Economisez jusqu'à 70%
sur votre assurance de prêt avec meilleurtaux
Jusqu'à -60%
sur vos mensualités avec le rachat de crédits*
Comparez gratuitement
les taux en 5 minutes
Prêt professionnel
Nous vous orientons vers la meilleure solution
selon votre profil et votre besoin
Vous recherchez la meilleure solution de placement ?
Découvrez nos offres d’assurance vie & SCPI
Vous recherchez la meilleure Banque ?
Le comparateur de tarifs bancaires de meilleurtaux
Estimez la valeur de votre bien en quelques clics.
Achetez et vendez au meilleur prix
Comparez les tarifs énergie
Nos experts vous accompagnent et vous conseillent
pour trouver la meilleure offre qui vous convienne
Comparateur Box & Mobile
Trouvez et choisissez la meilleure offre du moment
et économisez jusqu'à -70% !
Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 8 novembre 2023 . Temps de lecture : 11 min
Le cancer du côlon se développe en différentes phases. Il est souvent asymptomatique jusqu’à un stade avancé. Il peut entraîner une anémie ferriprive. En effet, il cause une hémorragie lente et constante. Parmi ses symptômes, on retrouve également une défécation douloureuse, un gonflement de l’abdomen, etc. Les personnes qui en souffrent accèdent difficilement à une assurance emprunteur.
Il faut d’abord savoir que le côlon est la dernière partie de l’intestin. Situé entre le rectum et l’intestin grêle, il mesure environ 1,80m. Le risque de cancer s’accroît avec l’âge. La maladie disparaît après quelques années de traitement. En général, elle est curable si elle est détectée à temps. Plus elle est diagnostiquée tôt, plus les chances de guérison sont en effet élevées. Elles dépendront également du système immunitaire du patient, de son mode de vie, etc. Notons qu’un cancer du côlon amène les assureurs à exiger une majoration de cotisation ou à pratiquer des limites de garanties dans les contrats d’assurance emprunteur.
Depuis plusieurs années, l’on constate une croissance continue du nombre de personne atteintes du cancer du côlon. À noter que cette maladie est plus fréquente chez les hommes que chez les femmes. Ses causes ne sont pas véritablement connues. Selon les hypothèses, son apparition pourrait être liée à des facteurs environnementaux.Une prédisposition génétique en serait également responsable.
Un individu souffrant de la maladie doit être pris en charge par des spécialistes travaillant en collaboration avec un médecin traitant. On peut citer le gastro-entérologue, le chirurgien, l’oncologue, le pathologiste, le psychologue ou encore le diététicien. Ils doivent tous tenir compte de l’impact des traitements sur la qualité de vie des patients.
Le cancer se développe lentement avant que les premiers signes alarmants se manifestent. Il peut affecter n’importe quelle partie du côlon. Parmi les syndromes les plus fréquents, on distingue des troubles du transit intestinal, des vomissements, des crampes, une diarrhée aiguë, une constipation chronique et une distension abdominale. Dans la liste des symptômes figurent également des douleurs abdominales et stomacales, une hémorragie rectale, une sensation de manque de force, une perte de poids inexpliquée, des glaires anales, une fatigue chronique et une occlusion intestinale partielle ou complète.
Soulignons que certaines personnes sont exposées à un risque plus élevé de développer un cancer du côlon que d’autres. Parmi elles, on retrouve :
Il y a aussi ceux ayant des polypes colorectaux ou subi des traitements de radiation abdominale par le passé. Par ailleurs, les patients obèses sont plus susceptibles de souffrir de complications du cancer du côlon. Il faut savoir qu’il figure dans le classement des tumeurs malignes les plus fréquentes en Hexagone. Il fait également partie des cancers les plus répandus dans le monde. La plupart du temps, il n’est découvert qu’à un stade avancé. Or, les personnes bénéficiant d’un diagnostic précoce ont plus de 90% de chances de survie. Quand on est affecté par la maladie, on a besoin d’un suivi nutritionnel, d’un soutien psychologique, d’un accompagnement social, etc.
