Profitez de la baisse de taux pour regrouper vos crédits

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Publié le vendredi 29 août 2014 15:00 par la Rédaction Meilleurtaux

Les taux d’intérêt des crédits immobiliers ont considérablement dégringolé depuis le début de l’année jusqu’à frôler un plancher historique. D’ailleurs, les derniers baromètres publiés par l’Observatoire Crédit/Logement CSA confirment cette tendance à la baisse.

De leur côté, les courtiers sont unanimes : c’est le moment opportun pour racheter son crédit. Comment ça marche ? Que peut-on y gagner ? Tout de suite les réponses.

Différence entre rachat de crédit et renégociation

Entre rachat de crédit et renégociation, on fait souvent l’amalgame. Pourtant, il s’agit de deux opérations très distinctes.

Si vous avez un emprunté à des taux plus élevés par rapport aux taux actuels, vous aurez ainsi besoin de renégocier votre contrat pour profiter de la baisse des taux d’intérêt.

Par contre, en cas de difficultés financières, le rachat de crédit (ou regroupement de crédit) permet de se maintenir à flot, en ce sens que vous aurez la possibilité de regrouper vos dettes et, ainsi, d’alléger les mensualités.

Regroupement de crédit : pourquoi pencher aujourd’hui pour cette solution ?

Avec les banques qui continuent de brader leur taux, un regroupement de crédit peut aujourd’hui s’avérer intéressant.

Pour tout emprunteur qui éprouve des difficultés de paiement, il peut faire appel à un courtier, qui va préalablement dresser un état des lieux de sa situation financière afin d’évaluer précisément son passif.

Dans l’optique d’établir un bilan personnalisé des finances du candidat au rachat de crédit, il analysera entre autres ses dettes à court et long terme ainsi que ses charges (loyers, impôts, crédit immobilier…) et prendra en compte ses recettes mensuelles.

Ensuite, il fera le tour des organismes de prêt pour trouver la solution la mieux adaptée aux besoins de son client et, finalement, lui proposer un seul crédit avec une seule mensualité.

Grâce à cette opération financière, un taux d’endettement de 50 % à 80 % des revenus peut ainsi passer à 30 % à 33 %. Concrètement, l’emprunteur gagne en pouvoir d’achat et retrouve une gestion saine de ses finances.