire les 90 % de ces clients sont contraints au financement bancaire. Comment créer un CA ? Différentes formes de rémunérations sont possibles pour un courtier : Par le biais des commissions versées par les banques. Celles-ci s’élèvent à 1 % du montant de crédit. Par les honoraires clients en vue d’une acquisition du financement, fixés entre 0,5 et 2 % du montant de crédit. Par une commission offerte à chaque assurance de prêt nouvellement abonnée. Travailler en toute légalité : Après la réussite de la formation habilitante en IOBSP, le courtier dispose de la « capacité légale » d’exercice, afin d’acquérir toutes les informations et les dossiers permettant de positionner le niveau de solvabilité et la possibilité d’emprunt. Courtier et client-vendeur: accord gagnant-gagnant Avec l’innovation de la technologie, il est possible de trouver la meilleure offre grâce à un logiciel. Le client s’engage librement sur un niveau de prix d’acquisition tout en se rendant compte que son courtier professionnel et compétent va pouvoir lui fournir le financement adéquat. Le risque du refus de complaisance est alors éliminé, d’autant plus pour le courtier que pour le client-vendeur. Prise de mandats, encore plus bénéfique Le courtier doit assurer sans faute le démarchage des vendeurs, ainsi que la détermination du financement des acquéreurs potentiels. La confiance et le professionnalisme sont ici remis en question, car les acquéreurs potentiels doivent être rassurés concernant les clients en qui leurs biens vont être proposés. À noter qu’à la plupart du temps, le vendeur est un acquéreur et dans ce cas un emprunteur potentiel. Rapports avec les notaires : encore plus intéressants Le courtier assure également l’information des notaires concernant le suivi des dossiers de financement. Néanmoins, le processus financier doit être totalement contrôlé par le courtier : promesse de vente, contrôle de l’offre de prêt et signature de l’acte authentique.