Le diagnostic d’un cancer du côlon passe avant tout par un toucher rectal, des analyses de selles et des tests sanguins. Pour visualiser l’intestin, il est par ailleurs nécessaire de réaliser une colonoscopie. Parmi les examens à effectuer, on peut encore citer l’échographie, le lavement baryté, etc. Pour identifier l’étendue de la maladie, il faudra également procéder à des examens de laboratoire, un scanner, une radiographie, une tomodensitométrie ou encore une imagerie par résonance magnétique.
Pour les profils à risque, le dépistage est fondé sur la coloscopie. Cet examen donne la possibilité de trouver des ulcères, des tumeurs, des inflammations, etc. En général, il est légèrement désagréable et souvent réalisé sous anesthésie. Il s’effectue avec une coloscope.
C’est une tige flexible mesurant près d’un mètre de long. Elle est équipée d’un appareil photo transmettant des images à un moniteur de télévision. Les médecins prescrivent parfois des médicaments aidant les patients à se relaxer durant l’intervention.
Une biopsie doit également être accomplie pour confirmer le bilan. Elle consiste à étudier les échantillons des tissus anormaux prélevés au cours de la coloscopie. Par ailleurs, une sigmoïdoscopie peut révéler la présence de polypes. Comme son nom l’indique, il s’agit d’une procédure endoscopique examinant principalement le sigmoïde, la partie inférieure du gros intestin. Elle permet, entre autres, d’évaluer les symptômes gastro-intestinaux comme les saignements rectaux, la diarrhée et la constipation.
Durant une consultation médicale, le patient doit souvent répondre aux questions suivantes :
Les stades du cancer du côlon sont classés en fonction du degré de propagation à d’autres organes ainsi que de la dimension des tumeurs. À une échelle 0, il débute sur les couches externes de l’intestin. Une polypectomie peut suffire pour le soigner. Une fois qu’il arrive à la phase 1, il a touché les couches internes du côlon. Le taux de guérison est encore élevé. En effet, une colectomie partielle permettra d’enlever la partie atteinte de la maladie. Cependant, près d’un quart des patients ne sont diagnostiqués qu’au niveau 2, lorsque les cellules cancéreuses se sont répandues dans les tissus voisins.
Si elles sont très anormales ou qu’elles ont causé une perforation, le médecin recommande parfois la radiothérapie ou la chimiothérapie adjuvante. À la phase 3, le cancer a envahi les ganglions lymphatiques. Pour le traiter, il est nécessaire de réaliser une intervention chirurgicale, associée à une radiothérapie et à une chimiothérapie. Au dernier stade de la maladie, les chances de survie sont par ailleurs faibles. La tumeur n’est généralement pas opérable. Les cellules cancéreuses se développent dans les poumons, le foie, le cerveau, etc. En effet, il est rare que les métastases hépatiques puissent être enlevées chirurgicalement. Les traitements peuvent toutefois ralentir la progression de la maladie.
À un stade avancé, les symptômes s’aggravent. En effet, les douleurs abdominales s’intensifient. L’état général du patient se détériore. Le cancer entraîne une perforation dans la paroi du côlon. Les traitements visent une guérison complète, un soulagement des symptômes ou un contrôle de la maladie. Quant au choix des soins, il se fait notamment en fonction de sa localisation, de sa profondeur dans la paroi, etc. Dans ses premières phases de développement, la maladie est traitée par une intervention chirurgicale. Les médecins utilisent la plupart du temps, la laparotomie et la cœlioscopie. Parmi les options possibles, on distingue également la radiothérapie et la colectomie.
Cette dernière est une intervention chirurgicale qui est notamment efficace durant les premiers stades du cancer du côlon. En moyenne, elle nécessite une hospitalisation d’une semaine. La chirurgie consiste à enlever les cellules cancéreuses. Elles feront ensuite l’objet d’un examen anatomopathologique. Il donnera la possibilité d’évaluer l’étendue de la maladie et la nécessité d’une chimiothérapie. Quant à cette dernière, elle contribuera notamment à la réduction du risque de récurrence.
Les polypes sont des excroissances anormales des cellules du gros intestin. Elles peuvent se propager dans d’autres parties du corps, à travers la circulation sanguine. Ainsi, elles risquent d’envahir et de détruire d’autres tissus sains. Ainsi, les polypes du côlon doivent être ôtés avant qu’ils ne deviennent malins. Pour les retirer, le chirurgien effectue de petites incisions dans la paroi abdominale. Après la chirurgie, la réalisation d’une colostomie temporaire donne la possibilité de prévenir une occlusion. Elle consiste à créer une ouverture dans l’abdomen du patient pour évacuer les matières fécales. Elle doit être effectuée jusqu’à ce que le côlon guérisse.
Dans certains cas plus compliqués, l’anus et le rectum sont supprimés. Par conséquent, le recours à une colostomie permanente sera indispensable. En ce qui concerne la radiothérapie, elle est souvent indiquée pour alléger les symptômes. Ce traitement est rarement utilisé à un stade précoce. En effet, il réduit notamment les grosses tumeurs avant une intervention chirurgicale pour qu’elles puissent être enlevées plus facilement. Il permet d’empêcher les cellules cancéreuses de se multiplier. Après un cancer du côlon, un suivi régulier doit être effectué. Il repose sur des examens médicaux (scanner, échographie, etc.) tous les six mois. Cela détectera la présence de métastases.
En cas d’antécédents familiaux, il est important de procéder à des examens préventifs. Cependant, la meilleure manière d’anticiper la maladie est d’adopter un mode de vie sain. Il est notamment préférable de privilégier les aliments à forte teneur en fibres et en calcium. Certains patients réussissent même à guérir en suivant une alimentation équilibrée. Ils éliminent notamment de leur régime alimentaire les produits laitiers, les céréales raffinées et les protéines animales.
Pour diminuer le risque de contracter la maladie, chacun doit surveiller son poids, pratiquer régulièrement une activité sportive, etc. Il faut également éviter les comportements à risque tels que l’alcoolisme et le tabagisme. En cas de suspicion, il est impératif de passer le plus rapidement possible des tests de dépistage.
L’assurance de prêt protège l’emprunteur et sa famille en cas de décès, de maladie ou d’invalidité, voire de chômage. Elle permet d’éviter des difficultés financières pouvant entraîner la mise en vente du bien immobilier pour rembourser le crédit bancaire. Si un demandeur d’assurance présente un risque aggravé de santé, l’obtention d’un contrat s’avère plus difficile.
Parmi les formules obligatoires, on retrouve les garanties emprunteur, notamment sur le décès et sur la perte totale et irréversible d’autonomie (PTIA). Si l’emprunteur décède, l’assureur prendra en charge le remboursement du crédit. Ses héritiers pourront ainsi conserver le bien financé. Quant à l’assurance PTIA, elle permet le paiement du capital restant dû à la banque en cas de sinistre. En effet, l’assuré peut se retrouver dans l’incapacité définitive d’exercer une activité professionnelle suite à une maladie ou à un accident. Il devra recourir à l’assistance d’une tierce personne pour réaliser les actes quotidiens de la vie.
Aujourd’hui, les banques exigent que tout prêt immobilier soit garanti. En effet, elles demandent l’adhésion à une assurance emprunteur avant d’en octroyer. Or, une personne atteinte du cancer du côlon rencontre souvent des difficultés lors de la souscription d’un contrat. Toutefois, elle n’est pas obligée d’accepter d’en signer auprès de la compagnie d’assurance proposée par sa banque. En effet, elle peut choisir librement son assureur en optant pour une délégation d’assurance.
En général, un dossier avec un risque aggravé de santé se voit appliquer une majoration du prix de l'assurance. La plupart du temps, le contrat collectif des banques propose des garanties restreintes. L’assurance des risques médicaux prise en charge par ce dernier sera ailleurs compliquée. Voilà la raison pour laquelle un emprunteur ayant un problème de santé préfère souvent souscrire une assurance externe. S’il dispose déjà d’une assurance de prêt, il peut la remplacer la première année. Il a également le droit de la résilier à date d’anniversaire à compter de l’année prochaine. En déléguant son assurance, l’intéressé réalisera des économies tout en souscrivant un contrat d’assurance emprunteur adapté à ses besoins.
Cependant, le fait de présenter un risque aggravé de santé pourrait toujours constituer un obstacle. Pour simplifier les démarches, le demandeur d’assurance a le choix de recourir aux services d’une société de courtage. Elle se chargera de négocier une assurance de prêt correspondant à son profil afin qu'il puisse accéder sans difficulté à l'emprunt. En intervenant auprès de plusieurs assureurs partenaires, elle obtiendra un contrat présentant un bon rapport qualité-prix. Souvent, les courtiers proposent gratuitement sur leurs sites web des outils de comparaison et de simulation. En faisant appel à eux, l’emprunteur bénéficie d’une aide personnalisée et d’un gain de temps considérable.
Le cancer du côlon doit être déclaré dans un questionnaire de santé. Le demandeur d’assurance y répondra avec la plus grande précision. En cas de fausse déclaration, son contrat risque d’être annulé. Par conséquent, il ne bénéficiera d’aucune protection si un accident de la vie survient. Toutes les informations relatives à sa maladie seront mentionnées dans cette fiche de renseignement.
À titre d’exemple, il transmettra le résultat histologique au médecin-conseil même s’il n’a reçu aucun traitement complémentaire. Si des polypes ont été retirés au cours de la coloscopie, il est également préférable de le noter dans le formulaire médical.
De même, il vaut mieux y mentionner la localisation et le stade d’évolution du cancer. Le médecin-conseil demande systématiquement un examen médical complémentaire pour vérifier le niveau d’extension du cancer. Il se base sur les renseignements fournis par le futur assuré pour prendre sa décision. Des éventuels surcoûts d’assurance dépendent notamment de l’étendue de la maladie.
Toutes les garanties emprunteur seront accordées s’il s’agit d’une tumeur bénigne et que l’emprunteur n’est pas en affection longue durée (ALD). Par ailleurs, s’il a déjà subi une opération chirurgicale et une chimiothérapie, le médecin-conseil exigera la première coloscopie avec le résultat histologique. Il est nécessaire d’y indiquer si une radiothérapie a également été nécessaire. Ces documents doivent être complétés par les bilans de surveillance bisannuels. En cas de tumeur maligne, l’assureur cherchera à savoir si l’atteinte est profonde ou superficielle.
Si le patient fait l’objet d’une atteinte sans envahissement ganglionnaire (Tis), le risque aggravé sur le décès sera établi autour de 50%. Cependant, les couvertures PTIA et ITT ne seront pas accordées. Deux ans après l’examen médical, un tarif standard sera appliqué pour les trois garanties. Pour une atteinte de la sous-muqueuse (T1) ou de la musculeuse (T2), le souscripteur obtiendra un risque aggravé entre 100 et 200% pour la garantie décès, avec une attente de cinq ans. Par ailleurs, si les analyses révèlent une atteinte de la sous-séreuse (T3) ou du péritoine viscéral (T4), le dossier sera mis en attente pendant dix ans.
Sur la même thématique
Écrit par La rédaction Meilleurtaux
Pour vous offrir les meilleurs services, rendez-vous sur le site belge
Faites des économies, suivez l’activité de vos comptes et simulez un achat immobilier ou un crédit consommation.
Suivez la performance de tous vos contrats (assurance vie, retraite, immobilier, défiscalisation) et re-versez facilement. Garantie 0 paperasse.
Sécurisez votre chiffre d’affaires immobilières, gagnez en efficacité lors des premières visites, développez votre business au delà de l’immobilier et travaillez votre image et votre réputation.
Attention, vous pouvez être sollicités par de faux conseillers Meilleurtaux vous proposant des crédits et/ou vous demandant de transmettre des documents, des fonds, des coordonnées bancaires, etc. Soyez vigilants · Meilleurtaux ne demande jamais à ses clients de verser sur un compte les sommes prêtées par les banques ou bien des fonds propres, à l’exception des honoraires des courtiers. Les conseillers Meilleurtaux vous écriront toujours depuis une adresse mail xxxx@meilleurtaux.com Vous avez un doute sur l’un de vos contacts ou pensez être victime d’une fraude ? Consultez notre guide.